Matignon (Côtes-d'Armor)

Matignon [matiɲɔ̃] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Pour les articles homonymes, voir Matignon.

Matignon

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Dinan
Intercommunalité Dinan Agglomération
Maire
Mandat
Jean-René Carfantan
2020-2026
Code postal 22550
Code commune 22143
Démographie
Gentilé Matignonnais
Population
municipale
1 671 hab. (2018 )
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 48″ nord, 2° 17′ 26″ ouest
Altitude 69 m
Min. 0 m
Max. 76 m
Superficie 14,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pléneuf-Val-André
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Matignon
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Matignon
Géolocalisation sur la carte : France
Matignon
Géolocalisation sur la carte : France
Matignon
Liens
Site web mairie-matignon.fr

    Ses habitants sont appelés les Matignonnais.

    Géographie

    Localisation

    La ville est située à km au sud-ouest de Saint-Cast-le-Guildo.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Matignon
    Baie de la Fresnaye Saint-Cast-le-Guildo
    Pléboulle
    Saint-Pôtan

    Lieux-dits et écarts

    Matignon a plusieurs lieux-dits et hameaux : Beau Soleil, Belêtre, Bellevue, Champs Fauvel, Le Clos, La Fontaine Gourrien, La Forge, L'Hôpital, L'Isle Avard, Saint-Jean, Saint-Germain de la Mer, Le Tertre aux Loups, La Vigne, Les Grandes Villes Audrain, Les Petites Villes Audrain, La Ville Coleu, Ville Samson.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 11,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 721 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Cast-le-G », sur la commune de Saint-Cast-le-Guildo, mise en service en 1951[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 693 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1950 et à 17 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Matignon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), zones agricoles hétérogènes (33,6 %), zones urbanisées (6,4 %), forêts (4,1 %), prairies (1,3 %), zones humides côtières (0,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Mathinnhum en 1212, Matingnum et Matignon en 1219, Matignoni en 1249[24].

    Matignon n'est pas d'origine bretonne mais, semble-t-il, gauloise avec l'élément [dunon] qui a évolué en [hun][25].

    Histoire

    Hôtel Matignon

    Matignon a donné son nom à l'hôtel particulier parisien, résidence du premier ministre de la France. L'hôtel particulier a été bâti sur l'ordre de Christian-Louis de Montmorency-Luxembourg, prince de Tingry, qui en passa commande à l'architecte Jean Courtonne, en 1722 sur un terrain qu'il avait acheté en 1719. Les travaux s'étant révélés plus coûteux que prévu, le prince de Tingry dut vendre l'hôtel en voie d'achèvement à Jacques III de Goüyon, sire de Matignon et de la Roche Goüyon (l'actuel Fort-la-Latte), comte de Torigny, dès le .

    Au moment de l'acquisition, le nouveau propriétaire retira à Courtonne, soupçonné d'indélicatesse, le marché de travaux mais lui conserva la fonction d'architecte jusque dans les premiers mois de 1724. Lorsque Courtonne fut en définitive supplanté comme architecte par Antoine Mazin, le gros œuvre et la décoration extérieure étaient achevés et la décoration intérieure était en cours. Mazin se borna à réaliser le portail, dont Courtonne se plaignit d'ailleurs au motif que son couronnement était trop semblable à celui de l'hôtel.

    Jacques III de Goüyon Matignon mourut le . Son fils Jacques IV de Goüyon Matignon (1689-1751) en hérita et par l'intermédiaire de sa femme Louise-Hippolyte Grimaldi, devint prince de Monaco sous le nom de Jacques Ier Grimaldi. L'édifice passa donc à ses descendants, les princes de Monaco.

    L'actuel prince de Monaco, Albert II, porte parmi ses nombreux titres celui de sire de Matignon.

    La Belle Époque

    Paul Sébillot décrit ainsi Matignon à la veille de la Première Guerre mondiale : « Agglomération de 600 à 700 habitants, la petite ville, qui est désignée sous ce titre depuis le Moyen-Âge, occupe un plateau, dont le versant est assez escarpé vers l'ouest, à partir d'un ruisseau qui le contourne de ce côté. Bien que distante à peine de 2 ou 3 kilomètres de la mer, qui borde la commune pendant plus d'une lieue, elle ne possède pas le moindre port »[26].

