Malicorne (groupe)

Malicorne est un groupe français de musique folk (puis de folk rock et de rock progressif) formé à la fin de l'été 1973 par le couple Gabriel Yacoub (guitare acoustique et électrique, épinette des Vosges, chant) et Marie Yacoub (dulcimer, bouzouki, vielle à roue, chant), Laurent Vercambre (violon, alto, bouzouki, psaltérion à archet, harmonium, mandoline, chant) et Hughes de Courson (guitare électrique, basse, cromorne, percussions, chant). Ils seront rejoints en septembre 1976 par Olivier Zdrzalik-Kowalski (basse, claviers, chant).

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Malicorne
Malicorne sur scène à Anost le 16 août 2013
(avec, de g. à d., Gilles Chabenat, Marie Sauvet, David Pouradier Duteil, Gabriel Yacoub, Yannick Hardouin, Nicolaïvan Mingot et Romain Personnat)
Informations générales
Pays d'origine France
Genre musical Folk, folk rock, Rock progressif
Années actives 05/09/1973–22/07/1989
15/07/2010 (concert unique)
27/11/2011–12/08/2017
Labels Hexagone
Ballon noir
Le Roseau
Composition du groupe
Anciens membres
  • Gabriel Yacoub :
    1973–1989, 2010, 2011–2017
  • Marie Sauvet :
    1973–1987, 2010, 2011–2017
  • Yannick Hardouin :
    1989, 2010, 2011–2017
  • David Pouradier Duteil :
    2010, 2011–2017
  • Gilles Chabenat
    2011–2017
  • Nicolaïvan Mingot :
    2013–2017

Après une première séparation fin 1981, le groupe se reforme à l'été 1984 pour une tournée principalement nord-américaine avec de nouveaux musiciens accompagnant le couple fondateur, puis en 1986 avec d'autres musiciens accompagnateurs pour l'enregistrement d'un ultime album studio et pour une ultime tournée en 1987–1989.

Malicorne se reforme dans sa configuration originelle (dite "formation classique") à l'occasion d'un concert unique donné le dans le cadre du festival des Francofolies de La Rochelle.

Avec de nouveaux musiciens accompagnateurs, le couple fondateur Gabriel Yacoub et Marie Sauvet forme fin un nouveau groupe sous le nom de « Gabriel et Marie de Malicorne » (renommé simplement « Malicorne » dès ) qui se lance dans deux projets : la mise en place dès l'été 2012 d'une importante tournée de concerts en France (et à l'étranger – en Belgique en 2013, aux Pays-Bas en 2014 et en Suisse en 2015) intitulée "Almanach Tour"[n 1] et l'enregistrement dès le printemps 2013 d'un nouvel album studio « qui sera constitué uniquement de titres inédits »[1],[2],[3] à la publication initialement prévue pour 2013 mais sans cesse repoussée.

Seulement une semaine avant l'événement, le groupe annonce que le concert qu'il doit donner le à Paimpol en Bretagne sera son ultime concert[4],[n 2].

Le projet de nouvel album est définitivement abandonné concomitamment au dernier concert donné à Paimpol[n 3].

Au total, le groupe a vendu plus de 2 000 000 d'albums dans le monde[5].

Histoire

1969-1973 : les débuts de Gabriel Yacoub

Futur membre fondateur de Malicorne et véritable pilier du groupe, le chanteur et guitariste Gabriel Yacoub fait ses débuts sur scène en 1969 au sein du trio New Ragged Company[6] aux côtés de Youra Marcus et Phil Fromont[7][source insuffisante].

Fin 1971, à 20 ans à peine, Gabriel rejoint le groupe d'Alan Stivell à la guitare, au banjo, au dulcimer et au chant. Il participera à l'enregistrement de deux albums déterminants du harpiste breton À l'Olympia (1972) et Chemins de terre (1973) à l'origine du renouveau de la musique celtique en France. N'étant pas lui-même de culture bretonne, il décide à la fin de l'été 1973 de quitter la formation de Stivell afin d'interpréter des chansons issues du patrimoine francophone plutôt que de chanter d'une manière artificielle, voire factice, en breton ou en langues gaéliques.

1973 : l'expérimentation avec Pierre de Grenoble

Au printemps 1973[8], Gabriel et Marie Yacoub enregistrent (avec notamment Dan Ar Braz) l'album expérimental Pierre de Grenoble par lequel le couple revisite le répertoire traditionnel. Sorti en [9], le succès immédiat et inattendu de ce coup d'essai sera à l'origine du renouveau des musiques traditionnelles en France[10],[11].

1973-1989 : le groupe Malicorne

Interprétant d'une manière originale, personnelle et actuelle des airs et chansons empruntés au répertoire traditionnel[réf. nécessaire], le groupe connait le succès tout au long des années 1970 avec la publication d'une dizaine d'albums[réf. nécessaire].

1973-1979 : la formation classique

À la fin de l'été 1973, Gabriel Yacoub quitte définitivement la formation d'Alan Stivell pour voler de ses propres ailes.

