Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali

La mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) est une opération de maintien de la paix des Nations unies au Mali[1],[2]. Elle intervient dans le cadre de la guerre au Mali et est la composante principale de l'intervention militaire au Mali.

Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali
Abréviation MINUSMA
Type Opération de maintien de la paix
Adoption
Durée en cours
8 ans, 4 mois et 22 jours
Représentant spécial Bert Koenders (du au )
Mongi Hamdi (du au )
Mahamat Saleh Annadif (depuis le )
Commandement de la force Major-général Jean Bosco Kazura (du au )
Général de division Oumar Bikimo (intérim) (du au )
Major-général Michael Lollesgaard (du au )
Général-major Jean-Paul Deconinck (depuis le )
Contribution et personnel
Contributeurs
Effectif 6 000 (en 2013)
9 300 (en 2014)
9 883 (en 2015)
Troupe 8 831
Policiers 1 052
Civils locaux 505
Civils internationaux 552
une mission de casque bleu au MALI

Historique

La MINUSMA a été créée le [1] par la résolution 2100 du Conseil de sécurité des Nations unies. Elle prend le relais de la Mission internationale de soutien au Mali sous conduite africaine (MISMA) à partir du [3].

Le , le Conseil de sécurité des Nations unies prolonge jusqu'au , le mandat de la mission de l'ONU au Mali (Minusma) en lui assignant comme priorités de faciliter un règlement politique et d'étendre sa présence dans le nord du pays[4].

Le , le Conseil de sécurité des Nations unies prolonge jusqu'au , le mandat de la mission de l'ONU au Mali (Minusma) en lui assignant comme priorité de soutenir la mise en œuvre de l’accord de paix signé le , à la fois sur le plan politique et sécuritaire, grâce aux dix mille casques bleus déployés au Mali.

Le , le Conseil de sécurité des Nations unies prolonge jusqu'au , le mandat de la mission de l'ONU au Mali (Minusma) en lui assignant comme priorité stratégique d'aider le gouvernement malien à appliquer l'accord de paix conclu il y a un an avec des groupes armés du Nord, à rétablir son autorité sur le nord et le centre du pays, et à organiser des élections crédibles[5].

Le , le Conseil de sécurité des Nations unies prolonge jusqu'au , le mandat de la mission de l'ONU au Mali (Minusma)[6].

Le , le Conseil de sécurité a approuvé à l'unanimité la résolution 2423, renouvelant le mandat de la MINUSMA jusqu'au [7].

Le , le Conseil de sécurité a approuvé à l'unanimité la résolution 2480, reconduisant le mandat de la MINUSMA pour une année supplémentaire[8].

Mandat

La MINUSMA est autorisée à prendre toutes les mesures requises pour s'acquitter du mandat suivant[1],[9] :

  • stabilisation de la situation dans les principales agglomérations et contribution au rétablissement de l’autorité de l’État dans tout le pays ;
  • contribution à l’application de la feuille de route pour la transition, y compris le dialogue national et le processus électoral ;
  • protection des civils et du personnel des Nations unies ;
  • promotion et défense des droits de l’homme ;
  • soutien de l’action humanitaire ;
  • appui à la sauvegarde du patrimoine culturel ;
  • action en faveur de la justice nationale et internationale.

Composition

Effectifs

Soldat néerlandais de la MINUSMA au Mali, le .

Le déploiement maximal de la MINUSMA autorisé par l'ONU est de 12 640 personnels, dont 11 200 soldats[1],[10].

En , les troupes sont composées d'éléments issus principalement de l'armée tchadienne (environ 2 000 hommes), de l'armée nigériane (environ 1 200 hommes), de l'armée nigérienne (environ 675 hommes), de l'armée béninoise (environ 650 hommes), de l'armée burkinabé (environ 500 hommes, voir la liste des unités déployées), de l'armée togolaise (environ 500 hommes), et de l'armée sénégalaise (environ 500 hommes) qui vont sécuriser diverses villes clés du pays[11].

Au , la mission engage 6 010 personnels (5 201 militaires et 809 policiers provenant de trente pays). Son budget approuvé, sur la période du au , est de 366 774 500 dollars[12]:

  • Tchad (1 252, dont 1 242 militaires)
  • Togo (1 091, dont 939 militaires)
  • Niger (862, dont 859)
  • Sénégal (796, dont 510 militaires et 280 policiers d'unités constituées)
  • Burkina Faso (680, dont 670 militaires)
  • Bénin (309, dont 305 militaires)
  • Nigeria (261, dont 115 militaires et 140 policiers d'unités constituées)
  • Bangladesh (182)
  • Guinée (152)
  • Côte d'Ivoire (133)
  • Ghana (128)
  • Tunisie (75)
  • Allemagne (60)
  • Liberia (48)
  • France (17, 13 militaires et 4 policiers), ne sont pas compris dans les 3 200 militaires de l'opération Serval, ni les 5 000 militaires de l'opération Barkhane
  • Suède (6), États-Unis (6)
  • Sierra Leone (5)
  • Mauritanie (4), Viêt Nam (2), Seychelles (1)
  • Burundi (2), Cambodge (2), Cameroun (2), Jordanie (2), Royaume-Uni (2)
  • Belgique (1), Chili (1), Égypte (1), Finlande (1), Italie (1), Rwanda (1).
  • Canada (280)

