Mesnac

Mesnac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Mesnac

Mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Didier Jean Gois
2020-2026
Code postal 16370
Code commune 16218
Démographie
Gentilé Mesnacais
Population
municipale
407 hab. (2018 )
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 40″ nord, 0° 20′ 32″ ouest
Altitude Min. 10 m
Max. 25 m
Superficie 6,51 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cognac-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Mesnac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Mesnac
Géolocalisation sur la carte : France
Mesnac
Géolocalisation sur la carte : France
Mesnac

    Ses habitants sont les Mesnacais et Mesnacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    La petite commune de Mesnac est située dans l'ouest du département de la Charente à km au nord de Cognac. Elle est limitrophe du département de la Charente-Maritime.

    Elle est aussi à 11 km au sud de Matha, 22 km à l'est de Saintes et 43 km à l'ouest d'Angoulême[2].

    À l'écart des grandes routes, la commune n'est traversée que par la D 85, route de Cognac à Matha, et la D 55 en direction de Sainte-Sévère à l'est et qui dessert le bourg à l'ouest[3].

    La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan avec correspondance à Angoulême pour Paris, Bordeaux, Poitiers et Limoges, et à Saintes pour La Rochelle et Niort.

    Hameaux et lieux-dits

    Le hameau de Vignolles est situé au centre de la commune et à l'est du bourg, au carrefour de la D 85 et de la D 55 ; il accueille la mairie. On peut aussi signaler deux hameaux (ou villages selon l'usage local) plus petits : les Fosses à l'est et Pain-Perdu au nord.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune de Mesnac, avec son altitude entre 10 et 25 mètres[3], fait partie du « Pays bas » zone de terres calcaires de la fin du Jurassique (Portlandien), argilo-marneuses[4],[5],[6].

    Ces marais ont été drainés à la fin du XVe siècle avec la canalisation dite du « Fossé du Roi ». Ces basses terres sont relativement imperméables et donc inondables.

    Hydrographie

    Bras de l'Antenne.

    La commune est arrosée à l'ouest par l'Antenne, affluent de la Charente sur sa rive droite qui coule lentement du nord au sud, se sépare en plusieurs bras (jusqu'à quatre) et forme ainsi une zone de marais juste à l'est du village de Mesnac. Des sources ou résurgences existent dans le lit de la rivière qui continue ainsi à être en eau avec un débit minimum constant, même quand la partie amont en Charente-Maritime est victime d'assecs par excès de ponction de la ressource pour l'irrigation. Mesnac est aussi le lieu de la confluence d'un des affluents de l'Antenne, le Veyron. En aval, le moulin de Chazotte fait la frontière avec la commune de Cherves.

    Le Fossé du Roi croise l'Antenne par un très curieux double siphon avant de traverser le village des Fosses, mais, en période de hautes eaux de la Charente, l'écoulement est très faible et certains terrains peuvent rester inondés plusieurs mois.

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Mesnac est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,7 %), cultures permanentes (32 %), prairies (12,3 %), forêts (9,5 %), zones urbanisées (7 %), terres arables (5,4 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Mesnaco (non datée, au Moyen Âge)[13].

    Selon A.Dauzat, l'origine du nom de Mesnac remonterait au mot latin mansio qui désigne un gîte d'étape, auquel est apposé le suffixe -acum, signifiant « domaine de »[14],[Note 3]. Mais la voie d'Agrippa passe à deux kilomètres au sud. D'autres toponymistes y voient plutôt un nom de personne gallo-romain ou romain Minnius, ce qui correspondrait à Minniacum, « domaine de Minnius »[15].

    Le lieu-dit Vignolles proviendrait de l'existence d'une petite vigne.

    Histoire

    Église Saint-Pierre du XIIe siècle.

    Mesnac, par son nom, nous signale avoir d'abord été une villa romaine, mais nous n'avons pas de document sur ce lieu avant l'époque, au Moyen Âge, où la terre de Mesnac relevait de la seigneurie de Cognac. L'église du XIIe siècle est, dans les documents, déclarée comme étant un prieuré-cure des Bénédictins qui relevait du prieuré Saint-Eutrope à Saintes[16]. Au XVe siècle, la terre de Mesnac est la propriété de Geoffroy de Beaumanoir et de sa famille jusqu'en 1490 où elle fut rachetée par Jean de Puyrigault et conservée pendant trois générations.

