Marclopt

Marclopt est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Marclopt

L'église.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Montbrison
Intercommunalité Communauté de communes de Forez-Est
Maire
Mandat
Catherine Eyraud
2020-2026
Code postal 42210
Code commune 42135
Démographie
Gentilé Marcloptaires [1]
Population
municipale
516 hab. (2018 )
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 39′ 57″ nord, 4° 12′ 37″ est
Altitude Min. 335 m
Max. 363 m
Superficie 8,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Feurs
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Marclopt
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Marclopt
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Marclopt
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Marclopt
Liens
Site web www.marclopt.fr
    Mairie et école.

    Géographie

    D'une superficie 843 ha, Marclopt est un village, au coeur du Forez, situé entre la Loire et les monts du Lyonnais (les montagnes du matin). Son altitude varie de 335 m, en bord de Loire à 363 m à l'est de la commune.

    Avant la Révolution, 9% de sa superficie était occupée par des étangs et l'on identifiait 22 mares dans le village. La commune (châtellenie royale) était traversée par le chemin de Lestra menant de Feurs à Saint-Etienne. Louis XVI, avait pour projet de désenclaver Saint-Etienne (armes et charbon) en construisant une route. C’est Napoléon Ier qui la réalisa. Elle traversa la zone des étangs et permis ainsi d'assainir Marclopt.

    Actuellement, il subsiste un étang de moins d'un ha. La route impériale deviendra la N82 puis la D1082. C'était l'un des itinéraires de la célèbre "Route bleue" reliant Paris à la côte d'azur.

    Urbanisme

    Typologie

    Marclopt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,7 %), terres arables (30,9 %), eaux continentales[Note 3] (10,3 %), zones urbanisées (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Suivant les auteurs et les documents issus des archives municipales, départementales, de l'évêché et surtout de la DIANA[9], le nom de Marclopt s'orthographie ainsi :

    • Marcloto, Marcloco, Marclot, Marcloc, Marclop, Merclop, Marcloup,Marclopeio, Marclopeium.

    Plusieurs interprétations sur l'origine du nom. Voici les plus plausibles :

    • Dans "l'histoire des comtes du Forez" Jean-Marie de la Mure Marclopt serait le nom d'un homme : Marcus Claudius (en latin Marcpeium de Marcus Claudius Pupienus). Il s'agirait d'un général romain ayant cantonné à Feurs ou dans les environs. Les historiens ne retrouvant pas le nom de ce général, pensent qu'il s'agissait plutôt du nom d'un propriétaire Romain.
    • Pour Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak[10], le terme "Malu" renvoie à mauvais, et "clot" en occitan signifierait 'dépression", "mare". Marclopt serait donc : "mauvaises mares".

    Histoire[11]

    Les premiers signes d'occupation humaine

    La découverte des premiers signes de l’occupation humaine sur le territoire de notre commune est assez récente. Ils sont essentiellement liés à l’exploitation des gravières dans les varennes, de part et d’autre de la Loire.

    C’est ainsi que des prospections ont été réalisées entre 1997 et 2004 à Saint-Laurent-la-Conche, en 2008-2009 à Magneux-Haute-Rive puis en 2012 à Marclopt, par des opérateurs agréés en archéologie préventive[12],[13].

    L’occupation humaine est attestée depuis au moins 4000 ans avant notre ère, ce qui veut dire que pendant cette période, le cours de la Loire n’a pu évoluer que dans les chambons (entre ces points de fouilles).


    C'est au cours des fouilles de 2003 que Vincent Georges, de l'INRAP, met à jour une tombe à char d'un aristocrate ségusiave démontrant que Marclopt, avant d'être un village au coeur du Forez, était un village au coeur du Pays ségusiave[14].

    Enfin en 2017, un Marcloptaire a trouvé à Tassin, à proximité des fouilles (2012) une pièce Gauloise datant d'un siècle avant notre ère.

    Date du Ier siècle av. J.-C. Il s'agit d'un bronze chargé d'étain. D'après Pierre-Marie Guihard de l'université de Caen Normandie Ingénieur-Docteur au Centre Michel de Boüard-Craham UMR 6273

    La période romaine

    Dans "L'évolution des structures agraires et des rapports sociaux dans la cité des Ségusiaves : problèmes et méthodes" [15], Jean-Pierre Vallat décrit les contours d'une villa romaine sur Marclopt de 2500 ha (la commune actuelle faisant 843 ha). Pour confirmer la présence romaine, outre différents objets (tuiles, poterie, etc.) une plaque funéraire a été découverte à Tassin, quartier nord de Marclopt et un sarcophage est installé place de l'église.