En , la MINUSMA compte six mille trois cents hommes sur douze mille prévus à la fin de l'année. Le , Bert Koenders, représentant spécial, réclame le déploiement « de façon urgente, de nouveaux moyens de transport, des hélicoptères et des bataillons supplémentaires sur le terrain »[13].

Mais en , les forces de la MINUSMA au Mali ne sont plus que de 5 539 hommes. Seuls la Chine et les Pays-Bas envoient des renforts avec respectivement 395 et 380 militaires avec 4 hélicoptères de combat AH-64 Apache[14]. En février, le Cambodge envoie un contingent de 309 hommes[15],[16].

Au , les effectifs de la MINUSMA au Mali sont de 9 300 militaires et policiers, dont 1 211 Tchadiens et 868 Nigériens[17].

Les effectifs déployés au sont de 10 375 personnes au total réparti ainsi :

  • 9 321 membres du personnel en uniforme, dont
    • 8 311 militaires
    • 1 010 policiers
  • 943 membres du personnel civil, dont
    • 504 membres du personnel civil international
    • 439 membres du personnel civil local
  • 111 volontaires des Nations unies

La Suède déploie de son côté 250 soldats en [18],[19].

D' à , l'Indonésie a détaché 3 hélicoptères Mil Mi-17 et cent quarante hommes et femmes de son armée pour assurer des opérations de transport et de reconnaissance à Tombouctou[20].

Le , l'armée ivoirienne annonce le déploiement pour la première fois d'une unité combattante de cent cinquante hommes[21].

Le , 639 soldats allemands sont déployés à Gao avec des drones et des hélicoptères[22]. Au 1er, près d'un millier de militaires allemands sont présents au Mali[22].

Le , environ 280 soldats canadiens sont arrives à Gao. Le personnel est membres d'une force opérationnelle aérienne qui comprend cinq griffons CH-146 et de trois Chinook CH-47F.

Le , 75 soldats tunisiens sont déployés avec un avion de transport tactique C-130J Super Hercules[23].

Au , les effectifs de la mission étaient de 16 453 personnes, dont 12 644 militaires, 1 734 policiers, 454 officiers d'État Major, 1 421 civils, 39 experts spéciaux et 161 volontaires[24].

Voici les dix principaux pays qui contribuent à l'effectif du contingent militaire :

  • Burkina Faso : 1 718 militaires
  • Tchad : 1 451 militaires
  • Bangladesh : 1 413 militaires,
  • Sénégal : 1 278 militaires
  • Égypte : 1 078 militaires
  • Togo : 937 militaires
  • Niger : 874 militaires
  • Guinée : 867 militaires
  • Allemagne : 408 militaires
  • Chine : 403 militaires

Les militaires sont déployés sur 13 sites : secteur Nord (Kidal, Tessalit, Aguelhoc) ; secteur Sud (Bamako) ; secteur Est (Gao, Ménaka, Ansongo) ; secteur Ouest (Tombouctou, Ber, Diabaly, Goundam) , secteur Centre (Mopti-Sévaré, Douentza).

Commandant

De gauche à droite : Frans Timmermans ; ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas, le général Jean Bosco Kazura ; commandant des forces militaires de la MINUSMA, Bert Koenders ; chef de la MINUSMA et Jeanine Hennis-Plasschaert, ministre de la Défense des Pays-Bas. Le , à Bamako.

Le premier représentant spécial et chef de la MINUSMA est le Néerlandais Bert Koenders, lequel est nommé ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas en [25]. Le , le Tunisien Mongi Hamdi est choisi pour lui succéder[26]. Il prend ses fonctions officiellement le . Il est remplacé le par Mahamat Saleh Annadif, ancien ministre tchadien des Affaires étrangères[27],[28].

Le poste de représentant spécial adjoint du secrétaire général, coordonnateur résident des Nations unies, coordonnateur humanitaire et représentant résident du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), est tenu par l'Américain David Gressly (en)[29].

Le général rwandais Jean Bosco Kazura est choisi comme commandant des forces militaires de la MINUSMA. Bilingue français-anglais, il a déjà participé à des missions de maintien de la paix[10],[30]. Son pays, le Rwanda, est membre du Conseil de sécurité du au . Il quitte le commandement le [31].