    En 1568, les terres de Mesnac et Chazotte passent par mariage à la famille Chesnel, qui selon certaines sources les gardera jusqu'à la Révolution[17]. Cependant en 1747, selon d'autres sources, les terres de Mesnac et Chazotte deviennent la possession de Louis d'Orvilliers, amiral de la flotte et chevalier de l'ordre de Saint-Louis.

    Les autres fiefs ayant existé sur le territoire de la commune de Mesnac sont le fief de Vignole dont il ne reste rien dans le village actuel de Vignolles et la seigneurie de l'Isle attestée en 1645 avec logis, dépendances et fuie[18],[19].

    Mesnac est peu cité lors des troubles et guerres qui ravagent cette région et l'on sait simplement que le domaine est récupéré en 1783 pour le comte d'Artois, futur Charles X. Le château de Mesnac est une solide demeure de cette époque.

    Le , les représentants de Mesnac à l'assemblée préliminaire des États généraux qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac sont l'avocat Jacques Hardy et J.Bouteleau[20].

    La commune est créée en 1793 sous le nom de Ménac[21].

    La richesse viendra avec le cognac jusqu'à la fin du XIXe siècle malgré l'épreuve du phylloxéra.

    Administration

    Situation administrative

    La commune de Mesnac fait partie du canton Cognac-Nord qui avec le canton Cognac-Sud compose la communauté d'agglomération du Grand Cognac. Celle-ci appartient au Pays Ouest-Charente Pays du cognac (qui ne se recoupe pas avec la circonscription législative).

    Le conseil municipal siège à la mairie qui est au centre du bourg de Vignolles, dans l'ancienne école. L'élection municipale est nominale, avec onze élus et parmi ces conseillers, actuellement tous élus sur une liste d'intérêts communaux, sont élus un maire et trois adjoints.

    La sous-préfecture est à Cognac ainsi que le siège de la communauté d'agglomération du Grand Cognac logée dans les anciens bâtiments Monnet. La commune de Mesnac y a deux délégués élus par le conseil municipal en son sein.

    Le SIVOM, syndicat intercommunal, a gardé les compétences d'entretien de l'Antenne, des fossés du Pays bas, de l'ancien syndicat de cylindrage, de l'eau et de l'assainissement. Le SVDM, syndicat départemental, lui a repris la compétence déchets ménagers (collecte et traitement).

    Liste des anciens maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 2014 Georges Renou SE
    (proche du PCF)
    Viticulteur retraité
    2014 En cours Didier Gois
    Réélu pour le mandat 2020-2026[22]
       

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 17 % sur le bâti, 61,44 % sur le non bâti, et 9,64 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

    La communauté de communes de Cognac prélève 12,14 % de taxe professionnelle.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

    En 2018, la commune comptait 407 habitants[Note 4], en diminution de 1,69 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    398425430480566502514512502
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    540505507462465436487488499
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    460386383307316313330314270
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    282252256326332326409415407
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Mesnac en 2007 en pourcentage[26].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,6 
    3,5 
    75 à 89 ans
    8,3 
    9,4 
    60 à 74 ans
    10,9 
    17,1 
    45 à 59 ans
    19,2 
    24,1 
    30 à 44 ans
    26,9 
    20,0 
    15 à 29 ans
    15,4 
    25,9 
    0 à 14 ans
    18,6 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[27].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    En 1791 elle est notée avoir 460 habitants[20].

    En 1990 la commune comprenait 112 résidences principales, 19 résidences secondaires (ou résidences de personnes en maison de retraite) et 15 logements vacants. Avec la construction de nombreux logements individuels à Pain perdu, le nombre de logements et le nombre d'habitants s'est trouvé significativement augmenté aux recensements après 2009.

    Économie

    Mesnac est dans la région agricole de vignoble d'appellation d'origine contrôlée Cognac, zone des Fins Bois[28]. Les agriculteurs sont pour la plupart viticulteurs et céréaliers et il y a une distillerie qui pratique la vente directe de pineau et de cognac.

    Deux entreprises se sont installées sur Pain perdu : vente de produits de sol et mécanique de précision. Mesnac compte quelques artisans (électricien, façadier)[29] mais aucun commerçant de proximité et les achats se font à Matha, Cherves ou Cognac, et aux commerçants ambulants surtout pour le pain.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école après avoir été maintenue un temps grâce à un regroupement pédagogique intercommunal avec celle d'Orlut sur Cherves-Richemont a fermé et les élèves sont accueillis par les écoles maternelles et primaires de Saint-Sulpice-de-Cognac et Cherves-Richemont. Collège et lycées sont à Cognac avec service de ramassage départemental.

