Lecumberry

Lecumberry est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Lecumberry

L'église Saint-Martin.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Joseph Goyheneix
2020-2026
Code postal 64220
Code commune 64327
Démographie
Gentilé Lekunberritar
Population
municipale
173 hab. (2018 )
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 08′ 10″ nord, 1° 08′ 31″ ouest
Altitude Min. 247 m
Max. 1 468 m
Superficie 58,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Jean-Pied-de-Port
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lecumberry
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Lecumberry
Géolocalisation sur la carte : France
Lecumberry
Géolocalisation sur la carte : France
Lecumberry

    Le gentilé est Lekunberritar[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Lecumberry se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontalière avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)[2].

    Elle se situe à 119 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 62 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 43 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Mendive (1,0 km), Béhorléguy (2,1 km), Ahaxe-Alciette-Bascassan (2,5 km), Bussunarits-Sarrasquette (4,1 km), Aincille (4,4 km), Hosta (5,2 km), Saint-Jean-le-Vieux (5,3 km), Estérençuby (5,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Lecumberry fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.

    La commune est frontalière avec l'Espagne (Navarre), au sud.

    Patrimoine environnemental

    La grotte de Mikelauensilo (0,1 ha) est l'une des rares habitée par des chauves-souris.

    Elle se compose de deux salles : l'une qui peut abriter 200 brebis, l'autre, plus petite, est accessible par un petit orifice au fond de la pièce principale.
    Un tunnel, qui part aussi de la pièce principale, permet de ressortir dans la montagne 80 à 100 mètres plus bas.
    Le sentier qui y mène part de la maison Laharrakia.
    L'histoire dit qu'un jour des contrebandiers des environs détenaient en instance de "passage" 200 brebis cachées dans cette grotte. Les douaniers connaissaient leur existence mais pas le lieu. Les contrebandiers allèrent tous au marché de Saint-Jean-Pied-de-Port et firent la fête avec les douaniers, pendant que les filles du village passaient les brebis.
    C'est un des sites du conservatoire régional des espaces naturels des Pyrénées.
    Cette grotte a donné lieu à un rapport de la SFEPM sur la vie des chauves-souris[13].

    La forêt d'Iraty couvre 17 300 hectares répartis entre la Soule (Larrau), la Basse-Navarre (Mendive et Lecumberry) et la Navarre.

    L'Errozate, 1 345 mètres, est un mont situé sur les communes d'Estérençuby et de Lecumberry.

    Le Mokorreta, 680 mètres, mont au sud de Lecumberry.

    Hydrographie

    Ses terres sont arrosées[14] par des tributaires de la Nive, le Laurhibar (et par les affluents de celui-ci, l'Esteneko erreka et l'Etcheberriko erreka) et le ruisseau l'Ampro (et par les tributaires de celui-ci, l'Uritchondoko erreka et le Lapurdieko erreka, alimenté lui-même sur la commune par l'Artekoheguiko erreka et par l'affluent de ce dernier, le Maluzaharreko erreka).

    La commune est aussi arrosée par l'Irati[15] et par ses affluents, le ruisseau de Sourzay, Léherreko erreka, Oraatéko erreka, Patarbeltcheko erreka, Larreluchéko erreka, Arpiako erreka et Uthurkokotséko erreka.

    Archilondoko erreka coule également sur le territoire de la commune, accompagné de ses tributaires, Churruztako erreka, Contracharoko erreka, Toscako erreka, Iraunabako erreka (et par l'affluent de celui-ci, Muskuldyko erreka) et Murgatzaguiko erreka.

    Chiripisiako erreka, et son tributaire, Gasnateguiko erreka, traversent aussi la commune.

    L'Irati et Archilondoko erreka sont sur le bassin versant méditerranéen (bassin de l'Èbre), et font de Lecumberry la commune de France, avec Mendive, où celui-ci est le plus proche de l'océan Atlantique (60 km depuis la D 301, du petit col d'Iraukotuturru où passe aussi le GR 10, au sud-ouest de Mendiondo[16]).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[18].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[19]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[17]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 585 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[20] complétée par des études régionales[21] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Irouleguy », sur la commune d'Irouléguy, mise en service en 1963[22]et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[23],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 398,2 mm pour la période 1981-2010[24]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 49 km[25], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[26], à 14,3 °C pour 1981-2010[27], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[28].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Six sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[30],[Carte 1] :

    • les « montagnes du pic des Escaliers », d'une superficie de 8 600 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[31] ;
    • la « forêt d'Iraty », d'une superficie de 2 500 ha, abritant des espèces d’intérêt communautaire caractéristiques des vielles forêts comme Rhysodes sulcatus et Rosalia alpina mais aussi des espèces des cours d’eau comme Galemys pyrenaicus et Lutra lutra[32] ;
    • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[33] ;
    • le « massif des Arbailles », d'une superficie de 12 784 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[34] ;
    • les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port », d'une superficie de 11 760 ha, une montagne à estives, espaces pastoraux d’altitude (au-dessus de 800-900 m) ouverts sur de vastes étendues[35] ;
    • « la Bidouze (cours d'eau) », d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[36] et deux au titre de la « directive Oiseaux »[30],[Carte 2] :
    • la « Haute Soule : forêt d'Iraty, Orgambidexka et Pic des Escaliers », d'une superficie de 5 584 ha, un massif très vaste à très grande diversité d'habitats et d'espèces. La varité des milieux et l'étagement altitudinal offre de bonnes conditions pour l'accueil de l'avifaune pyrénéenne[37] ;
    • la « haute Cize : Pic d'Herrozate et forêt d'Orion », d'une superficie de 6 374 ha[38].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 7]sont recensées sur la commune[39],[Carte 3] :