Le candidat tchadien, le général Oumar Bikimo, qui avait commandé la MICOPAX puis les forces armées tchadiennes d'intervention au Mali (FATIM), est son adjoint[32]. Il assure l'intérim au départ du général Kazura[33].

Le major-général danois Michael Lollesgaard prend ses fonctions à la tête de la force de la MINUSMA le [34]. Le , le général belge Jean-Paul Deconinck lui succède[35]. Le , c'est le général de corps d’armée Dennis Gyllensporre, de Suède, qui est nommé[36].

Un Français, le général de brigade Christian Thiébault, ancien chef de corps du 4e Régiment étranger, est nommé chef d'état-major de la MINUSMA en [37]. Le général de brigade Hervé Gomart lui succède en [38]. Le général de division Michael Lollesgaard, du Danemark lui succède en 2016, suivi par le général de division belge Jean-Paul Deconinck en [39]. Le Général de brigade François-Marie Gougeon est le nouveau chef de l’état-major à compter du [40].

Pertes

Cérémonie en hommage à deux casques bleus néerlandais, tués accidentellement à Kidal le .

À la date du , la MINUSMA déplore la mort de 160 casques bleus, dont 102 victimes d'actes hostiles[41]. Elle compte notamment 28 morts et 75 blessés pour l'année 2014[42] et 27 morts pour l'année 2016[43]. Au , le bilan est de 128 victimes d'actes hostiles, 29 auteurs présumés ont été identifiés et 14 personnes détenues pour ces crimes[44].