Avant même la sortie de leur premier album Pierre de Grenoble, Gabriel et Marie Yacoub fondent Malicorne le [12],[13][source insuffisante] en compagnie de deux autres musiciens Laurent Vercambre et Hugues de Courson.

Le nom du groupe provient du pur hasard : c'est en se rendant en Bretagne pour donner un concert fin à Moëlan-sur-Mer à l'occasion du 2e festival de Kertalg que le couple fondateur Gabriel et Marie Yacoub est amené à l'approche du Mans à passer par hasard à Malicorne-sur-Sarthe à la suite d'une déviation. Hughes qui accompagne alors le couple a l'idée de retenir ce nom pour le groupe, alors encore en gestation. Gabriel Yacoub raconte : « Une déviation nous a fait passer à Malicorne-sur-Sarthe. C'est dur de trouver un nom pour un groupe, et celui-là nous a paru très poétique, très évocateur »[2],[14].

À peine formé, le groupe est rejoint en renfort par le bassiste Max Picout[réf. nécessaire] et se lance à l'automne 1973 dans une première tournée de quelques dates en Bretagne avec un tout premier concert à Quimper le puis trois autres concerts début novembre à Concarneau, Morlaix et Rennes.

Alors vendeur de disques, Daniel Bornet découvre l'album Pierre de Grenoble à sa sortie en . Un ami lui permet de rencontrer Gabriel Yacoub. Le groupe est alors en agence chez Michel Salou. De cette rencontre naîtra une véritable amitié et Daniel Bornet deviendra très rapidement l'agent historique et le manager du groupe jusqu'à sa dernière tournée à l'été 1989.

Au printemps 1974, la formation (réduite à nouveau à un quartet après le départ définitif du bassiste Max Picout) enregistre déjà aux studios Acousti son premier album Malicorne qui sera bien accueilli par le public à sa sortie en octobre. Fin 1974, le public fera également un accueil très chaleureux à la tournée française de promotion de l'album[15].

Au printemps 1975, le groupe enregistre déjà son second album Malicorne 2 qui sort en novembre et connaît un succès plus grand encore, devenant disque d'or (100 000 exemplaires vendus)[réf. nécessaire]. Malicorne commence à se produire à l'étranger. Les Anglais découvrent ainsi ce groupe de folk music en à l'occasion du Cambridge Folk Festival[16]. À travers ses chansons soucieuses de l'écologie, Malicorne s'oppose « à la guerre, à l'impérialisme américain »[17].

Pierre Kerhervé remplace Hughes de Courson sur scène (à la basse, aux instruments à vent et au chant) de à .

Au printemps 1976, Malicorne est à nouveau aux studios Acousti pour enregistrer son troisième album, l'emblématique Almanach. Publié en , l'album se présente comme un album-concept déclinant en douze titres traditionnels les « pratiques magiques qui sont en rapport direct avec les douze mois de l'année », comme l'explique Gabriel Yacoub sur la pochette de l'album. Almanach décroche son premier Disque d'or en pour 100 000 exemplaires vendus[18].À ce jour, Almanach s'est vendu à plus de 500 000 exemplaires dans le monde.[réf. nécessaire]

Déjà, Laurent Vercambre et Hughes de Courson ne veulent plus participer au groupe. Ils quittent Malicorne en septembre 1976 mais reviendront à l'été 1977, riches d'expériences acquises hors du groupe qu'ils mettront à profit pour l'enregistrement de l'album suivant.

René Werneer remplace Laurent Vercambre sur scène au violon[19] de au printemps 1977 tandis qu'Olivier Zdrzalik-Kowalski remplace Hughes de Courson sur scène à partir de .

Le quatuor originel aura donc réalisé seul les trois premiers albums studio du groupe avant d'être rejoint durablement en (principalement à la guitare basse et au chant) par Olivier Zdrzalik-Kowalski (présenté à Gabriel par Daniel Bornet qui le connaissait en tant que bassiste du groupe Komintern). Olivier participe à l'été 1977 au studio Normandie à l'enregistrement de Malicorne 4, le quatrième album du groupe qui sort en . Il participera à l'enregistrement de tous les albums suivants et deviendra ainsi membre à part entière de Malicorne.

Claude Alvarez-Pereyre est, à son tour, amené à remplacer Laurent Vercambre sur scène au violon dans le courant de l'année 1977.

Fin 1977, Malicorne publie sa première compilation intitulée Quintessence comprenant "Martin", un titre jusque là inédit en album car auparavant disponible uniquement en single (sorti début 1975)[20], qui deviendra l'un des titres les plus emblématiques du style et du son Malicorne.

À nouveau, Laurent Vercambre et Hugues de Courson ne veulent plus participer au groupe. Cette formation dite "classique" enregistre pourtant en 1978 son cinquième et dernier album studio, L'Extraordinaire Tour de France d'Adélard Rousseau, dit Nivernais la clef des cœurs, Compagnon charpentier du devoir, second album-concept du groupe (après Almanach).

