Les Désemparés (film, 1949)

Les Désemparés (The Reckless Moment) est un film américain réalisé par Max Ophüls, sorti en 1949.

Pour les articles homonymes, voir Les Désemparés.

Synopsis

Son mari étant sans cesse en déplacement, Lucia Harper vit avec ses deux enfants chez son beau-père. Sa fille Beatrice s'éprend d'un homme peu recommandable, Ted Darby. Cette relation inquiète, à juste titre, Lucia qui veut y mettre fin. Après une rencontre entre Beatrice et Darby, Lucia retrouve Darby mort. Pour protéger sa fille, elle fait disparaitre le corps et devient alors la proie d'un maître chanteur, Martin Donnelly...

Fiche technique

Distribution

  • James Mason : Martin Donnelly
  • Joan Bennett : Lucia Harper
  • Geraldine Brooks : Beatrice Harper
  • Henry O'Neill : Tom Harper
  • Shepperd Strudwick : Ted Darby
  • David Bair : David Harper
  • Roy Roberts : Nagel
  • William Schallert : le lieutenant
  • Ann Shoemaker : Mrs. Feller
  • Pat O'Malley : un garde à la banque
  • Danny Jackson : le batteur
  • Claire Carleton : la femme blonde
  • Billy Snyder : le joueur
  • Peter Brocco : le barman
  • Karl 'Killer' Davis : le lutteur
  • Joe Palma : le joueur de cartes
  • Paul E. Burns : l'employé de bureau
  • Everett Glass : un employé du magasin
  • John Butler : le prêteur sur gage
  • Kathryn Card : Mrs. Loring
  • Penny O'Connor : Liza
  • Sharon Monaghan : Bridget
  • Charles Marsh : le journaliste
  • Boyd Davis : l'homme de grande taille
  • Louis Mason : Mike
  • Bruce Gilbert Norman : Dennie
  • Charles Evans : l'employé de banque
  • Jessie Arnold : la vieille dame
  • Frances E. Williams : Sybil
  • Pat Barton : la réceptionniste
  • Buddy Gorman : un employé du magasin
  • Harry Harvey : un employé des postes
  • Norman Leavitt : un employé des postes
  • Mike Mahoney : un policier
  • John Monaghan : un policier
  • Glenn Thompson : un policier
  • Dorothy Phillips : une femme
  • Celeste Savoi : la serveuse

À noter

  • Dans son livre Max Ophüls, publié chez Seghers, en 1963, Claude Beylie fait remarquer : « Ophüls paraît s'orienter vers une crispation ultime de sa sensibilité, plongeant ses protagonistes dans un univers lugubre et ouaté, où le désespoir a tout recouvert, donjuanisme, amitié et bonheur familial y compris. La douce quiétude rhénane y est anéantie dans les arcanes du film noir. »

Liens externes

  • Portail du cinéma américain
  • Portail des années 1940
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.