  • Le , cinq casques bleus tchadiens sont tués lors de l'attentat de Tessalit[45],[46].
  • Le , deux casques bleus sénégalais sont tués par un attentat-suicide à Kidal[47],[46].
  • Le , six soldats tchadiens sont blessés par l'explosion d'une mine près de Kidal[48].
  • Le , un soldat tchadien est grièvement blessé par une mine à Tessalit[48].
  • Le , un soldat guinéen est blessé par une mine près de Kidal[48].
  • Le , trois soldats sénégalais sont grièvement blessés près de Kidal[48].
  • Le , trois sous-traitants maliens travaillant pour la MINUSMA sont blessés par l'explosion d'une mine près d'Aguel'hoc[48].
  • Le , deux casques bleus cambodgiens décèdent d'un empoisonnement alimentaire après avoir mangé de la nourriture avariée[16].
  • Le , quatre soldats tchadiens sont tués lors de l'attentat d'Aguel'hoc[49],[46].
  • Le , un casque bleu burkinakè est tué et six autres blessés par l'explosion d'une mine entre Goundam et Tombouctou[50],[46].
  • Le , un soldat cambodgien est grièvement blessé près de Kidal[48].
  • Le , un soldat tchadien est tué par une mine[46].
  • Le , trois soldats tchadiens sont blessés par une mine près d'Aguel'hoc[48].
  • Le , deux soldats burkinabè sont tués et quatre autres blessés à Ber, par l'explosion d'un pick-up conduit par deux kamikazes[51],[46].
  • Le , quatre sous-traitants maliens travaillant pour la MINUSMA sont blessés par l'explosion d'une mine près d'Aguel'hoc[48].
  • Le , quatre soldats tchadiens sont tués et 15 autres blessés à une trentaine de kilomètres au nord de Kidal par l'explosion d'une mine[52],[46].
  • Le , un véhicule saute sur une mine près d'Aguel'hoc, un soldat tchadien est tué et quatre autres sont blessés[53],[54],[46].
  • Le , cinq soldats tchadiens sont tués et trois blessés par un engin explosif entre Aguel'hoc et Tessalit[55],[46].
  • Le , neuf casques bleus nigériens sont tués dans une embuscade tendue par deux djihadistes équipés de lance-roquettes RPG-7 près d'Idelimane, entre Ansongo et Ménaka[56],[46].
  • Le , un casque bleu sénégalais est tué et un autre blessé à Kidal par des tirs de roquettes contre la caserne de la MINUSMA[57],[46].
  • Le , un casque bleu tchadien est tué et par une mine près d'Aguel'hoc[58].
  • Le , un véhicule de la MINUSMA saute sur une mine entre Ansongo et Ménaka, six soldats nigériens sont blessés, dont trois gravement[59]. Cette attaque est revendiquée par al-Mourabitoune[60].
  • Le , sept soldats sénégalais sont blessés par un engin explosif à Kidal, près de l'aéroport[61].
  • Le , un soldat tchadien tué et un autre blessé dans une attaque à Kidal[62],[63].
  • Le , un soldat nigérien est tué par une mine[46].
  • Le , deux militaires suisses spécialistes en déminage sont blessés lors de l'attentat de Bamako du [64].
  • Le , un soldat tchadien tué et huit blessés par des tirs de roquettes sur la caserne de Kidal[65],[46].
  • Le , un hélicoptère Apache néerlandais s'écrase accidentellement au nord de Gao, les deux pilotes sont tués[66],[67].
  • Le , à Ansongo, l'explosion d'un véhicule piégé conduit par un kamikaze blesse neuf casques bleus nigériens, dont deux sérieusement, tue trois civils et en blesse sept autres[68].
  • Le , à une vingtaine de kilomètres de Gao, un convoi de la MINUSMA est arrêté par deux djihadistes à motos, deux chauffeurs civils sont exécutés sommairement, les autres parviennent à s'enfuir, l'un d'eux est blessé[69].
  • Le , un autre chauffeur d'un nouveau convoi civil est assassiné près de Gao[70].
  • Le , pour la première fois à Bamako la MINUSMA est la cible d'une attaque meurtrière ; des hommes armés ouvrent le feu sur des casques bleus bangladais, l'un d'eux est tué, un autre blessé[71],[72],[73]. L'attaque est revendiquée en juillet par Ansar Dine[74]
  • Le , six casques bleus du Burkina Faso sont tués et cinq blessés dans une embuscade tendue par AQMI entre Goundam et Tombouctou[75].
  • Le , le camp de la MINUSMA à Kidal est frappé par des tirs de mortiers, deux casques bleus guinéens sont tués, ainsi qu'un civil contractuel, et 14 à 20 personnes blessées[76],[77].
  • Le , une pluie de roquettes s'abat sur le camp de la MINUSMA à Kidal et un véhicule kamikaze se fait exploser, six soldats guinéens sont tués et environ 30 autres casques bleus sont blessés, l'attaque est revendiquée par Ansar Dine[78]
  • Le , à Kidal, un soldat tchadien ouvre le feu et tue un commandant et un médecin militaire après avoir essuyé une remontrance de ces derniers pour cause d'ivresse[79],[80].
  • Le , à Tessalit, un soldat tchadien tue deux de ses officiers et en blesse un autre après une dispute portant sur les salaires[80],[81],[82].
  • Le , à Bamako, deux casques bleus sont tués et quatre blessés par une tornade[83].
  • Le , près d'Aguel'hoc, six casques bleus tchadiens sont tués (cinq le jour même puis un succombant à ses blessures) et trois blessés dans une embuscade[84],[85].
  • Le , cinq casques bleus togolais sont tués, et un autre grièvement blessé, dans une embuscade entre Ténenkou et Sévaré[86],[87],[88].