    Sports

    • club de Basket (et salle de sport qui accueille l'hiver le club de tennis de Cherves-Richemont)

    Lieux de cultes

    Culte catholique à l'église.

    Services publics

    • Mairie à Vignolles
    • Eau par le forage de la fosse du Thidet sur la commune de Houlette.
    • Salle des fêtes

    Lieux et monuments

    Patrimoine architectural

    Château du XVIIIe siècle.

    L'église paroissiale Saint-Pierre du XIIe siècle, à plan allongé, en un seul vaisseau qui est recouvert d'une voûte d'ogives. Elle possède un escalier à vis sans jour. Quatre modillons sculptés d'animaux et de personnages, quatre chapiteaux (sculpture de palmette, feuillage…) et un vitrail sont remarquables[30],[31] C'était un prieuré-cure des bénédictins qui a été restauré à plusieurs reprises[16]. Sa cloche en bronze à décor en relief est datée de 1597. Un blason peu lisible porte des armoiries qui n'ont pas été identifiée.Cette cloche a été classée monument historique à titre d'objet en 1943[32].

    Le château de Mesnac du XVIIIe siècle est actuellement un gîte.

    Le lavoir est remarquable, c'est un rare lavoir flottant qui se soulève comme un ponton quand le niveau de la rivière monte. Il a été construit après une souscription en 1886[33].

    Des maisons et des fermes caractéristiques de l'architecture charentaise des XVIIe au XIXe siècle. Sur la base Mérimée, 11 sont étudiées et 46 repérées[34].

    L'ancienne école construite en 1877[34], fermée et transformée pour la partie salles de classe en mairie et pour la partie logements des instituteurs en logements sociaux.

    Site Natura 2000 de la vallée de l'Antenne

    Sur la commune de Mesnac, l'Antenne se divise en plusieurs bras ce qui forme une zone de marais avec des peupleraies et aussi une aulnaie-frênaie de bordure entretenue pour maintenir les berges.

    La description faite dans la fiche de site Natura 2000 FR5400473 « un des sites alluviaux régionaux les mieux conservés avec notamment des surfaces encore importantes couvertes d'aulnaie-frênaie inondable parcourue par un dense chevelu de bras secondaires de l'Antenne, une petite rivière aux eaux de bonne qualité »[35].

    Cette rivière de première catégorie piscicole a un débit minimal moyen de 0,49 m3/s.

    Faune

    Les mammifères remarquables sur ce site Natura 2000 sont les loutres et les visons d'Europe, ce dernier n'est plus présent que dans sept départements français. De nombreuses mesures sont mises en place pour sa protection comme le piégeage des ragondins effectué avec des pièges munis d'une petite ouverture qui permet aux visons d'Europe de s'échapper.

    Les batraciens sont nombreux avec présence de deux espèces de rainettes françaises, de crapauds et de salamandres.

    Les poissons trouvent de nombreuses frayères, ils sont nombreux et de diverses espèces, brochet, truite, carpe, anguille mais aussi chabot, lamproie de Planer et lamproie de rivière ainsi que cyprinidés d'eau vive (chevesne, barbeau, goujon).

    En plus de nombreux insectes courants, on trouve plusieurs espèces de libellules[35].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Voir aussi Mainxe, qui est sur une voie romaine.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 383
    14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 426.
    15. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    16. « Prieuré de Bénédictins Saint-Pierre », notice no IA00059271, base Mérimée, ministère français de la Culture
    17. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 239
    18. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne)
    19. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne)
    20. Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. https://reader.cafeyn.co/fr/1980733/21598706
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. « Evolution et structure de la population à Mesnac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    27. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    28. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    29. Annuaire 2007
    30. Notice no IM16002675, base Palissy, ministère français de la Culture
    31. Notice no IM16002674, base Palissy, ministère français de la Culture
    32. Notice no IM16002677, base Palissy, ministère français de la Culture
    33. « Lavoir », notice no IA00059281, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. « Mesnac », base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. « Site Natura 2000 de la vallée de l'Antenne »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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