Le Porche du Mystère de la deuxième vertu

Le Porche du Mystère de la deuxième vertu est une œuvre poétique de Charles Péguy (1873-1914) écrite en 1911 et 1912, qui précède Le Mystère des Saints Innocents (1912) et succède au Mystère de la charité de Jeanne d'Arc (1910).

Le Porche du Mystère de la deuxième vertu
Auteur Charles Péguy
Pays France
Genre Poésie lyrique
Date de parution
Chronologie

Présentation

Dans l'œuvre, Charles Péguy laisse la parole à Dieu qui s'exprime à travers la voix de Madame Gervaise dans un long monologue. Parmi les trois vertus théologales, la Foi, l'Espérance et la Charité, Péguy considère l'Espérance comme « la plus difficile et la plus agréable à Dieu », la foi comme la charité étant facilement accessibles aux hommes. C'est à travers l'image d'une « petite fille espérance » qui « s'avance entre ses deux grandes sœurs » que Charles Péguy définit cette deuxième vertu[1]. L'espérance est un guide pour les deux autres vertus. Symbolisée par l'enfance, l'espérance est celle qui voit au-delà du présent, celle qui avance dans l'innocence, avec assurance vers l'avenir.

Bibliographie

  • Charles Péguy, Œuvres poétiques complètes, Gallimard, coll. « Bibliothèque de La Pléiade », , p. 527 à 670.
  • Jean Onimus, Introduction aux trois Mystères de Péguy, Paris, Librairie M.-J. Minard, coll. « Cahiers de l'Amitié Charles Péguy »,

Notes et références

  1. Le Porche du Mystère de la deuxième vertu, Charles Péguy 1975, p. 535 à 539.
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