  • Dans la nuit du au , une attaque menée par la katiba Al-Mourabitoune d'AQMI vise le camp de la MINUSMA à Gao et le service de lutte antimines à Gao, un casque bleu chinois et un employé contractuel français sont tués, tandis que 11 travailleurs civils de la MINUSMA, quatre casques bleus chinois et deux gardes de sécurité maliens sont blessés[89],[90],[91],[92].
  • Le , à Kidal, deux casques bleus néerlandais sont tués et un blessé par l'explosion accidentelle d'un mortier au cours d'un exercice[93].
  • Le , un véhicule tchadien saute sur une mine entre Aguel'hoc et Anéfis, un casque bleu est tué et quatre autres blessés[94].
  • Le , deux casques bleus tchadiens sont tués et plusieurs autres blessés dont 4 grièvement par des tirs de mortier contre leur camp à Aguel'hoc[95],[96].
  • Le , un casque bleu togolais et tué et sept autres soldats sont blessés dans une embuscade à Bambara Maoudé[97].
  • Le , un casque bleu tchadien est tué et deux blessés à Aguel'hoc par des tirs de mortier[98],[99].
  • Le , un officier de police burkinabé se suicide dans son bureau, à Gao[100].
  • Le , six obus sont tirés contre un camp militaire à Tombouctou, un casque bleu libérien est tué et neuf autres — principalement libériens et suédois — sont blessés, dont quatre grièvement[101],[102],[103].
  • Le , deux casques bleus tchadiens sont tués dans une embuscade lors d'une patrouille près d'Aguel'hoc[104],[105].
  • Le , la caserne de Kidal est visée par des tirs de roquettes, les casques bleus font une sortie mais tombent dans une embuscade à trois kilomètres du camp. Quatre soldats guinéens sont tués et huit blessés. L'attaque est revendiquée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans[106],[107],[108],[109].
  • Le , un hélicoptère Tigre s'écrase accidentellement près de Tabankort, au nord de Gao, entraînant la mort des deux casques bleus allemands présents à l'intérieur[110].
  • Le , un camp est attaqué à Douentza, un soldat malien et un casque bleu togolais sont tués, ainsi que deux assaillants[111],[112].
  • Le , trois casques bleus bangladais sont tués et cinq blessés par l'explosion d'un engin explosif sur la toute entre Gao et Anéfis[113],[114].
  • Le , trois casques bleus tchadiens sont tués par des mines près d'Aguel'hoc[115]. Un quatrième succombe à ses blessures le [116].
  • Le , deux embuscades sont menées contre la MINUSMA : trois casques bleus nigériens et un soldats maliens sont tués, tandis que 16 casques bleus et un soldat malien sont blessés dans une embuscade à Idelimane, entre Ansongo et Ménaka ; un casque bleu burkinabé est tué et un autre blessé près de Douentza[117],[118].
  • Le , quatre attaques sont menées contre la MINUSMA en pleine ville de Kidal ; un casque bleu guinéen est touché et succombe à ses blessures le [119],[120].
  • Le , quatre casques bleus bangladais sont tués par l'explosion d'une mine entre Boni et Douentza[121],[122].
  • Le , deux casques bleus tchadiens sont tués et dix blessés par des tirs de mortiers contre le camp de la MINUSMA à Kidal[123],[124],[125].
  • Le , deux hommes armés ouvrent le feu sur un véhicule de la MINUSMA à Gao et tuent un casque bleu nigérien[41],[126].
  • Le , un casque bleu burkinabé est tué lors d'une attaque du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans contre le quartier général de la MINUSMA, à Tombouctou[127]. Une quinzaine d'assaillants sont tués[128].
  • Le , deux casques bleus burkinabés sont tués et cinq blessés dans une attaque à Ber[129].
  • Le , dix casques bleus tchadiens sont tués dans une attaque à Aguel'hoc[130].
  • Le , deux casques bleus sri-lankais sont tués par l'explosion d'une mine près de Douentza[131].
  • Le , trois casques bleus guinéens en permission sont tués et un autre blessé par des bandits lors d'une tentative de braquage sur la route de Bamako à la Guinée[132].
  • Le , un casque bleu égyptien est tué et quatre autres blessés par un engin explosif improvisé entre Douentza et Boni. L'attaque est suivi d'un accrochage au cours duquel un assaillant est tué et huit faits prisonniers selon la MINUSMA[133],[134].
  • Le , un casque bleu nigérian est tué et un autre blessé à Tombouctou et trois casques bleus tchadiens sont blessés par un engin explosif près de Tessalit[135].
  • Le , près d'Aguel'hoc, un casque bleu est tué et quatre autres sont blessés par une mine[136]. Le même jour, à Bandiagara, un casque bleu togolais est blessé dans une attaque commise par des hommes armés et succombe le [136],[137].
  • Le , trois casques bleus tchadiens sont tués par l'explosion d'une mine à Aguel'hoc[138] et quatre autres sont blessés.
  • Le , deux casques bleus sont tués dans l'attaque d'un convoi logistique entre Gao et Tessalit[139].
  • Le , quatre casques bleus ivoiriens sont tués et cinq blessés par l'explosion d'une mine entre Tombouctou et Douentza[140].
  • Le , une vingtaine de casques bleus sont blessés par une attaque au mortier et à l'arme automatique contre la base temporaire de Kéréna, près de Douentza[141].