En 1979, Malicorne publie En public, son premier album live, enregistrement (partiel) de deux concerts donnés à Montréal au El Casino les 2 & . Outre quelques-uns de leurs classiques issus des premiers albums et de Pierre de Grenoble, ce live comporte quelques titres inédits en studio : un medley de reels, une suite de branles et « C'est le mai », une chanson en partie écrite par Gabriel.

Cette formation classique (avec ou sans Olivier Zdrzalik-Kowalski) aura publié au total 7 albums (parmi les plus marquants du groupe) dont la première compilation et le premier album live du groupe.

1979-1982 : la nouvelle formation

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La publication en 1979 de l'album live En public coïncide avec le départ définitif de deux de ses membres originaux, Laurent Vercambre et Hughes de Courson, qui sont tous deux remplacés par Patrick Le Mercier au violon et à la guitare et par Jean-Pierre Arnoux à la batterie et aux percussions.

L'anglais Brian Gulland aux vents et Dominique Regef à la vielle à roue et au violoncelle complètent la formation pour l'enregistrement de l'album Le Bestiaire (1979), troisième album-concept du groupe. Cette nouvelle formation (réduite à nouveau à un quintet avec le départ de Brian Gulland et Dominique Regef) s'éloignera du répertoire traditionnel en 1981 avec la publication de son second album Balançoire en feu, fruit d'une collaboration inédite avec un membre extérieur au groupe, le parolier Étienne Roda-Gil, qui rencontrera un succès mitigé[réf. nécessaire].

« [Sans] lassitude aucune mais plutôt l'impression d'avoir fait le tour du sujet », ayant « peur d'être moins créatifs » et conscients que leur « dernier album a dérouté [leurs] fans »[réf. nécessaire], les membres de Malicorne « d'un commun accord » décident d'arrêter : le groupe se sépare début 1982 à l'issue d'une dernière tournée de concerts achevée fin 1981. Comme l'explique Gabriel Yacoub, « on a choisi de tirer notre révérence et puis chacun avait d'autres projets artistiques ou projets de vie. Marie voulait privilégier sa vie de famille et moi j'ai continué une carrière en solo qui m'a mené d'Europe aux USA en passant par le Canada en écrivant mes propres chansons mais sans renier la musique traditionnelle. »[21]

1984-1989 : les dernières années

Le groupe se reforme à l'été 1984 le temps d'une tournée de concerts nord-américaine en juillet–août et de quelques dates en France en octobre puis à nouveau en 1986 autour de l'album Les Cathédrales de l'industrie et enfin en 1987–1989 pour une tournée d'adieu passant notamment en Belgique, en Angleterre et aux États-Unis[22] (à laquelle Marie participera sur une partie seulement, limitée aux premiers concerts donnés fin 1987) et s'achevant par un concert donné le 22 juillet 1989 au festival des Tertres à Saint-Gouéno dans les Côtes-d'Armor[23].

2010 : la reformation exceptionnelle de Malicorne aux Francofolies

Le , près de 29 ans après la première séparation du groupe et près de 22 ans après sa séparation définitive, sur l'insistance de Gérard Pont[24], le directeur des Francofolies de La Rochelle qui faisait le forcing depuis une quinzaine d’années pour programmer [le groupe] dans son festival »[21]), Gabriel accepte de reformer Malicorne le temps d'un concert exceptionnel donné dans le cadre du festival réunissant sur scène pour la première fois en 31 ans les cinq membres de la formation classique soit les quatre membres fondateurs Gabriel Yacoub, Marie Sauvet, Laurent Vercambre et Hughes de Courson augmentés d'Olivier Zdrzalik-Kowalski (qui avait rejoint le groupe seulement en 1976). Cette formation classique est complétée par Yannick Hardouin (basse) et David Pouradier Duteil (batterie et percussions) et rejointe sur scène par de nombreux artistes invités à interpréter à leur façon les classiques du répertoire de Malicorne : Gilles Chabenat, J. P. Nataf, Le Quatuor, Michel Rivard, Karl Zéro, Tété, Claire Diterzi, Bensé et Jil Is Lucky en duo[25].

La publication en d'un album et d'un DVD tous deux intitulés Concert exceptionnel aux Francofolies de la Rochelle rend compte de cet évènement.

2011-2017 : de « Gabriel et Marie de Malicorne » à « Malicorne »

Le concert exceptionnel aux Francofolies révèle au couple fondateur Gabriel Yacoub et Marie de Malicorne l'engouement intact du public et même l'intérêt des jeunes générations pour la musique de Malicorne. Gabriel et Marie mûrissent alors lentement le projet d'un nouveau groupe appelé d'abord « Gabriel et Marie de Malicorne » puis simplement Malicorne[non neutre]. Gabriel explique : « finalement, ce sera toujours Malicorne mais avec quatre nouveaux musiciens parmi lesquels de vieux complices comme Gilles Chabenat [à] la vielle » [ou Yannick Hardouin à la guitare basse] mais aussi l'arrivée dans le groupe d'un petit nouveau : l'accordéon diatonique « malicornisé » sous les doigts de Romain Personnat. »[21]

