Les Enfants du diable

Les Enfants du diable (Sometimes They Come Back... Again) est un film américain réalisé par Adam Grossman, sorti en 1996 directement sur le marché vidéo. C'est une suite du téléfilm Vengeance diabolique (1991) et il est lui-même suivi du Diable des glaces (1998).

Les Enfants du diable
Titre original Sometimes They Come Back... Again
Réalisation Adam Grossman
Scénario Guy Riedel
Adam Grossman
Acteurs principaux
Pays d’origine États-Unis
Genre Horreur
Durée 98 minutes
Sortie 1996


Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

Le psychologue Jon Porter revient dans sa ville natale, avec sa fille adolescente Michelle, à la suite de la mort étrange de sa mère. Trente ans plus tôt, sa sœur Lisa y a été assassinée sous ses yeux par trois voyous, Tony Reno, Vinnie Ritacco et Sean Patrick, qui ont eux-mêmes été tués juste après par électrocution. Tandis que Jon apprend que la mort de sa mère n'est pas accidentelle, Michelle est courtisée par un garçon nommé Tony Reno, qui lui donne un vieux bracelet.

Fiche technique

  • Réalisation : Adam Grossman
  • Scénario : Guy Riedel et Adam Grossman
  • Photographie : Christopher Baffa
  • Montage : Stephen Myers
  • Musique : Peter Manning Robinson
  • Société de production : Trimark Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Genre : horreur
  • Durée : 98 minutes
  • Dates de sortie :

Distribution

Production

Trimark Pictures a racheté les droits de Vengeance diabolique à Dino De Laurentiis pour en faire une sorte de suite qui reprend la même idée de départ de Cours, Jimmy, cours la nouvelle de Stephen King dont Vengeance diabolique est adapté. Les Enfants du diable a connu un succès modéré en vidéo, ce qui a permis de produire une autre suite, Le Diable des glaces, film qui n'a quant à lui absolument rien à voir avec la nouvelle de Stephen King[1].

Accueil critique

Pour Alexandre Poncet, de Mad Movies, le film profite du « charisme androgyne d'Alexis Arquette » mais n'offre « pas grand-chose à se mettre sous la dent, excepté peut-être deux scènes de meurtres très originales »[1].

Notes et références

  1. Alexandre Poncet, « Again and More ! », Mad Movies, no HS 22, , p. 87

Liens externes

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