Notes et références

  1. MINUSMA – 2013
  2. Background – MINUSMA
  3. Opération Serval.
  4. Le Figaro - 25 juin 2014
  5. Mali: l'ONU renforce les effectifs de ses Casques bleus
  6. Le Conseil de Sécurité approuve à l’unanimité de ses membres la Résolution 2364 (2017) qui renouvelle le mandat de la MINUSMA pour une année.
  7. « Mandat », MINUSMA, (lire en ligne, consulté le )
  8. « En 2019, les civils pris dans les conflits ont une fois encore pâti des divisions persistantes entre membres permanents du Conseil de sécurité », sur un.org,
  9. Historique – MINUSMA
  10. Airault 2013
  11. Hofnung, Molière et Olivès 2013
  12. Berger 2013
  13. rfi : Mali: Bert Koenders réclame plus de moyens militaires et financiers pour la Minusma
  14. Le Nouvel Observateur : Les déboires de l’ONU au Mali
  15. Tjikan : Sécurisation du Nord : Un contingent Cambodgien attendu au Mali cette semaine !
  16. Xinhua : Deux Casques bleus cambodgiens meurent d’un empoisonnement alimentaire au Mali (officiel militaire)
  17. Le Point avec AFP : Mali : 9 Casques bleus tués dans la plus lourde attaque contre l'ONU
  18. Maliweb : Nord du mali : La Suède veut déployer 250 casques bleus à Tombouctou d’ici la fin février
  19. BBC : Mali : des casques bleus "affamés"
  20. Erwan de Cherisey, "Indonesia withdraws helicopters from UN mission in Mali", www.janes.com, 27 octobre 2016
  21. Mali : la Côte d’Ivoire envoie 150 soldats rejoindre les rangs de la Minusma, Jeune Afrique avec AFP, 3 mai 2017.
  22. Olivier Fourt, Lutte contre les jihadistes: les ministres français et allemand de la Défense au Mali, RFI, 1er août 2017.
  23. , Kapitalis, 25 janvier 2019.
  24. « MINUSMA », sur Nations Unies Maintien de la paix (consulté le )
  25. RFI : Bert Koenders, ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas
  26. RFi : Mali: un nouveau patron à la tête de la Minusma
  27. Benjamin Roger, Mali : Mongi Hamdi quitte la tête de la Minusma, Jeune Afrique, 16 décembre 2016.
  28. Baba Ahmed, Mongi Hamdi (Minusma) : « Au Mali, l’attaque terroriste contre le Radisson a fait bouger les lignes », Jeune Afrique, 12 janvier 2016.
  29. MINUSMA : Équipe d'encadrement
  30. RFI - 10 juin 2013
  31. RFI - 11 juin 2013
  32. MINUSMA : le général de division Michael Lollesgaard commandant de la force de la MINUSMA prend ses fonctions
  33. Le général belge Jean-Paul Deconinck prend la tête de la Minusma, la force de l'Onu au Mali, RTBF avec Belga, 11 avril 2017.
  34. « Tage Dennis Gyllensporre Commandant de la Force Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) »
  35. Ouest France
  36. Mali : Point de presse hebdomadaire de la MINUSMA – 16 juillet 2015, MINUSMA, 16 juillet 2015.
  37. Le Secrétaire général nomme le général de division Jean-Paul Deconinck, de la Belgique, commandant de la force de la MINUSMA
  38. « Point de presse de la MINUSMA du 04 juillet 2019 », sur /minusma.unmissions.org
  39. Mali: un Casque bleu tué à Gao dans le Nord, AFP, 7 avril 2018.
  40. Chapleau 2015
  41. Maria Malagardis, Au Mali, les chiffres inquiétants de la guerre invisible, Libération, 13 janvier 2017.
  42. Laurent Lagneau, « Un rapport des Nations unies décrit une situation de plus en plus « complexe » et « préoccupante » au Mali », sur OPEX360, (consulté le ).
  43. rfi : Tessalit, première attaque terroriste contre les casques bleus au Mali
  44. La MINUSMA rend hommage à ses Casques bleus
  45. RFI : Mali: attentat meurtrier à Kidal contre des forces de la Minusma
  46. Jeune Afrique : Carte interactive - Mali : la Minusma et les forces françaises en terrain miné
  47. RFI : Mali: quatre soldats de la Minusma tués dans un attentat à Aguelhok
  48. AFP : Crise du nord : Un véhicule de l’ONU saute sur une mine, un soldat burkinabè tué
  49. AFP : Nord du Mali: deux soldats burkinabè tués, 4 blessés dans un attentat suicide
  50. Quatre casques bleus tués dans le nord du Mali, Reuters le 02/09/2014 à 17:06
  51. RFI : Au Mali, la Minusma en première ligne
  52. MINUSMA : la MINUSMA déplore la perte d'un Casque bleu aujourd'hui à Aguelhok
  53. RFI : Mali: la Minusma à nouveau endeuillée
  54. RFI : Mali: 9 casques bleus nigériens tués dans une attaque terroriste
  55. AFP : Mali: le camp de l'ONU à Kidal attaqué à la roquette, un Casque bleu sénégalais tué