Sur scène, Malicorne reprendra « quelques "standards", histoire de ne pas décevoir ». Mais pas question pour le groupe « de se laisser enfermer dans le passé ou de s'imposer des limites. »[réf. nécessaire] Outre du « traditionnel [qu'il adapte] sans vergogne », le groupe « proposera d'autres textes plus oniriques que [Gabriel écrit lui-même] en gardant « l'esprit Malicorne» ». À côté des airs du Berry où [Gabriel s'est] installé depuis longtemps, on retrouvera « aussi diverses influences musicales allant de la Louisiane au Haut Moyen Âge en passant par Ravel, Debussy ou Fauré »[21]

Formation d'un nouveau groupe : nouvelle tournée et projet de nouvel album

En , 38 ans après que Gabriel et Marie Yacoub ont publié l'album Pierre de Grenoble, le site web de Kerne Production (agence dirigée par Jean-Philippe Mauras jusqu'en 2013) annonce la formation d'un nouveau groupe sous le nom de « Gabriel et Marie de Malicorne » : outre le couple éponyme Gabriel Yacoub (chant, guitare, mandoloncelle) et Marie Sauvet (Marie de Malicorne sur scène) (chant, dulcimer, psaltérion), le groupe comptera Yannick Hardouin (claviers, basse acoustique, chant), Gilles Chabenat (vielle à roue électro-acoustique), tous deux collaborateurs de longue date de Gabriel (avec lequel ils jouent habituellement en trio), David Pouradier Duteil (percussions, chant) (déjà présent sur scène aux côtés de Malicorne lors du concert de La Rochelle) et un nouveau venu, Romain Personnat (accordéon diatonique, harmonium, chant).

Prenant modèle sur Almanach, album publié en 1976, Kerne Production annonce deux projets :

  • la mise en place à compter de d'une tournée intitulée "Almanach Tour 2012-2013"[26][source insuffisante] de célébration des 40 ans de carrière de Gabriel et Marie dont le répertoire se composera des standards qui ont fait le succès de Malicorne ainsi que de nouveaux morceaux inédits : des traditionnels (issus de l'expérience, de l'information et de la documentation acquises par Gabriel et Marie pendant toutes ces années) et des compositions,
  • l'enregistrement à la fin de l'année 2013[14] d'un nouvel album[1] (au titre initialement annoncé comme étant Almanach 2013) auquel participeront de nombreux invités qui ont influencé le groupe ou qui ont fait perdurer la légende.

En , Daniel Bornet reprend le management du groupe. Le booking, jusque-là assuré par Kerne Production, est alors confié à Pyrprod[27][source insuffisante].

« Almanach Tour »

Au cours de l'« Almanach Tour », le groupe se produit dans des salles plus ou moins grandes mais aussi en plein air lors de festivals d'été. Pendant les six premiers mois, sur huit dates, l'« Almanach Tour » passe pas moins de cinq fois par la Bretagne[28][source insuffisante]. Par la suite, la tournée se poursuit dans toute la France mais passe aussi dans trois pays limitrophes ou proches : en Belgique en 2013, aux Pays-Bas en 2014 et en Suisse en 2015[réf. nécessaire].

Le 27 juillet 2015, Malicorne annonce sur sa page Facebook la continuation de la tournée jusqu'en 2016 en confirmant de nouvelles dates de concerts en France pour fin 2015 (une date en banlieue parisienne) et début 2016 (une date dans le centre et deux dates dans le sud-ouest où Malicorne tourne rarement)[réf. nécessaire].

Retour au nom « Malicorne » à l'automne 2012

Le , la page Facebook de Malicorne[source insuffisante] annonce que le groupe de 6 musiciens Gabriel et Marie de Malicorne devient simplement « Malicorne », à la suite du fait que le couple éponyme s'est aperçu que le nouveau nom « ne marchait pas du tout », que « dans l'esprit des gens ça restait Malicorne »[réf. nécessaire].

Enregistrement du nouvel album

En , Malicorne rentre en studio à Greneville-en-Beauce pour commencer l'enregistrement du nouvel album. Le groupe travaille cinq titres : "Soleillet de l'air en l'air", "Géant" (deux titres que le groupe s'était déjà essayé à interpréter sur scène à l'été 1984 lors de sa tournée américaine), le tout nouveau titre "Au bout du bois", une nouvelle version du classique "Pierre de Grenoble" et un cinquième titre (non dévoilé) laissé seulement à l'état de maquette.

Arrivée d'un nouveau membre mi-2013, départ de Romain Personnat et retour de Laurent Vercambre fin 2014

Un 7e musicien est présent sur scène lors du concert de Malicorne le à Aubervilliers : collaborateur de longue date de Gabriel Yacoub, le guitariste Nicolaïvan Mingot avait déjà participé à l'enregistrement en des cinq premiers titres prévus pour le nouvel album. Malicorne joue à nouveau à seulement 6 musiciens au concert suivant le à l'occasion du Gooikoorts Festival qui a lieu en Belgique, mais au concert d'après, le au Château d'Ars, Nicolaïvan Mingot est de retour sur scène avec le groupe et, depuis lors, a intégré la formation[réf. nécessaire].