    La plaque funéraire

    Près de la voie antique venant de Feurs, à Tassin, de nombreux débris ont été découverts en février 1846 (tegulae et substructions diverses non décrites) ainsi qu’une inscription funéraire sur une plaque de bronze (23x11 cm) enchâssée dans un cadre en pierre moulurée sur laquelle, on peut lire :

    Plaque funéraire retrouvé à Tassin Marclopt en 1846

    « À Sextus Julius Lacanus, duumvir, prêtre de la cité des Ségusiaves, les appariteurs de condition libre : Tittius, Cicilius, Arda, Cettinus, Casurinus, Atticus ».

    Cette plaque en bronze est visible au Musée & Les Amis du patrimoine de Feurs.

    Pour les historiens, cette plaque, qui a fait l'objet de nombreuses publications, est très importante, car elle permet de confirmer la place de Feurs dans le pays ségusiaves.

    Le sarcophage

    En 1851, l'abbé Roux[16] fut l’un des premiers à s’intéresser à ce monument dont les pierres gisaient éparses au pied de l’orme. Il demanda au maire de l’époque l’autorisation de démolir le mur de l’écurie communale, afin de rechercher un fragment de l’inscription votive du tombeau. Au cours des siècles, bien des pierres ont disparu, notamment employées lors du comblement des anciens fossés du château. Seul le couvercle du sarcophage demeura à sa place d’origine et fut nommé « la pierre des morts », car d’après la coutume on y déposait les cercueils avant de se rendre à l’église toute proche. Ce couvercle a été inscrit au répertoire des monuments historiques (classé le 10 mars 1961). Voici la reproduction qu'il en fit :

    En 1972, la municipalité souhaite créer une place autour de l'église. Dès le début des travaux, des vestiges furent mis au jour montrant une occupation continue des Romains au Moyen Age. Alain Robin[17] archéologue autodidacte fut chargé de conduire les fouilles et de reconstituer le sarcophage sur la base du document de 1851 de l'abbé Roux, mais des éléments avaient disparu. Voici la reconstitution où seules les écritures de la partie droite apparaissent.

    Sarcophage gallo-romain.

    En 2013, Jean-Claude Béal, archéologue et chercheur associé, étudie cette reconstitution[18]. Ses conclusions sont sans appel, la reconstitution regroupe au moins deux monuments romains : le dessus, un sarcophage, la partie droite un portique funéraire. Le reste n'a pas pu être identifié. Ce qui signifie que la présence romaine sur Marclopt était plus importante que prévu.

    Les comtes du Forez font de Marclopt une châtellenie qui deviendra une châtellenie royale

    Les prospections d'Alain Robin[19] mettent en évidence une occupation continue autour de l'église avec notamment, un cimetière carolingien. C'est à proximité de ce cimetière que fut construite vers 1100 l'église actuelle qui évoluera considérablement jusqu'en 1480 avec la construction du clocher.

    Vers 1200, les comtes du Forez font construire une forteresse autour de l'église dont voici l'armoirie de Revel déposée à la BNF.

    Cette forteresse sera déclarée en ruine vers 1543, lors de son achat par Artaud d'Apchon, propriétaire du château de Montrond-les-Bains.

    Simultanément, vers 1200 le comte Guy III du Forez fit construire une Maisonfort qu'il donna à sa fille cadette Guigonne. Ces deux sites sont à environ 150 m l'un de l'autre.

    En fait, le propriétaire de la Maisonfort avait un droit de bac sur la Loire, au lieudit "le port", situé à moins d'un km du village. La voie Magnine passait entre les deux ouvrages et cette disposition permettait de contrôler les passages.

    La Maisonfort fut la résidence des châtelains de Marclopt jusqu'en 1773. À cette date la châtellenie royale fut rattachée à Feurs.

    En 1817 sur le cadastre napoléonien, la maisonfort apparaît en ruine sans que l'on puisse en identifier la cause (incendie, recherche d'un trésor, Révolution ?)