  56. Malijet : Un véhicule des Casques bleus tchadiens saute sur une mine au Nord du Mali : 1 mort, quelques blessés et 2 suspects arrêtés
  57. RFI : Nord du Mali: nouvelles attaques contre les forces de l’ONU
  58. Alakhbar : Mali: le mouvement El-Mourabitoune revendique plusieurs attentats contre la MUNISMA
  59. Jeune Afrique : Mali : sept soldats sénégalais de la Minusma blessés dans l'explosion d'un mine
  60. RFI : Mali: attaque terroriste contre la Minusma à Kidal
  61. MINUSMA : 33
  62. Deux militaires suisses blessés dans une attaque à Bamako, Radio télévision suisse, 7 mars 2015.
  63. RFI : Mali: trois morts dans une attaque contre la Minusma à Kidal
  64. MINUSMA : un hélicoptère d’attaque de la MINUSMA s’écrase au nord de Gao - deux morts
  65. Le Figaro avec AFP : Mali : deux Casques bleus morts en mission
  66. MINUSMA : NEUF CASQUES BLEUS BLESSÉS, TROIS CIVILS TUÉS ET SEPT BLESSÉS LORS D’UNE ATTAQUE SUICIDE À ANSONGO
  67. RFI : Mali: un convoi de la Minusma attaqué près de Gao, deux civils tués
  68. Le Monde avec AFP : Mali : au moins un mort dans une nouvelle attaque contre un convoi de l'ONU
  69. RFI : Mali: mort d’un casque bleu
  70. AFP : Mali: un Casque bleu tué par des tirs à Bamako, un autre blessé
  71. RFI : Mali: inquiétude pour la Minusma à Bamako
  72. Mali: le groupe Ançar Dine revendique une série d’attentats, Alakhbar, 5 juillet 2015.
  73. Mali: six casques bleus tués dans une attaque revendiquée par Aqmi, RFI, 2 juillet 2015.
  74. Mali: plusieurs morts dans l'attaque d'un camp de l'ONU à Kidal, RFI, 28 novembre 2015.
  75. Mali : attaque "terroriste" contre un camp de l'ONU à Kidal, France 24 avec AFP, 28 novembre 2015.
  76. Mali: la base de l’ONU à Kidal attaquée, RFI, 12 février 2016.
  77. Mali: un Casque bleu tchadien tue deux de ses supérieurs à Kidal, RFI, 25 février 2016.
  78. Mali: tension dans les rangs des casques bleus tchadiens
  79. Un soldat de l'ONU a tué deux collègues au Mali, Le Point avec AFP, 13 mars 2016.
  80. Philippe Chapleau, Blue on blue à Tessalit: un casque bleu tue deux de ses camarades et en blesse un autre, Lignes de défrnse, mars 2016.
  81. Augustin K. Fodou, Mali : Deux casques bleus décédés à la suite de la tornade d'hier à Bamako, Sahélien, 16 mai 2016.
  82. Benjamin Roger, Mali : cinq Casques bleus tchadiens de la Minusma tués près d’Aguelhok, Jeune Afrique, 19 mai 2016.
  83. Mamadou Makadji, Mali : Mort d’un civil suite à une arrestation par les casques bleus : Des défenseurs des droits humains demandent une enquête internationale, L’indicateur du Renouveau, 30 mai 2016.
  84. Cinq casques bleus tués dans une attaque "terroriste" dans le centre du Mali, France 24 avec AFP et Reuters, 29 mai 2016.
  85. Cinq casques bleus tués dans une embuscade au centre du Mali, Xinhua, 29 mai 2016.
  86. Mali : cinq Casques bleus togolais tués dans une attaque, AFP, 29 mai 2016.
  87. Mali: une double attaque vise la présence internationale à Gao, RFI, 1er juin 2016.
  88. Mali: quatre morts dans une attaque contre l’ONU revendiquée par Aqmi, AFP, 1er juin 2016.
  89. Abdoulaye Gozane Diarra et Augustin K. Fodou, Mali : La double attaque contre la MINUSMA à Gao a fait 4 morts, Sahélien.com, 1er juin 2016.
  90. Mise à jour du bilan des attaques contre des Camps des Nations Unies à GAO, MINUSMA, 3 juin 2016.
  91. Mali : deux Casques bleus néerlandais tués accidentellement lors d'un exercice, Le Figaro avec AFP, 6 juillet 2016.
  92. Mali : un casque bleu tué et quatre autres blessés par une mine près de Kidal, France 24 avec AFP, 7 août 2016.
  93. Mali : deux casques bleus tués et huit autres blessés dans le nord du pays, Le Monde avec AFP, 4 octobre 2016.
  94. Mali: attaques meurtrières dans le nord du pays, RFI, 5 octobre 2016.
  95. Mali: attaque contre un convoi de la Minusma, RFI, 6 novembre 2016.
  96. Mali : un Casque bleu tué dans une attaque au mortier à Aguelhok, Jeune Afrique avec AFP, 24 janvier 2017.
  97. Mali : un soldat tchadien tué dans une attaque à Aguelhok, Alakhbar, 24 janvier 2017.
  98. Aboubacar Dicko, « Mali/Gao: un casque bleu retrouvé mort dans son bureau », sur Sahélien.com,
  99. Mali: le camp de la Minusma à Tombouctou visé par une attaque, RFI, 4 mai 2017.
  100. Mali : un mort et neuf Casques bleus blessés dans l'attaque d'un camp de l'ONU, Le Point avec AFP, 4 mai 2017.