Ancien membre fondateur du groupe, Laurent Vercambre, d'abord seul au violon et au nyckelharpa puis en fin de concert au sein du duo de nyckelharpas qu'il forme avec Eléonore Billy, rejoint Malicorne sur scène sur plusieurs titres le lors du festival du Château d'Ars[29]. C'est alors la première fois que Laurent rejoue avec Malicorne depuis le concert du groupe (dans sa configuration classique) aux Francofolies de La Rochelle 3 ans plus tôt le . Par la suite, Laurent Vercambre assure la première partie du concert parisien que Malicorne donne le au Trianon[30],[31].

Le , Malicorne annonce sur sa page Facebook[source insuffisante] le retour permanent au sein du groupe en de Laurent Vercambre au violon et au nyckel-harpa, en remplacement de Romain Personnat, avec un premier concert donné par la nouvelle formation le samedi à Dijon (Théâtre des Feuillants)[31]. Romain Personnat aura donc définitivement quitté le groupe après un dernier concert de l'année 2014 donné le à Coutances.

Projet de nouvel EP, nouveau single et projet de nouvel album

Le , Malicorne confirme que son nouvel album studio est toujours en préparation, confiant « prendre [son] temps pour qu'il soit de qualité » et annonce « souhaiter tout de même sortir [...] pour le mois d' » deux disques : un EP de 4 titres « pour donner le ton de l'album » et un vinyle (en deux versions) d'un nouveau titre, "Les Cendres de Jeanne"[32], une chanson écrite par Gabriel Yacoub sur le personnage de Jeanne d'Arc[33]. Finalement, seul le vinyle sera publié le sous le titre Jehanne, proposant deux versions différentes, l'une en face A intitulée "Les Cendres de Jeanne" (signée Gabriel Yacoub / Nicolaïvan Mingot) interprétée par Malicorne, l'autre en face B intitulée "Ghjuvanna" (signée Gabriel Yacoub / Nicolaïvan Mingot / Laurent Vercambre) curieusement interprétée par A Filetta, groupe corse ami de Malicorne[34].

Départ de Laurent Vercambre à l'automne 2015

Mi-, Malicorne annonce sur sa page Facebook le départ définitif de Laurent Vercambre après seulement neuf mois passé au sein du groupe[31]. Ce départ a été décidé de façon concertée avec le groupe, Laurent Vercambre souhaitant se lancer dans d'autres projets musicaux. À l'origine, Laurent Vercambre devait annoncer son départ sur scène à l'occasion d'un dernier concert donné au sein de Malicorne le à Coucy-le-Château dans le cadre du « Historica - Pagan Festival » mais le concert avait été annulé à la suite de l'annulation de l'intégralité du festival par ses organisateurs. Malicorne redevient donc une formation à 6 musiciens, comme c'était le cas depuis le début de la tournée jusqu'à l'arrivée de Nicolaïvan Mingot au sein du groupe au printemps 2013.

Ultime concert

Le groupe donne un ultime concert le [4] lors du festival du chant de marin de Paimpol.

Le projet de nouvel album est définitivement abandonné concomitamment au dernier concert donné à Paimpol.

Membres du groupe

Anciens membres

  • Gabriel Yacoub : 1973–1989, 2010, 2011–2017
  • Marie Yacoub : 1973–1987, 2010, 2011–2017
  • Hughes de Courson : 1973–1978 (1981), 2010
  • Laurent Vercambre : 1973–1978, 2010, 2013, 2014–2015[31]
  • Max Picout : tournée 1973–1974
  • Pierre Kerhervé : tournée 1975–1976
  • René Werneer : tournée 1976–1977
  • Claude Alvarez-Pereyre : tournée 1977
  • Olivier Zdrzalik-Kowalski : 1976–1986, 2010
  • Patrick Le Mercier : 1979–1981
  • Jean-Pierre Arnoux : 1979–1981, 1986, tournée 1987–1989
  • Brian Gulland : 1979–1980
  • Dominique Regef : 1979–1980
  • Gérard Lavigne : tournée 1984
  • Jean-Marc Alexandre : tournée 1984
  • Frank Gliksman : tournée 1984
  • Michel Le Cam : tournée 1984, 1986, tournée 1987–1989
  • Patrice Clémentin : tournée 1987–1989
  • Frédéric Mathet : tournée 1987–1988
  • Nikki Matheson : tournée 1987–1989
  • Yannick Hardouin : 1989, 2010, 2011–2017
  • David Pouradier Duteil : 2010, 2011–2017
  • Gilles Chabenat : 2011–2017
  • Romain Personnat : 2011–2014
  • Nicolaïvan Mingot : 2013–2017

Musiciens invités sur les albums

Discographie / Vidéographie

Albums pré-Malicorne

Albums / DVD

  • 1996 : Vox (compilation #3 - chansons interprétées uniquement a capella)

Singles

Les singles que Malicorne a publiés sont, pour la plupart, des singles promotionnels donc non destinés à la vente (sauf trois d'entre eux publiés en 1986, 1996 et 2015)[réf. souhaitée]:

