Monique Keraudren

Monique Keraudren (ou Monique Keraudren-Aymonin), née le à Camaret-sur-Mer (Finistère) et morte le à Paris, est une botaniste française, spécialiste de la flore de Madagascar et des Comores, également du Cameroun.

Sa thèse, soutenue à Paris en 1966, porte sur les cucurbitacées de Madagascar[1]. Sa 2e thèse s'intitule Les Flores sèches de l'Ancien Monde[2].

Monique Keraudren fut l'épouse du botaniste Gérard-Guy Aymonin, son collègue au Muséum national d'histoire naturelle.

Sélection de publications
  • Flore de Madagascar et des Comores (plantes vasculaires), 1955-1967
  • Flore du Cameroun, vol. 6, Cucurbitacées, 1967
  • Titres et travaux scientifiques de Keraudren-Aymonin, Paris, 1971, 23 p.

Éponymie

Les épithètes spécifiques de plusieurs espèces lui rendent hommage, telles que : Begonia keraudreniae, Ipomoea keraudreniae, Polyalthia keraudreniae, Socratina keraudreniana, Stapelianthus keraudreniae, Vigna keraudrenii.

Notes et références
  1. Recherches sur les cucurbitacées de Madagascar, Paris, 1966
  2. Fiche SUDOC

Bibliographie
  • Guy Deysson, « Monique Keraudren-Aymonin (1928–1981) », Bulletin de la Société botanique de France. Lettres botaniques, vol. 129, no 1,‎ , p. 77-84 (DOI 10.1080/01811797.1982.10824530)
  • Philippe Jaussaud et Édouard-Raoul Brygoo, Du Jardin au Muséum en 516 biographies, Paris, Publications scientifiques du Muséum national d'histoire naturelle, coll. « Archives », , 632 p. (ISBN 9782856535653)

Liens externes

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