  101. Mali : la personne tuée dans l’attaque à Tombouctou est un Casque bleu libérien (ONU), AFP, 4 mai 2017.
  102. Mali : deux Casques bleus trouvent la mort dans une attaque dans le nord-est, Jeune Afrique avec AFP, 23 mai 2017.
  103. Mali: une patrouille de la Minusma prise dans une embuscade meurtrière, RFI, 23 mai 2017.
  104. Mali: trois casques bleus tués dans une attaque à Kidal, RFI, 9 juin 2017.
  105. Mali: 3 Casques bleus tués dans une attaque, Le Figaro avec AFP, 9 juin 2017.
  106. Urgent/Kidal: 3 militaires guinéens tués, 3 autres blessés et un disparu dans une attaque d’un camp de la Minusma (gouvernement), Guinéenews, 9 juin 2017.
  107. Mise à jour au sujet de l'attaque contre la MINUSMA à Kidal, MINUSMA, 10 juin 2017.
  108. Mali: deux Casques bleus allemands meurent dans un crash d'hélicoptère, AFP, 26 juillet 2017.
  109. Mali : un soldat et un Casque bleu tués après des tirs contre un camp de l’ONU à Douenza, Jeune Afrique avec AFP, 14 août 2017.
  110. Mali: neuf morts dont un Casque bleu lors de deux attaques contre l'ONU, AFP, 15 août 2017.
  111. Mali : trois Casques bleus tués dans une attaque, Paris Match avec AFP, 24 septembre 2017.
  112. Mali: la Minusma victime d’une nouvelle attaque terroriste dans le nord, RFI, 24 septembre 2017.
  113. Trois casques bleus de la Minusma tués dans le nord du Mali, RFI, 26 octobre 2017.
  114. Mali : Mort d’un casque bleu suite à l’attaque du 26 octobre 2017, MINUSMA, 21 novembre 2017.
  115. Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans revendique les attaques meurtrières au Mali, France 24 avec AFP et Reuters, 25 novembre 2017.
  116. Mali - Attaques contre la MINUSMA et les forces armées maliennes (24 novembre 2017), France Diplomatie, 24 novembre 2017.
  117. Mali: la Minusma repousse plusieurs attaques simultanées à Kidal, RFI, 16 décembre 2017.
  118. Mali : un Casque bleu décède de ses blessures suite aux attaques contre la MINUSMA à Kidal, Un.org, 18 décembre 2017.
  119. Quatre casques bleus et six militaires maliens tués dans le centre du Mali, Le Monde avec AFP, 1er mars 2018.
  120. Mali: quatre Casques bleus tués dans une attaque à l'engin explosif, AFP, 1er mars 2018.
  121. Au moins deux Casques bleus tchadiens tués et 10 blessés dans une attaque, VOA avec AFP, 6 avril 2018.
  122. Mali: attaque meurtrière contre un camp de la Minusma près de Kidal, RFI, 6 avril 2018.
  123. Mali: l'ONU fait face à des menaces terroristes de plus en plus sophistiquées, RFI, 7 avril 2018.
  124. Mali : un Casque bleu nigérien tué dans le Nord, AFP, 7 avril 2018.
  125. Tombouctou: les assaillants voulaient "prendre le contrôle" du camp de l'ONU et de Barkhane, AFP, 15 avril 2018.
  126. « Sahel, les djihadistes gagnent du terrain », Courrier International (traduction d'un article de l'Observateur Paalga), no 1433, , p. 8
  127. Mali: les Casques bleus victimes de deux attaques ce samedi, AFP, 27 octobre 2018.
  128. Serge Daniel, Mali: dix Casques bleus tués dans la pire attaque contre l'ONU, AFP, 20 janvier 2019.
  129. Mali : deux Casques bleus tués par une mine dans le centre du pays, Europe 1 avec AFP, 25 janvier 2019.
  130. Mali : trois Casques bleus tués par des bandits présumés, AFP, 23 février 2019.
  131. DÉCLARATION ATTRIBUABLE AU PORTE-PAROLE DU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL SUR LE MALI, MINUSMA, 20 avril 2019.
  132. Mali : un casque bleu égyptien tué par un engin explosif, AFP, 21 avril 2019.
  133. Mali : un Casque bleu nigérian tué dans une attaque à Tombouctou, Jeune Afrique avec AFP, 19 mai 2019.
  134. Mali: un Casque bleu tué, cinq blessés dans deux attaques, RFI, 7 octobre 2019.
  135. Togo: Un casque bleu togolais « perdu » au Mali, Koaci, 29 octobre 2019.
  136. Au Mali, trois casques bleus tchadiens tués dans l'explosion d'une mine, France 24 avec AFP, 10 mai 2020.
  137. Deux casques bleus tués dans le nord du Mali, Le Monde avec AFP, 14 juin 2020.
  138. La Côte d’Ivoire endeuillée après la mort de quatre de ses casques bleus au Mali, RFI, 14 janvier 2021.
  139. Mali : une vingtaine de casques bleus blessés dans l’attaque d’une base, Le Monde avec AFP, 10 février 2021.

Voir aussi

Bibliographie

Article connexe

Lien externe

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