  1. 1975 : Martin (A: "Martin" (1975) (3 min 05 s) / B: "Ronde (Instrumental)" (1974) (1 min 49 s)) (Hexagone 881 002)[n 4],[36],[20]
  2. 1975 : J'ai vu le Loup, le Renard et la Belette (A: "J'ai vu le Loup, le Renard et la Belette" (1975) (2 min 27 s) / B: "Marions les Roses" (3 min 28 s) (1975)) (Hexagone 881 004)
  3. 1975 : Marions les Roses (A: "Marions les Roses (version courte spécial radio)" (1975) (2.57) / B: "J'ai vu le Loup, le Renard et la Belette" (1975) (2.27)) (Hexagone 882 001)
  4. 1976 : La Jambe Me Fait Mal (Noël est arrivé) (spécial radio) (A: "La Jambe Me Fait Mal (Noël est arrivé)" (1976) (2.00) / B: "Quand Je Menai Mes Chevaux Boire" (1976) (3.45)) (Hexagone 882 006)
  5. 1976 : Almanach (spécial radio) (A: "La Fille au Cresson" (1976) (3 min 35 s) / B: "Branle de la haie" (1976) (2 min 05 s)) (Hexagone 882 007)
  6. 1978 : La Chica del berro (La Fille au cresson) (A: "La Fille au cresson" ("La Chica del berro") (1976) (3 min 37 s) / B: "Quand je menais mes chevaux boire" ("Cuando llevaba mis caballos a beber") (1976) (4 min 36 s) (Mediterraneo (Espagne) 01.0383/6)[37]
  7. 1978 : À Paris la grande Ville (A: "À Paris la grande Ville" (1978) / B: "La danse des damnés" (1978) (Ballon Noir Bal 45001)
  8. 1986 : Dormeur (A: "Dormeur (version radio 3 min 50 s)" (1986) (3 min 50 s) / B: "Dormeur (version album 4 min 42 s)" (1986) (4 min 42 s)) (Celluloïd CEL 1942)[38]
  9. 1986 : Big Science (1.2.3.) (A: "Big Science (1.2.3.)" (1986) / B: "Sorcier" (1986)) (Celluloïd CEL 1945) (single non promotionnel)
  10. 1996 : Marions les Roses (A: "Marions les Roses (remix 1996)" (3 min 16 s) / B: "Marions les Roses" (1975) (3 min 30 s)) (Acousteack – Boucherie Productions – BP9291-A) (single non promotionnel)[39],[40]
  11. 2015 : Jehanne (A: "Les Cendres de Jeanne" (2015) / B: "Ghjuvanna" (2015)) (Le Roseau (autoproduction) – disponible uniquement au format vinyle 33 tours / 30 cm / 2 titres) (single non promotionnel)[41]

Prestations télévisées assurées en playback

  • 1976 : Le Mariage anglais (3.42)[42]
  • 1977 : Landry (4 min 05 s)
  • 1977 : Le Luneux (5 min 12 s)
  • 1977 : L'Écolier assassin (3 min 50 s (1 min 01 s + 2 min 49 s))
  • 1978 : Une fille dans le désespoir (3 min 17 s)
  • 1978 : À Paris la grande ville (2 min 33 s) (1978 ; prestation télévisée extraite de l'émission Top Club présentée par Guy Lux, réalisée par Georges Barrier et diffusée le 25/10/1978 sur la chaîne de télévision française Antenne 2)

Vidéo clips

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  • 1981 : Balançoire en feu (3 min 29 s)
  • 1986 : Big Science (1.2.3.) (3 min 53 s)

Contributions

  • 1974 : Kertalg 1974[43] (Barclay BAR 90 011 - LP, France) : album collectif regroupant les enregistrements de quelques titres live interprétés par divers artistes lors de l'édition 1974 du festival de Kertalg dont un titre live inédit de Malicorne : "Rossignolet des bois et ronde" (Traditionnel/Arrgt. Malicorne) (4.06)
  • 1978 : La Marée Noire (Ballon noir BAL 13005) : album collectif dont le bénéfice des ventes était destiné aux associations écologiques travaillant à réparer les dégâts provoqués par le naufrage de l'Amoco Cadiz et comprenant un titre de Malicorne "Le Navire de Bayonne / Paye Paysan" interprété avec le groupe traditionnel La Bamboche
  • 1979 : Grand bal folk (Hexagone N°883 033) : compilation regroupant des titres de 4 groupes folk : Malicorne, La Bamboche, Le Grand Rouge et La Chifonnie

Identité et influence

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L'influence de Malicorne, dans la vague folk des années 1970 en France, fut importante, au côté de groupes et d'artistes plus traditionnels comme La Bamboche ou La Chifonnie. Pour L'encyclopédie de la chanson française, le groupe est « le plus beau fleuron du folk français »[44]. Le groupe se caractérise par l'innovation constante, avec un important travail sur le son et le mariage réussi des instruments traditionnels (acoustiques) et modernes (électroacoustiques et électriques)[17].

