Mosgiel

Mosgiel est une banlieue satellite de la cité de Dunedin, située dans la région d’Otago dans l’Île du Sud en Nouvelle-Zélande[1],

Vue de Mosgiel.

Mosgiel

Panorama visible depuis le sommet de Flagstaff Hill, Dunedin, avec Mosgiel dans le lointain à gauche.
Administration
Pays Nouvelle-Zélande
Île Île du Sud
Région Otago
Autorité territoriale Dunedin
Démographie
Population 10 000 hab. (recensement de )
Géographie
Coordonnées 45° 31′ sud, 170° 13′ est
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Zélande
Mosgiel
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Zélande
Mosgiel

    Situation

    Mosgiel est donc une petite ville localisée dans les abords de la cité de Dunedin[2], à une quinzaine de kilomètres à l'ouest de la cité mais qui resta physiquement séparée des autres banlieues contiguës jusqu’au développement de la banlieue voisine de Fairfield, qui la relie à la ville de Dunedin.

    Gouvernance

    Depuis la réorganisation territoriale de 1989, Mosgiel fait partie du territoire du conseil municipal de Dunedin[3], mais Mosgiel est séparée physiquement de Dunedin et de sa banlieue proche par des collines volcaniques mais verdoyantes. Mosgiel se trouve en effet à l'extrémité nord-est des plaines de Taieri (en), en dehors des bords du cratère qui abrite la ville de Dunedin.

    Population

    Sa population s'élève environ à 10 700 habitants. Il existe quatre districts de recensement pour mosgiel : la totalité de la population de "Mosgiel East", "Mosgiel South", "East Taieri" et "Bush Road" était de 10 737 habitants pour le recensement de 2013 [4]..

    Toponymie

    La petite ville est surnommée « la perle de la plaine », mais son nom provient de la ferme de Mosgiel (Mosgiel Farm, dans le comté d'Ayrshire en Angleterre) qui appartenait au poète Robert Burns, oncle du cofondateur de la colonie d'Otago en 1848, Thomas Burns (1796-1871), ministre de l'Église libre d'Écosse

    Un document probablement apocryphe et populaire, dit selon la théorie locale est que le "s" supplémentaire fut déposé à cette époque, quand le coût des télégrammes étaient calculés sur le nombre des caractères. De même, le nom de la banlieue de Dunedin: Roslyn (nommé pour Rosslyn en Écosse) est tronqué de la même manière.

    Ces deux lieux furent les sites de moulins à laine, importants, comme pour la ville de Milton située à 40 kilomètres (24,85484768 mi) vers le sud, dont le nom original avait été Milltown.

    Bien qu’il n’y ait aucune connexion entre la localisation des moulins et les noms tronqués, ou le pourquoi il y aurait une coïncidence, est inconnu.

    Géographie

    Mosgiel siège à l’extrémité nord-est de la plaine de Taieri (en).

    Le Silver Stream (en), un affluent du fleuve Taieri, circule à travers la partie nord de la ville.

    Sa position, bas située par rapport au fleuve, pose des problèmes, rendant la ville rapide à être inondée après des pluies importantes.

    Entre la banlieue de Mosgiel et le centre de Dunedin siège les reliefs marqués de “ Three Mile Hill” et “Scroggs Hill”, qui forment une partie des murs du cratère d’un volcan éteint de longue date, le cratère lui-même étant constitué par le port d’Otago Harbour (en).

    Au Sud de la ville, on trouve l’un des nombreux pics, que forma le volcan : ‘Saddle Hill’, un relief proéminent, visible d’une distance considérable, est notable pour sa forme particulière reconnaissable, qui siège à l’est de la 'State Highway' One ou de «Kinmont Park» (qui constitue une nouvelle subdivision d’habitats au pied des collines).

    Accès

    L’Autoroute Sud de Dunedin (en), qui est un tronçon de la route State Highway 1/S H 1 (en) (mise à niveau en 2003), relie la banlieue de Mosgiel au centre de Dunedin.