    Blasonnement

    Les armoiries de Marclopt se blasonnent ainsi :

    Tranché ondé de sinople à l’orme d’or soutenu d’un besant du même et d’azur à l’aigrette d’argent tenant dans son bec une feuille d’orme d’or; au filet en bande ondé d’argent brochant sur la partition.

    Ce blason conçu en 2002 ne reprend pas les blasons des familles nobles qui ont résidé à Marclopt (voir chapitre histoire). Sa conception s’est appuyée sur une réalité : la Loire le filet blanc, la zone Natura 2000 l’Aigrette, l’orme qui trône sur la place du village (il aurait été planté par Sully) ; une légende : le besant qui est censé représenter un trésor enterré par les Romains. (rond d'or sous l'orme)

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1919 1943 Jean-Pierre Vially    
    1943 1983 Marius Flachon   Fermier
    1983 1985 René de Saint-Jean   Pharmacien
    1985 2001 Eliane Boichon    
    2001 2014 Christian Bernard   Avocat
    2014 En cours Catherine Eyraud[20]   Horticultrice
    Les données manquantes sont à compléter.


    Ville en chiffres

    Population (1999) : 358 hab. ;

    Population (2005) : 467 hab. ;

    Superficie : 8,43 km2 ;

    Densité de population : 42 hab./km2 ;

    Gentilé Marcloptaires ;

    Taux de chômage (2005) 5,2 % ;

    Revenus moyens par ménages (2004) 25 556 €/an ;

    Prix moyen de l'immobilier (vente) 3 197 €/m2 ;

    Prix moyen de l'immobilier (location) 12,22 €/m2/mois ;

    Évolution de la population

    Population (1999) 358 hab. ;

    Population (1990) 288 hab., 21 182e ;

    Variation de population 1990 - 1999 + 70 hab. ;

    Solde naturel 1990 - 1999 + 18 hab. ;

    Solde migratoire 1990 - 1999 + 53 hab. ;

    Taux annuel moyen de variation de la population 1990 - 1999 + 2,4 % ;

    Superficie 8,43 km2 ;

    Densité 42 hab./km2.

    Pyramide des âges

    Plus de 75 ans 5,6 % ;

    60 - 74 ans 11,5 % ;

    40 - 59 ans 28,8 % ;

    20 - 39 ans 28,5 % ;

    0 - 19 ans 25,7 %.

    [réf. nécessaire]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

    En 2018, la commune comptait 516 habitants[Note 4], en augmentation de 2,58 % par rapport à 2013 (Loire : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    260281235238236251262278274
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    279272291289281277302315329
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    318296267267248240247240204
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    207184196258288359467494505
    2018 - - - - - - - -
    516--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Marclopt, fait partie des petits patrimoines. Ce n'est pas péjoratif, mais en dehors du sarcophage et de l'église, la forteresse et la Maisonfort, qui est un lieu privé, nécessitent un peu d'imagination.

    L'église[25]

    Le coeur date de 1100. Elle aurait été construite sur un site carolingien. Elle dépend de l'abbaye de l'Ile barbe en 1183 et les habitants de la Maisonfort avaient un droit de chapelle dans cette église qui, à la suite d'un procès, prendra fin en 1469. C'est sans doute à la suite de cet événement que le clocher fut construit en 1480 et doté d'une cloche en 1505. Elle fut changée en 1785 puis en 1920.

    Une observation attentive de l'église montre les différentes évolutions au cours des siècles.

    La Maisonfort[26]

    C'est une propriété privée qui ne peut être visitée. Construite au début du XIIIe siècle, elle était le lieu de résidence du châtelain de Marclopt jusqu'en 1772.

    Au départ elle était entourée de remparts on y avait accès par un pont levis. C'est Jacques Cognet, qui fut anobli en 1653 qui entreprit des travaux de rénovation et transforma la Maisonfort en une résidence entourée de fossés. Les fossés étaient bâtis de part et d'autre. En 1722, un acte de dénombrement (description des biens et des propriétés) précise les dix domaines rattachés à la Maisonfort. En 1759, la Maisonfort est décrite ainsi : "Un château en bon état exposé et élevé d'un étage depuis 1759 grand spacieux bâti à la moderne…"

    Cette partie visible de la Maisonfort, avec son pigeonnier porche, a été construite par la famille Cognet dont on voit le blason au-dessus de la porte. Elle constituait l'entrée de la Maisonfort située en arrière.