Thèmes

De source traditionnelle, la plupart des chansons de Malicorne traitent de sujets sombres tels que les amours déçues (Le Deuil d'amour, Le Mariage anglais, Le Galant indiscret), la guerre (Pierre de Grenoble, Le Prince d'Orange), la cruauté (L'Écolier assassin), la pauvreté (Alexandre / Danse bulgare) ou de tristes histoires d'épouvante (L'Auberge sanglante). La magie et les malédictions en tout genre tiennent également une place importante dans les albums, à l'image du Bestiaire (1979)[réf. souhaitée].

À côté des titres sérieux, on[style à revoir] trouve également des textes ou des mélodies plus légères voire comiques (La Fille au cresson, Couché tard, levé matin, Ma chanson est dite, Le Branle des chevaux ou Le Ballet des coqs).

Chant

Le travail des voix est l'un des piliers de ce groupe novateur[réf. nécessaire], qui a fait des chants et complaintes a cappella une de ses spécialités, notamment avec des titres comme Le Prince d'Orange, Marions les roses ou La Blanche Biche. Quasiment toutes leurs chansons a cappella peuvent être retrouvées sur la compilation Vox (1996).

Musique

De la guitare électrique au mandoloncelle en passant par le cromorne ou le violon, le groupe a marié les instruments traditionnels et électriques. Les mélodies sont généralement issues du répertoire traditionnel, mais souvent des compositions originales introduisent ou finissent des thèmes traditionnels.

Le groupe travaille également sur des sons novateurs et des bruitages qui créent une ambiance particulière et va jusqu’à créer des instruments nouveaux tels que l'orgue à voix qu'on peut entendre notamment sur le titre La Blanche Biche (1977). Sont utilisés également des instruments moins connus tels que le dulcimer, l'épinette, la vielle à roue, le nyckelharpa, la viole d'amour, l'orgue Elka, etc.

Les influences musicales du groupe sont principalement les musiques traditionnelles française et québécoise, la musique du Moyen Âge, la musique celtique mais aussi le rock et le jazz[45].

Albums

Certains disques ont un thème général ou un fil conducteur, faisant d'eux des albums-concept[réf. souhaitée] :

Le disque Almanach (1976) reste à ce jour encore l'album le plus vendu par le groupe (500 000 exemplaires)[réf. souhaitée].

Sur leur première compilation Quintessence (1977) figure un titre, "Martin" (paru originellement en single) uniquement disponible (en LP) sur ce disque.

Annexes

Bibliographie

  • Sylvie Coulomb, Didier Varrod, 1968-1988 Histoires de chansons, Balland, 1987
  • Gilles Verlant, L'encyclopédie de la chanson française, France Loisirs, 1997
  • Arnaud Choutet, Malicorne, Le Mot et le Reste Édition, Marseille, , 176 pages[46]

Notes et références

Notes

  1. Commencée à l'été 2012 en Bretagne et achevée à l'été 2017 en Bretagne, la tournée « Almanach Tour » a compté trente-neuf dates : trente-six dates en France, une en Belgique (au festival de Gooik) en juillet 2013, une aux Pays-BasRotterdam) en février 2014 et une en Suisse (au Paléo festival à Nyon) en juillet 2015.
  2. ... le concert que le groupe devait donner le mois suivant (en septembre 2017) à Malicorne-sur-Sarthe – la ville qui a inspiré son nom au groupe – ayant, en effet, été annulé. Avant son annulation, une affiche promotionnelle annonçant le concert avait même été conçue et imprimée. On pouvait lire sur l'affiche : À MALICORNE-SUR-SARTHE / DERNIER CONCERT / DU GROUPE / MALICORNE / LE SAMEDI 16 SEPTEMBRE 2017 À 21H / Stade de Malicorne, Port Sainte Marie / 1ère partie – BLAUZMANN à 18h00 / 2ème partie – SEM à l'ouest à 19h30.
  3. Le groupe croyait encore en 2015 à la réalisation à venir de son projet jusqu'à l'annonce officielle de son abandon à l'été 2017.
  4. Publié au début de 1975 à la suite de la sortie en octobre 1974 de leur premier album Malicorne, Martin fut le premier single publié par Malicorne, à la demande de leur maison de disques ayant alors considéré que leur premier album manquait d'un titre accrocheur susceptible d'être diffusé en radio.