    La route State Highway 87/S H 87 (en) en direction de la ville de Kyeburn,commence à la jonction avec la route «State Highway 1», à l’angle sud-est de la ville de Mosgiel, la première partie de la voie rapide étant constituée par la rue principale de Mosgiel, la «Gordon Road».

    Légende et histoire Maori initiale

    Le site de Mosgiel figure dans la légende du peuple Māori, mais elle est entourée du caractère particulier de la plaine de Taieri (en) et les collines adjacentes, qui ont des associations mythiques plus anciennes.

    Selon la légende de la migration des canoës de l'Île du Sud, les quatre et cinquième canoës: Takitimu (en) et Arai Te Uru (en), ont été mentionnés en relations avec le secteur.

    Maungatua (en), la colline importante vers l’ouest de la plaine, représente une énorme vague, qui frappa le Takitimu, faisant passer par dessus-bord ‘Aonui’, qui devint un pilier sur la berge du fleuve Tokomairiro.

    Un autre conte fait de Aonui la femme d’un survivant du naufrage de l’Arai Te Uru, construit par ‘Kahui Tipua’, qui était arrivé plus tôt mais renvoyer avec son vaisseau vers son domicile de Polynésie nommé Hawaiki pour en rapporter des kumara. À son retour, le canoë subit un naufrage au niveau de 'Shag Point' dans North Otago, les survivants cherchèrent des terrains pour du ravitaillement. Ils échouèrent à revenir avant la nuit et à retourner dans le paysage naturel, et ce fut le sort, qui arriva à ‘Aonui’.

    Ces anciennes traditions suggèrent que certains des premiers colons polynésiens ont connu le sud jusqu’à la plaine de Taieri.

    W.R. Kirk rapporta la dernière histoire de taniwha (monstre de l'eau), le ‘familiar spirit’ ou ‘ le gardien de Te Rakitaounere' (aussi donné comme étant Te Rakitauneke), un chef fameux et un grand guerrier" qui perdit son titre au niveau des collines de 'Dunedin hills', glissant le long du cours d'eau :Silverstream, 'Whaka-ehu', et laissant une empreinte en creux à 'Te Konika o te Matamata' sur le site de Mosgiel.

    Le taniwha (nommé Matamata) se tortilla en descendant la plaine de Taieri, sur un cours sinueux, et quand il mourut, devint la ligne de collines longeant la mer, comprenant 'Saddle Hill'.

    Cette histoire est en association avec Kati Mamoe (en), ('Ngati Mamoe' en Māori moderne standard), qui date de la fin du 17e siècle et du début du 18e siècle.

    Selon la tradition, cette période vit aussi l’occupation des kaik (village non fortifié) situés près la ville moderne de Henley - appelé Tai-ari comme la rivière – et sur la colline au-dessus de son pa, ou installation fortifiée appelé Omoua.

    Tukiauau (en) construisit un pa appelé Whakaraupuka, situé sur le côté ouest du lac Waihola (en) et son rival, Tuwiriroa (en), descendant à partir du lac Wakatipu, construit un autre Pa au niveau de l’embouchure du fleuve Taieri sur la côte. Mais, finalement les Māori abandonnèrent bientôt Whakaraupuka, alors le village de Taiari au niveau de Henley persista jusque dans les temps modernes (Anderson, 1998.)

    Colonisation européenne

    En , le capitaine Cook décrivit la colline en forme de selle sous le nom de « Saddle Hill », qui marque le relief à l’est de la ville de Mosgiel.

    Les frères Weller brothers (en) de la station de chasse à la baleine d'Otago (en), située au niveau de Otago Harbour (en), (au niveau de la ville actuellement nommée Otakou) envoyèrent un certain Mr. Dalziel pour inspecter la plaine de Taieri, en vue de proposer une colonisation écossaise en 1839, mais celui-ci donna un rapport défavorable.