    Les guerres du XXe siècle

    Le monument aux Morts porte les noms de 79 soldats morts pour la Patrie[27] :

    • 64 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
    • 12 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
    • 2 sont morts durant la Guerre d'Algérie.
    • 1 est mort durant la Guerre d'Indochine.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800 1815 Levasseur    
    1815 1831 Charles-Antoine Sommard    
    1831 1840 Pierre Le Vavasseur    
    1840 1852 Charles Vissenaire    
    1852 1859 Jacques Cordon    
    1859 1863 Henri Vittu de Kerraoül    
    1863 1870 Victor de La Moussaye    
    1870 1871 Pierre Texier    
    1871 1878 Victor de La Moussaye    
    1878 1908 Pierre Sébillot    
    1908 1912 Marie-Ange Besnard    
    1912 1919 Pierre Blivet    
    1919 1929 Pierre Gouret    
    1929 1945 Joseph Béas    
    1945 1949 Ange Hervé    
    1949 1971 Narcisse Chambrin    
    1971 1972 Francis Lorant    
    1972 1982 Auguste Mallet    
    1982 1989 René Tricot    
    1989 1995 Maurice André    
    1995 2001 Alain Daucé   Médecin
    mars 2001 09/2002 Marie-Reine Tillon DVG Conseillère générale (1992-2015)
    09/2002[29] mars 2008 Pierre Besnard DVG  
    mars 2008 09/2008 Patrick Dessauvages[30] SE Retraité
    10/2008 mars 2014 Roland Petit DVG Retraité
    mars 2014 En cours Jean-René Carfantan DVG Professeur des écoles

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2018, la commune comptait 1 671 habitants[Note 6], en augmentation de 2,33 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,42 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0549961 0751 0801 1721 2531 3071 3611 356
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3651 3051 3691 3641 4791 5451 5451 5061 555
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5531 5521 5661 4811 4431 4691 4991 4151 378
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 3271 4171 5911 6091 6131 5371 5571 5601 563
    2013 2018 - - - - - - -
    1 6331 671-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Halles de Matignon.
    la chapelle de Saint-Germain de la Mer.

    Lieux et monuments

    • Château de La Chesnaye-Taniot, XVIIIe siècle,  Inscrit MH (1964, Façades et toitures ; escalier central ; grande salle du premier étage avec ses boiseries)[35].
    • Manoir de La Vigne, XVIe siècle,  Inscrit MH (1976, Façades et toitures du manoir et des deux bâtiments de ferme)[36].
    • Église Notre-Dame du XIXe siècle.
    • Halles reconstruites au XIXe siècle.
    • Chapelle de Saint-Germain de la Mer (XIXe siècle), reconstruite sur les fondations d'une ancienne église dont elle a conservé l'ancien porche. L’arc de plein cintre orné de dents de loup est supporté par des colonnettes prismatiques. Il est surmonté d’une archivolte à retour décorée d’une frise de dix quadrilobes. Généralement datée du XIIe siècle, le porche pourrait dater en fait du XVe siècle même si cette datation le rendrait très atypique[37]. La chapelle possède un riche mobilier : fonts baptismaux du XIIIe siècle[38], statues (XVIe siècle et XVIIe siècle), retable du XVIIIe siècle[39]. Voir aussi : Bénitier de la chapelle de Saint-Germain de la Mer

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'or aux deux fasces nouées de gueules, accompagnées de neuf merlettes du même ordonnées 4, 2, 2 et 1.

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Cast-le-G - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Matignon et Saint-Cast-le-Guildo », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Cast-le-G - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Matignon et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    25. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 83, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN 2877474828 ».
    26. Paul Sébillot, "Mémoires d'un Breton de Paris", Le Breton de Paris, décembre 1913 et janvier 1914.
    27. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    28. « Les maires de Matignon », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    29. Élection partielle. Source : Ouest-France, 2 janvier 2003
    30. Retrouvé mort le . Sources : Le Télégramme et France3 Ouest
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Manoir de la Chesnaye-Taniot », notice no PA00089323, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Manoir de la Vigne », notice no PA00089324, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Chapelle Saint-Germain, Saint-Germain (Matignon) », sur patrimoine.bzh.
    38. « Les objets classés de la chapelle », base Palissy, ministère français de la Culture.
    39. « La chapelle de Saint-Germain : un édifice chargé d'histoire », sur ouest-france.fr.
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