Lignières-Sonneville

Lignières-Sonneville est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Lignières.

Pour l’article ayant un titre homophone, voir Château de Lignères près de Sonneville dans le même département.

Lignières-Sonneville

Le château de Lignières et mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Dominique Mercier
2020-2026
Code postal 16130
Code commune 16186
Démographie
Gentilé Lignerois
Population
municipale
568 hab. (2018 )
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 33′ 35″ nord, 0° 10′ 54″ ouest
Altitude Min. 40 m
Max. 143 m
Superficie 16,36 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Champagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lignières-Sonneville
Géolocalisation sur la carte : Charente
Lignières-Sonneville
Géolocalisation sur la carte : France
Lignières-Sonneville
Géolocalisation sur la carte : France
Lignières-Sonneville

    Lignières-Sonneville résulte de la fusion de Lignières et de Sonneville en 1845[1].

    Ses habitants sont les Lignerois et les Ligneroises[2].

    Géographie

    Localisation et accès

    Lignières-Sonneville est une commune de l'ouest du département de la Charente, située à km au sud de Segonzac, chef-lieu de son ancien canton, et 28 km au sud-ouest d'Angoulême.

    Lignières est aussi à 10 km au nord de Barbezieux, 10 km au nord-est d'Archiac, 11 km à l'ouest de Châteauneuf-sur-Charente, 19 km au sud-est de Cognac, 24 km de Jonzac, 28 km de Pons[3].

    La D 699 d'Angoulême à Jonzac par Châteauneuf et Archiac traverse la commune d'est en ouest et dessert le bourg. La D 1 de Barbezieux à Segonzac traverse l'est de la commune du nord au sud[4].

    La gare la plus proche est celle de Châteauneuf, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

    Hameaux et lieux-dits

    Comme dans de nombreuses communes charentaises, Lignières-Sonneville possède un habitat dispersé et compte une cinquantaine de hameaux et fermes[5]. Les principaux sont les Abels au sud et Chez Piet au nord-est, les autres sont Maine Bois, Chez Guillon, Chez Ballet, Sonneville, Hauteneuve, le May, etc.[4].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente. Quelques petites zones d'argile sableuse datant du Tertiaire occupent les sommets des plateaux au nord et au nord-est de la commune[6],[7],[8].

    La commune a un relief assez vallonné, typique de la Champagne. Deux vallées de direction est-ouest traversent la commune, celle de Sonneville au nord et celle de Lignières au sud. Le point culminant de la commune est à une altitude de 143 m, situé à l'extrémité nord-est au Canton Marceau. Le Puy du Mont, au nord-est, culmine à 127 m, mais d'autres sommets dépassant les 120 m se trouvent en limite nord de la commune. Le point le plus bas est à 40 m, situé en limite ouest près d'Ambleville. Le bourg est à environ 55 m d'altitude[4].

    Hydrographie

    Le Collinaud qui prend sa source à Bonneuil et se jette dans le , affluent de la Charente, traverse la commune d'est en ouest et passe au bourg. La vallée de Sonneville est parcourue par un ruisseau temporaire, les Boulots, qui rejoint le Collinaud à Ambleville. On trouve aussi quelques fontaines comme celle de Galand au nord-est, ou la Font Gireau près de Sonneville[4].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Lignières-Sonneville est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (71,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), forêts (7,2 %), prairies (5,8 %), terres arables (4,1 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Lignières est attesté sous les formes latinisées Linerias (sans date), Lineriis au XIIIe siècle[15]. Il s'agit d'un terme issu du gallo-roman LINARIU, LINARIAS « terre où l'on cultive le lin », comme les différents Lignières, Lignères du nord de la France. La graphie moderne est inspirée de celle du mot « ligne »[16].

    Sonneville est mentionné sous la forme Sonovilla en 1151[17],[Note 2]. Nom médiéval en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé du nom de personne germanique Sunno[18]. Le même anthroponyme se retrouve dans les Soncourt, Sonchamp (de Sunocampo 1202)[19] et peut-être Senneville-sur-Fécamp (Sonevilla 1025 [?]) au nord de la Loire.

    Les noms en -ville en Charente, fréquents entre Barbezieux et Châteauneuf, seraient issus des implantations franques après le VIe siècle en Aquitaine, comme au sud-est de Toulouse[20].

    Lignières a absorbé Sonneville en 1845[1].

    Histoire

    Un fossé circulaire protohistorique a été trouvé aux Combes et un enclos rectangulaire Chez Piet[21].

    Au Moyen Âge, la terre de Lignières était une des plus belles possessions de la famille d'Archiac, elle-même une des plus remarquables de la Saintonge.

    En 1410, Pierre Borselle, écuyer, capitaine du château de Bouteville possède cette terre, qui passe par alliance en 1445 à Henri Poussard, chevalier, seigneur de Meursay. La famille Poussard possèdera Lignières jusqu'en 1719.