    En 1844, Edward Shortland nota que les Māori faisaient courir des cochons sur les pentes des terrains de Saddle Hill ou Makamaka (nom Māori rapporté pour les collines).

    Un peu plus tard, Charles Kettle (en) explora la plaine et les collines côtières pour le compte de l’Otago Association (en) en 1846 et en 1847. Il grimpa aussi sur les collines vers l’ouest pour une approche au plus près du plateau de Central Otago, qu’il identifia correctement comme un pays de pastoralisme potentiel. Un pâtre écossais, Jaffray, emmena sa femme et ses chiens le long des sentiers Māori à partir de la Vallée de Kaikorai (en) et s’installa au niveau de Saddle Hill dans un whare (maison de style Māori) en 1849, établissant la première ferme européenne du district.

    La même année, le Révèrend Thomas Burns (en), chef spirituel de l’Association pour la colonisation, sélectionna des terrains qui pouvait devenir la ville de Mosgiel.

    Au milieu des années 1850, Arthur John Burns (en), un des fils de Thomas Burns, s’installa sur certaines de ces terres. La grande zone de bush qui s'y trouvait, la richesse des terrains et la proximité de la route principale vers le sud, suivant plus ou moins le tracé du chemin des anciens Māori, conduisit au développement d’un village très rural.

    En 1861, la ruée vers l’or d'Otago (en) vit le développement de la route conduisant vers l’ouest et donc vers l’intérieur, qui croisait le site. Arthur John Burns (en) y établit la Mosgiel Woollen Company et un moulin en 1871, entraînant la construction d’un village ouvrier formé de cottages.

    En 1875, on vit la construction de la route nord-sud, parallèle à ligne de chemin de fer, avec une branche vers l’ouest construite en 1877.

    Les autorités déclarèrent Mosgiel ville de district en 1882 et elle constitua un Conseil de Borough en 1885.

    La ville grossit et devint la plus substantielle du district. La plaine aux alentours devint un des « comtés domestiques » pour Dunedin (par assimilation à l'organisation de la ville de Londres) et donc le lieu de fermes prospères avec de grandes maisons pour les hommes d’affaires à succès ayant des goûts ruraux. En conséquence, l’élevage des chevaux et les courses se développèrent.

    Mosgiel au XXe siècle

    La route Gordon, Mosgiel, avec Saddle Hill en arrière plan.

    De 1900 à 1997, Mosgiel fut le site du collège de la Sainte-Croix : c'était le séminaire catholique national pour la formation des prêtres. Le séminaire se trouvait sur des terres étendues qui comprenait une ferme. Plus tard, le séminaire fut déplacé vers Auckland en 1997, mais de nombreux bâtiments restent et sont utilisés par les catholiques pour d'autres objectifs.

    La signification des transports pour le secteur augmenta au XXe siècle, quand la proximité de la plaine formée de terres plates en direction de Dunedin, vit l'établissement de l’aérodrome de Taieri (en), juste au nord de Mosgiel, à la fin des années 1920, et le développement de l' aéroport de Momona, devenu maintenant aéroport international de Dunedin, plus au sud de la plaine en 1962.

    Après la Seconde Guerre mondiale, certains espéraient alors que Mosgiel puisse s'industrialiser de façon extensive, comme la Hutt Valley dans l’Île du nord, l'expansion resta en fait limitée. La banqueroute des moulins à laine en 1980 et finalement leur fermeture, qui n'a pas été remplacée par d'autres développements industriels, a limité l'expansion du secteur.

    À la fin du XXe siècle, l’augmentation de l'âge moyen de la population de Nouvelle-Zélande vit au contraire l'expansion des logements pour les plus anciens, avec l'apparition de plusieurs villages de retraite et de communes localisées dans le voisinage. Puis, dans les décennies récentes, les collines au-dessus de la plaine ont été divisées en lotissements.