    • le « bassin versant de l'Irati : forêt de hêtre, zones tourbeuses et affleurements rocheux » (5 371,47 ha), couvrant 3 communes du département[40] ;
    • la « grotte de Mikelauenzilo et alentours » (7 568,16 ha), couvrant 7 communes du département[41],
    • la « Haute Cize : forêt d'Orion et sommet d'Erozate » (2 703,85 ha), couvrant 4 communes du département[42] ;

    et cinq ZNIEFF de type 2[Note 8],[39],[Carte 4] :

    • la « Haute-Soule » (26 095,69 ha), couvrant 9 communes du département[43] ;
    • les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[44] ;
    • le « massif des Arbailles » (14 782,04 ha), couvrant 13 communes du département[45];
    • les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port » (14 133,83 ha), couvrant 9 communes du département[46];
    • le « réseau hydrographique des Nives » (3 596,23 ha), couvrant 33 communes du département[47];

    Urbanisme

    Typologie

    Lecumberry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[48],[49],[50].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[51],[52].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (54,2 %), forêts (38,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,9 %), prairies (1,4 %)[53].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

    Lieux-dits et hameaux

    • Aborréta
    • Ahatekarrika
    • Bordas d'Iritzarrazquy
    • Cabanes d'Egurguy
    • Etchemcimborda
    • Gastellu
    • Gastellucomalda
    • Janits
    • Latartza ou Latartze
    • Mendiondo

    Voies de communication et transports

    Lecumberry est desservie par la route D 18.

    Toponymie

    Mentions anciennes

    Le toponyme Lecumberry est mentionnée[54] en 1402 (titres de Navarre[55]) et apparaît sous les formes Laccumberry (1650), Saint Martin de Lecumberry (1703, visites du diocèse de Bayonne[56]), Sanctus-Martinus de Janits vulgo de Lecumberry (1763, collations du diocèse de Bayonne[57]) et Lécumberry (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[54]).

    Le château Aborréta, sur la frontière avec l'Espagne, est mentionné en 1863 (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[54]).

    Le toponyme Janits apparaît[54] sous les formes Yaniz (1513, titres de Pampelune[58]) et Sanctus Martinus de Janits (1763, collations du diocèse de Bayonne[57]).

    Le toponyme Latartza apparaît[54] sous la forme Latarce (1708, règlement de la commanderie d'Irissarry[59]).

    Graphie basque et explications

    Son nom basque actuel est Lekunberri[1], toponyme qui provient de leku (basque pour « lieu », du latin « locus ») et berri (basque pour « neuf »). La présence du n est selon André Martinet un fossile linguistique, témoin que le mot berri était mberri [berri] par le passé[60]

    Le village peut aussi être appelé Lekunberri Garazi[1], s'il faut le distinguer de son homonyme Lekunberri située dans la province basque de Navarre en Espagne. Le deuxième élément fait référence au pays de Cize, Garazi en basque.

    Histoire

    Le [61], la commune perd une partie de son territoire à la suite de la création de la commune d'Estérençuby.

    Héraldique

    Blasonnement :
    Parti au 1 d'azur à la fasce échiquetée d'argent et de gueules à deux tires accompagnée de trois coquilles d'argent ; au 2 d'or à deux sangliers de sable rangés en pal[62].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2008 Bernard Jauréguy    
    2008 En cours Joseph Goyheneix EHBAI[63]  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune appartient à sept structures intercommunales[64] :

    Lecumberry accueille le siège du syndicat AEP Ahaxe - Lecumberry - Mendive ainsi que celui du syndicat RPI Hergaray.

    Démographie

    Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[65] dénombre 61 feux à Janitz.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[67].

    En 2018, la commune comptait 173 habitants[Note 11], en diminution de 1,7 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    469397447512550602616664630
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    602622581523502508505508520
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    483472468394372376346428395
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    286259227215208182182182182
    2013 2018 - - - - - - -
    176173-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[68] puis Insee à partir de 2006[69].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie de la zone de production du vignoble d'Irouléguy et de celle de l'ossau-iraty. L'activité est principalement agricole.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Une enceinte protohistorique[70] ou gaztelu zahar est visible au lieu-dit Gastellucomalda ;
    • Les cromlechs d'Ilarrita ou d'Okabe (harrespil)[71] datent de l'âge du fer ;
    • La maison forte Donamartia[72] date du XIVe siècle ;
    • La ferme Iturraldea[73] date du XVIIe siècle ainsi que le pigeonnier appelé Urtso Dorrea[74] ;
    • La ferme Teilagorria[75] date du XVIIIe siècle.
    Pan de briques sur une maison de Basse-Navarre.

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Martin[76] date de 1867.
    L'église Saint-Martin.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[29].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lecumberry », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Lecumberry », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Lecumberry », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Lecumberry », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Lecumberry et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Lecumberry et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Lecumberry et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Lecumberry », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Carte IGN sous Géoportail
    12. (es) Ministère espagnol de l'agriculture, pêche et environnement, « GeoPortal », sur sig.mapama.es (consulté le ).
    13. Rapport du SFEPM sur les chauves-souris
    14. Notice du Sandre sur Lecumberry
    15. Appelé Iratiko erreka par le Sandre
    16. col d'Iraukotuturru sous Géoportail IGN
    17. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    18. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    19. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    20. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    21. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    22. « Station Météo-France Irouleguy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    24. « Station Météo-France Irouleguy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    26. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    27. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    28. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    76. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin

    Pour approfondir

    Article connexe

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