Mauricio Carlavilla

Mauricio Carlavilla, également connu sous le nom de plume de Mauricio Karl[1], est un auteur espagnol connu pour ses opinions franquistes, anti-anarchistes, antimaçonniques et anticommunistes. Son véritable nom serait Julián Carlavilla del Barrio selon l'historien José Antonio Ferrer Benimeli[2].

Mauricio Carlavilla
Naissance
Province de Cuenca
Décès (à 86 ans)
Madrid
Nationalité Espagnol
Profession

Biographie

Il fut officier de police de profession[1]. Il est l'auteur d'une biographie de Gueorgui Malenkov. Il est le traducteur du livre de théorie du complot paru sous la signature de José Landowsky Symphonie en rouge majeur[3], évoquant un interrogatoire véridique ou inventé de Christian Rakovsky par un certain José Landowsky à l'époque du stalinisme.

Il entretenait une amitié avec l'essayiste Eduardo Comín Colomer,[4], le commissaire Santiago Martín Báguenas et le général Emilio Mola.[5]

Thèses

Pour Carlavilla, la maçonnerie est responsable de la perte des colonies espagnoles dans le monde[2].

Œuvres

  • Malenkov. Biografía política y psicosexual, Editorial Nos, (1954).
  • Borbones masones, Acervo (1967).
  • El enemigo, marxismo, anarquismo, masonería, 1934 et 1937
  • Asesinos de España; marxismo, anarquismo, masonería, Suite du livre El enemigo, marxismo, anarquismo, masonería.
  • Anti-España 1959 : autores, cómplices y encubridores del comunismo, 1959
  • El comunismo en España, 1932, 1935
  • Técnica del Komintern en España, 1937
  • El rey. Radiografía del reinado de Alfonso XIII
  • Guerra. Sobre lo que sabe el FBI y la inteligencia militar americana sobre cuando estallará, Editorial Nos, (1953)
  • Pearl Harbour, traición de Roosevelt, 1954.
  • Kruschev, avec David Rosenberg, Editorial Nos, 1958.
  • Satanismo
Rééditions avec préface et annotation

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. En el periódico ABC, número del 3 de mayo de 1936, antes del golpe de Estado de julio de 1936, aparece un detallado artículo sobre estos sucesos.[7]
  2. Textos de Indalecio Prieto, comentados por Carlavilla.[9]
  3. De Miguel Morayta Sagrario, commenté par Carlavilla, litéralement «amplifications et réfutations de Mauricio Carlavilla».
  4. De Francisco Largo Caballero, prologue et notes de Carlavilla.[10]

Références

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