    À la fin en 2003, la construction de la déviation de Fairfield raccourcissant le temps de trajet favorisa les déplacements via l'autoroute Sud (qui constitue une partie de la route State Highway 1/S H1) vers le centre de la cité.

    Mosgiel et le sigle de Mollywood.

    La signalisation de Mosgiel a une forme un peu inhabituelle. Modelée comme le fameux Hollywood Sign, les 7 lettres du sigle de Mosgiel sont perchées sur le flanc de la colline tout près de la route State Highway 1. À cause de cette affiche, les habitants locaux, parfois (bien que pas très souvent), font référence en plaisantant à Mosgiel comme « Mollywood ».

    Les limites distinctes de Saddle Hill (en) forment le bord Est de la zone élargie du grand Mosgiel.

    Activité économique

    L'économie de la ville de Mosgiel jusqu'à l'année était centrée sur la manufacture de la laine et sur les personnes les plus âgées parmi les Néo-Zélandais alors qu’en le nom de "Mosgiel" était toujours associé avec l’ancienne ‘Mosgiel Woollen Mills’.

    Mais depuis lors, les revenus de la ville de Mosgiel proviennent de nombreuses sources, comprenant les magasins locaux, cafés et bars. Elle reste un centre important de services pour les communautés rurales. Elle accueille aussi le plus grand institut de recherche agricole de Nouvelle-Zélande nommé Invermay (en).

    Jusqu'à récemment, le plus gros employeur était la société Fisher & Paykel, qui fabrique des machines à laver les plats (en) au niveau de leur usine de Mosgiel. La fermeture de cette installation était annoncée pour de début de l’année .

    En Mosgiel a vécu une augmentation importante de l'urbanisation et une croissance de la population. Ce renouveau est survenu en partie du fait des personnes, qui se sont déplacées en provenance de l’intérieur de la cité de Dunedin.

    Mosgiel a en a vu l’ouverture ou la rénovation des cafés et bars orientés vers le marché des jeunes et les travailleurs ont construit un ou deux étages sur une aire de jeux, plus large[5]

    En , Mosgiel devint le domicile de la première ‘Warehouse’ un magasin local et un restaurant ‘McDonalds’, qui était planifie pour aller vers le nouveau monde, toutefois en raison du respect strict des restrictions, qui pourraient être imposées au restaurant, l’idée a été abandonnée.

    Culture et architecture

    L'église presbytérienne d'East Taieri.

    R.A. Lawson dans East Taieri : l'église presbytérienne datant de se trouve près de la ville de Mosgiel au tournant de la State Highway 1[6].

    Le Mosgiel Woollen Mill (en) construit en dans Factory Road, fut le second moulin à laine, ouvert en Nouvelle-Zélande. Le moulin fut intégré à la ville et était un employeur significatif depuis son ouverture et jusqu’à la fin du XXe siècle quand il fut fermé[7].

    En , alors qu’il était encore écolier, l'artiste Colin McCahon prit part à une sortie familiale allant en voiture du bord de mer en direction des collines. Il regarda à travers la plaine de Taieri en direction de Central Otago, il vit ce qu’il décrit comme une « vision », montrant un « paysage de splendeur, d’ordre et de paix » pré-biblique — qui, dit-il, devint son œuvre à faire connaître. La même vue, bien que de beaucoup plus loin, a inspiré Charles Kettle (en) dans les années .

    En , le jeune Ralph Hotere, qui deviendra plus tard un des artistes de Nouvelle-Zélande les plus connus, fut qualifié comme pilote sur l’avion Tiger Moths au niveau de l’école d’entraînement de l’aérodrome de Taieri situé à Mosgiel.