Références

  1. l'union / L'Ardennais – Gabriel et Marie de Malicorne au programme de Patrimoine vivant « On prépare un album », publié le vendredi 14 septembre 2012 à 11h00, propos recueillis par Laurence PICANO
  2. Article paru dans Trad Magazine no 144 (juillet/août 2012) p34-36 : interview de Gabriel Yacoub (propos recueillis par Gérard Viel)
  3. Malicorne : « Nos groupies sont des gros mecs barbus » (interview de Gabriel Yacoub et Marie de Malicorne), publié le samedi 13 octobre 2012, propos recueillis par Gwenn Chenebaud
  4. Thierry Peigne, « Festival Paimpol : le groupe Malicorne tire sa révérence », sur francetvinfo.fr, France 3 Bretagne, (consulté le ).
  5. Le Monde > Article "« Le Grand Rouge », l'album qui m'a fait aimer… la bourrée" (extrait : "Malicorne : neuf albums, 2 millions d'exemplaires vendus. Le folk à la portée des masses.") par Laurent Carpentier publié le 31 juillet 2020
  6. Site web de Youra Marcus / Biographie
  7. Site web de Gabriel Yacoub / Galerie / New Ragged Company - mon premier groupe
  8. Site web de Gabriel Yacoub / Prod / Pierre de Grenoble / Crédits
  9. Page perso orange "yacoub-malicorne-dgf" de Frédéric Gerchambeau
  10. Site web de Gabriel Yacoub / Production / Article "Shaking out the sheets: Dirty Linen Classics" extrait de Dirty Linen #68 février / March 1997
  11. Forces parallèles (fp.nightfall.fr) / article critique "Pierre De Grenoble (1973)" par CHIPSTOUILLE le 20 février 2007
  12. www.pyrprod.fr> Nos artistes> Malicorne
  13. Livret de l'album En public (1979)
  14. "Malicorne en concert aux sources de la chanson traditionnelle - Quéven" du vendredi 15 février 2013 par Gildas JAFFRÉ, Ouest-France, publié le 13/02/2013
  15. Manuel Rabasse, « Les années fastes du folk », Libération, 14 avril 2018 (version papier), p. 36 (ISSN 0335-1793, lire en ligne, consulté le ) :
    « Dans le sillage de l’album A l’Olympia de Stivell, véritable best-seller, Malicorne connaît à partir de 1973 un succès assez inattendu. [...] Le mouvement prend alors de l'ampleur. »
  16. Coulomb, Varrod, p. 90.
  17. Coulomb, Varrod, p. 91.
  18. Verlant, p. 135.
  19. Forces parallèles (fp.nightfall.fr) / article critique "René WERNEER - L'habit de Plumes (1977)" par MARCO STIVELL 13 novembre 2010
  20. Choutet, p. 40.
  21. « La magie de Malicorne », sur lejsl.com,
  22. Blog "Nos Enchanteurs" / Article "Interview : la genèse de Malicorne (4)"
  23. Choutet, p. 102.
  24. touteslesmusiquesquejaime.over-blog.com / Article "Petite planète, tome 15 : Malicorne, aux Francofolies de La Rochelle"
  25. Magazine Vapeur Mauve N°10 - Octobre 2010 / Article « Les choses les plus simples : une entrevue avec Gabriel Yacoub » p98-99
  26. Kerne Production / Dates des concerts de la tournée « Almanach Tour 2012-2013 » de (Gabriel et Marie de) Malicorne"
  27. Site web de Gabriel Yacoub / Page "Contacts"
  28. http://www.gabrielyacoub.com/forum/index.php?action=affiche&ID=10733
  29. Malicorne en baisser de rideau, La Nouvelle République, 16 juillet 2013
  30. Blog Ethnotempos > Page "LAURENT VERCAMBRE à Paris"
  31. "Malicorne" par Arnaud Choutet, Édition Le Mot et le Reste, juin 2016.
  32. Site web ladepeche.fr > Article "Malicorne : le retour du groupe mythique" paru le 24/06/2015 proposant une interview de Gabriel Yacoub menée par Lucile Fradin à l'occasion du concert de Malicorne le 10 juillet 2015 à Albi dans le cadre du festival "Pause Guitare"
  33. Ouest-France / Bretagne / Lorient / Quéven / Archives du vendredi 15-02-2013 / Article "Malicorne en concert aux sources de la chanson traditionnelle - Quéven" du vendredi 15 février 2013 par Gildas JAFFRÉ
  34. Site web de Gabriel Yacoub > Vinyle 33 tours / 30 cm / 2 titres Johanne
  35. « Le sonneur Alan Kloatr est décédé (article de Ouest France du 22 janvier 2018) », sur Facebook, (consulté le )
  36. (en) « Malicorne – Martin », sur 45cat.com, (consulté le )
  37. (en) « Malicorne – La Chica del berro (La Fille au cresson) », sur 45cat.com, (consulté le )
  38. Site web de Gabriel Yacoub / Post "Malicorne a-t-il produit des 45 tours ?" de Bruno (Cornen) (le 24/03/2007)
  39. (en) « Malicorne – Marions Les Roses », sur discogs.com, (consulté le )
  40. (en) « malicorne – marions les roses – CD single promo 2 titres (96 et 75) – CD rares », sur priceminister.com, (consulté le )
  41. (en) « Jehanne », sur gabrielyacoub.com, (consulté le )
  42. « La prestation télévisée de 1976, sur Youtube. »
  43. informatik.uni-hamburg.de / Folk Records / Kertalg
  44. Verlant, pp. 134 et 135.
  45. http://pagesperso-orange.fr/frederic.gerchambeau/yacoub-malicorne-dgf.htm
  46. « Malicorne, Arnaud Choutet », sur lemotetlereste.com, (consulté le )

Liens externes

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