    Au XVIe siècle, Charles Poussard était aussi seigneur de Saint-Brice, Saint-Trojan et autres lieux. Il fut gouverneur de Dieppe et vice-amiral des côtes de Normandie. Son fils, aussi nommé Charles, fut élevé comme enfant d'honneur de Jeanne d'Albret, reine de Navarre, et devint ensuite gentilhomme de la Chambre du Roi, Henri IV.

    En 1719, Lignières passa à la famille de Plas jusqu'à la Révolution[22],[23].

    Les registres de l'état civil remontent à 1600.

    Au début du XXe siècle, des foires mensuelles se tenaient encore au bourg de Lignières, chaque deuxième jeudi.

    Sonneville formait une petite paroisse à part, érigée en commune en 1793, puis absorbée en 1845[22],[1].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Yves Alibé   Retraité
    2001 2008 Jean-Luc Frumholtz DVD  
    2008 2014 Patrick Vigneron-Larosa SE Retraité commandant marine marchande
    2014 En cours Dominique Mercier    

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[24]. Elle a reçu en 2015 le label « pierre et vignes », et en 2016 « terre saine ».

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

    En 2018, la commune comptait 568 habitants[Note 3], en diminution de 7,34 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    517567542434611930903958909
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 0291 005908940831770719708751
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    804722773751777751734737705
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    701615597603613609606606568
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Lignières-Sonneville en 2007 en pourcentage[28].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    2,1 
    90  ans ou +
    0,9 
    10,6 
    75 à 89 ans
    16,9 
    15,0 
    60 à 74 ans
    15,3 
    20,4 
    45 à 59 ans
    27,0 
    21,8 
    30 à 44 ans
    16,5 
    15,6 
    15 à 29 ans
    10,5 
    14,6 
    0 à 14 ans
    12,8 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[29].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    Lignières a absorbé Sonneville en 1845[1].

    Économie

    Agriculture

    Le vignoble à Lignières-Sonneville.

    La viticulture est la principale ressource de Lignières-Sonneville, qui est située dans la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac, en Grande Champagne, premier cru classé du cognac[30].

    Certains producteurs vendent cognac, pineau des Charentes et vin de pays à la propriété.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Ambleville, Lignières-Sonneville et Criteuil-la-Magdeleine. Lignières accueille l'école maternelle, avec deux classes, et Ambleville et Criteuil-la-Magdeleine les écoles élémentaires. Le secteur du collège est Segonzac[31].

    Associations et vie culturelle

    • La Petite Maison du lin, association pour la culture et patrimoine de la commune, et connaissance de la culture du lin en Grande Champagne[32].
    • Le Foyer rural, association paramunicipale, est chargé d'activités culturelles et touristique comme la gestion d'une bibliothèque de prêt, ainsi que l'atelier du peintre Daniel de Linière (1925-2014) de la seconde École de Paris qui présente un ensemble de toiles, d'aquarelles et de tapisseries[33].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • L'église paroissiale Notre-Dame de Lignières a été classée monument historique[34].
    • L'église paroissiale de la Sainte-Trinité (ou Saint-Pierre) de Sonneville, datée du XIIe siècle a été inscrite monument historique[35].
    • La chapelle de Saint-Palais-des-Combes datée de la fin du XIIe siècle a été inscrite monument historique[36].

    Le temple de Chez Piet a été aménagé dans une grange en 1757 après la destruction en 1685 du temple de Sonneville[37].

    Le cimetière, localisé à 300 m au nord du bourg de Lignières, est partagé en deux parties, une pour les catholiques, une pour les protestants, avec deux portails d'entrée, un pour chaque confession[38].

    Patrimoine civil

    • Autre patrimoine :
    • Des maisons sont datées de 1749 et de 1753 :
    • Châteaux et logis :

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Voir aussi Sonneville près de Rouillac.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    2. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    3. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    4. Carte IGN sous Géoportail
    5. Jean-Louis Berthet, Les Reflets de la Charente, Cognac, Monti, , 101 p.
    6. Carte du BRGM sous Géoportail
    7. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    8. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 238
    16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 403.
    17. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 176
    18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), p. 960.
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 660.
    20. Michel Rouche, L'Aquitaine des Wisigoths aux Arabes (418-781), t. 2, Jean Touzot, , 776 p. (présentation en ligne), p. 135-136, fig.18
    21. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 204
    22. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 216-217
    23. Jean-Marie Ouvrard, « Famille Poussard, blasons des Charentes » (consulté le )
    24. Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 février 2021.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Evolution et structure de la population à Lignières-Sonneville en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    29. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
    31. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    32. « La petite maison du lin », (consulté le )
    33. Cathy Rabiller, « Une commune nouvelle en 2017 ? », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )
    34. « Église Notre-Dame-de-Lignières », notice no PA00104394, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. « Église de Sonneville », notice no PA00104395, base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. « Église de Saint-Palais-des-Combes », notice no PA00104396, base Mérimée, ministère français de la Culture
    37. « Temple », notice no IA00042200, base Mérimée, ministère français de la Culture
    38. « Cimetière de catholiques, de protestants », notice no IA00042213, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. « Château de Lignières », notice no PA00104393, base Mérimée, ministère français de la Culture
    40. « Maison », notice no PA00104397, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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