    Photographies

    Résidents notables

    • Steve Hansen, CNZM (en) - All Black coach principal en 2012, gagnant de la coupe du 2015.
    • Barry Milburn (en) – joueur de cricket de l’équipe de Nouvelle-Zélande (gardien de guichet), c’est un boucher local
    • Michael McGarry (en)- footballeur de Nouvelle-Zélande
    • Rowan Milburn (en) – joueuse de cricket international de Nouvelle-Zélande et de Hollande
    • Geoffrey Orbell (en) – docteur en Nouvelle-Zélande, reconnu principalement pour sa redécouverte du takahē, un oiseau considéré au paravent comme disparu
    • Brad Thorn - All Black et joueur de rugby en Australie pour la league internationale
    • Ernest John "Midge" Didham (en) - Jockey, qui gagna en , la Coupe de Melbourne
    • Thomas Desmond Coughlan (en) – joueur en 1958 des ‘All Black’
    • Peter Johnstone (en) - All Black 1949-51. Capitaine en 1950-51. Un terrain de Rugby local est dénommé d'après lui. Jamais battu comme capitaine des ‘All Black’. Nommé comme l'un des cinq meilleurs joueurs de l'année 1951, par le ‘NZ Rugby Almanac’.
    • Herbert Paul Sapsford (en)] – 1976, joueur des ‘All Black’ puis pour l’Argentine, dentiste local
    • Andrew Joseph Francis Brown (en) (connu comme Joe)- Entrepreneur, organisateur de loisirs, promoteur. Propriétaire de la franchise de l’élection de ‘Miss NZ’[8]
    • Peter Renner – coureur représentant de la NZ aux jeux Olympiques d'été de 1984 (3,000m steeplechase), recordman national et Océanie avec (8.14.05) pour le 3 000 m steeplechase.
    • Don Munro (en) MBE – pionnier de l’opéra
    • Kenneth Charles Bloxham (en) – représentant de l'Otago et des All Black
    • Edgar Samuel John King (en) - Pathologiste. Professor at University of Melbourne 1951-66[9].
    • Alister Hopkinson – joueur des All Black 1967-70. a joué 35 matches pour la NZ, comprenant 9 tests.
    • Jenny McDonald (en) – joueuse de hockey pour la NZ 1971-85. Capitaine en 1980-85.

    Voir aussi

    Notes et références

    1. (en) Land Information New Zealand, « détail emplacement:  », sur New Zealand Gazetteer (consulté le )
    2. (en) Land Information New Zealand, « détail emplacement:  », sur New Zealand Gazetteer (consulté le )
    3. (en) « Mergers enlarge city boundaries », Dunedin City Council (consulté le )
    4. Four census districts cover the Mosgiel area. The combined population of "Mosgiel East", "Mosgiel South", "East Taieri" and "Bush Road" was 10,497 in the 2006 census.Quickstats about Mosgiel East Quickstats about Mosgiel South Quickstats about East Taieri Quickstats about Bush Road
    5. =consult_mosgielplaygrndsnews1&MitypeObj =application/pdf&ext=.pdf#page=2
    6. Modèle:NZHPT[Quoi ?]
    7. « Mosgiel Woollen Factory », New Zealand Historic Places Trust Pouhere Taonga (consulté le )
    8. Modèle:DNZB[Quoi ?]
    9. John Hurley, « King, Edgar Samuel John (1900–1966) »

    Bibliographie

    • (en) W.R. Kirk, Pulse of the Plain: a History of Mosgiel, 1985, Mosgiel: Mosgiel Borough Council. (ISBN 0-9597755-0-1).
    • Anderson, A. (1998) The Welcome of Strangers. Dunedin: University of Otago Press. (ISBN 1-877133-41-8) pb.
    • Kerr, E., and Trewby, M. (2000) A Chronology of Ralph Hotere in Ralph Hotere Black Light. Wellington: Te Papa Press. (ISBN 0-909010-69-2).
    • McCahon, C. (1966) Beginnings, in Landfall 80. Christchurch: Caxton Press.

    Liens externes

    http://www.cityofdunedin.com/city/?MIvalObj=consult_mosgielplaygrndsnews1&MItypeObj=application/pdf&ext=.pdf#page=2

    Ressource relative à la géographie :
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