    La forteresse[27]

    Construite en début du XIIIe siècle, elle est dite en ruine au début du XVIe siècle. Une partie des ruines romaines fut retrouvée dans les murs de la Forteresse. Les remparts étaient en pisé. L'effondrement des murailles à sans doute servit à combler les fossés. L'implantation de la forteresse par rapport au cadastre napoléonien se représente ainsi : La forteresse était en fait un village castral dans lequel les nobles n'ont jamais résidé.

    Personnalités liées à la commune

    Les comtes du Forez n'ont pas résidé à Marclopt seule Guigonne, fille cadette de Guy III résida à Marclopt où on l'appelait la "bonne dame de Marclopt", car elle fit beaucoup de bien. Par la suite, ce sont les membres de le noblesse locale qui occupèrent la Maisonfort. On peut citer : Saint Maurice de Bussy, Josserand de Lavieu, guillaume de Ronchevol, Henri de Merles, Jean de Vigènes Doyen de la collégiale de Montbrison, Jean Brunost et son épouse Catherine de Fontaneys, Guy de la Mure-Chantois, Jean Oyssel, Jacques Cognet dont la famille résidera plus de cent ans sur Marclopt, Pierre-François David qui fut le dernier noble à résider sur Marclopt. Il vendit tous ses domaines au Marquis Jean Hector de Montaigne-Poncins.

    Avant la Révolution, le marquis de Poncins possédait 60% de Marclopt. Il publia un livre : "Le grand œuvre de l'agriculture ou l'art de régénérer les surfaces" dans lequel il décrit les conditions de vie difficile dans la plaine du Forez et propose des solutions novatrices pour l'agriculture.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/loire-42
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. « Société Archéologique et Historique du Forez - La Diana ».
    10. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, D'où vient les noms des villes et des villages de la Loire, Faucoup.
    11. Pierre Fayard, Marclopt un village au coeur du Forez, Marclopt, Actes graphiques, , 220 p. (ISBN 978-2-36883-061-1).
    12. Peter Jud, « Saint-Laurent-la-Conche - Bel-Air », sur ADLFI, (consulté le ).
    13. Audrey Charvet, « Les occupations funéraires et les vestiges d'habitat découverts sur le site de Tassin à Marclopt », GRAL (Groupe de recherche archéologiques de la Loire), (ISSN 1154-6646, www.archeogral-loire.asso.fr).
    14. Vincent Georges, « Un char, un bûcher : la tombe aristocratique ségusiave de La Tène finale », Archéopages, (ISSN 1622-8545, lire en ligne).
    15. Jean-Pierre Vallat, « L'évolution des structures agraires et des rapports sociaux dans la cité des Ségusiaves : problèmes et méthodes », Dialogues d'histoire ancienne Année 1978 4, , p. 187-199 (lire en ligne).
    16. 1813-1869 professeur au petit séminaire de l’Argentière (1839), vicaire à Feurs (1842), aumônier du Sacré-Cœur (1850), du Lycée impérial (1857), chapelain, archiviste de l’Archevêché (1858). Membre de la Société historique, archéologique et littéraire de Lyon.
    17. Alain Robin, « Le monument gallo-romain de Marclopt », Bulletin de la Diana, , p. 133à 136 (ISSN 1148-7860).
    18. Jean-Claude Béal, « Les sarcophages de pierre dans la cité antique des ségusiaves », Revue archéologique de l'est tome 62, (lire en ligne).
    19. Pierre Fayayrd, Marclopt un village au coeur du Forez, Marclopt, Actes graphiques, , 220 p. (ISBN 978-2-36883-061-1), p. 43 à 48.
    20. Marclopt - association des maires de France (consulté le 31 mai 2015).
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. Pierre Fayard, Marclopt un village au coeur du Forez, Marclopt, Actes graphiques, , 220 p. (ISBN 978-2-36883-061-1), p. 55 à 58 et 145 à 155.
    26. Pierre Fayard, Marclopt un village au coeur du Forez, Marclopt, Actes grphiques, , 220 p. (ISBN 978-2-36883-061-1), p. 73 à 77.
    27. Pierre Fayard, Marclopt un village au coeur du Forez, Marclopt, Actes graphiques, , 220 p. (ISBN 978-2-36883-061-1), p. 65 à 67.

    Voir aussi

    Article connexe

    Lien externe

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