Madame de La Carlière

Madame de La Carlière, sous-titré Sur l'inconséquence du jugement public de nos actions particulières est un conte de l’écrivain français Denis Diderot rédigé en 1772, publié pour la première fois en volume en 1798[1].

Madame de La Carlière
Publication
Auteur Denis Diderot
Langue Français
Parution France, 1773
dans la Correspondance littéraire.
Intrigue
Genre Conte philosophique
Nouvelle précédente/suivante

Précédé de Ceci n’est pas un conte et suivi par le Supplément au voyage de Bougainville, il forme un triptyque de contes moraux rédigés en 1772[2] qui paraitra dans la Correspondance littéraire en 1773[3].

Madame de La Carlière tient son nom de la mère de Sophie Volland, Élisabeth Françoise Brunel de La Carlière[4].

Bibliographie

  • Laffitte M., Diderot : hésitations autour de la promesse (Histoire de Madame de la Carlière). In : Revue romane (ISSN 0035-3906), 1992, vol. 27, n°1, p. 90-103.

Notes

  1. Œuvres complètes de Diderot éditées par Naigeon, Paris, Desray, 1798.
  2. Diderot indique la fin de sa rédaction dans une lettre à Grimm datée du 23 septembre 1772.
  3. Pour les détails concernant ce triptyque, nous renvoyons à la présentation qui en est faite dans l’article consacré au premier volet, Ceci n’est pas un conte.
  4. Raymond Trousson, Denis Diderot, Paris, Tallandier, 2005, p. 212.
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