Le Castellet (Alpes-de-Haute-Provence)

Le Castellet, ou le Castellet-d'Oraison[1], est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Le Castellet.

Le Castellet

Village du Castellet.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Intercommunalité Durance-Luberon-Verdon Agglomération
Maire
Mandat
Benoît Gouin
2020-2026
Code postal 04700
Code commune 04041
Démographie
Gentilé Castellians
Population
municipale
296 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 56′ 22″ nord, 5° 58′ 51″ est
Altitude Min. 362 m
Max. 665 m
Superficie 18,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Manosque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
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Le Castellet
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Le Castellet
Liens
Site web le-castellet.fr

    Géographie

    Le Castellet et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Le village chef-lieu de la commune est Le Castellet, dans la vallée de la Rancure. Le hameau de Taillas est situé dans la vallée de l’Asse.

    Les communes limitrophes du Castellet sont Puimichel, Entrevennes, Brunet, Valensole, Oraison, Les Mées.

    Les villages les plus proches sont :

    • Entrevennes à 3,2 km ;
    • Puimichel à km ;
    • Oraison à 5,5 km ;
    • Brunet à 6,5 km ;
    • La Brillanne à 7,4 km.

    Climat

    Le Castellet est soumis à un climat méditerranéen d'intérieur, très semblable à celui que l'on trouve dans le reste de la Provence à basse altitude. Les hivers sont frais, avec des gelées fréquentes, tandis que les étés sont très chauds et secs, avec quelquefois des orages.

    Une station météo manuelle est installée au Castellet ; les stations plus complètes sont situées à Valensole et Forcalquier, une autre station manuelle se trouve à Saint-Jurs[2].

    Environnement

    La commune compte 1 173 ha de bois et forêts, soit 62 % de sa superficie[3].

    Hameaux

    Les principaux hameaux sont Taillas et Notre-Dame.

    Voies routières

    Pont de la RD 101 sur le ravin de Puimichel, en crue.

    La commune est desservie par les routes départementales RD 12 qui remonte la vallée du Rancure où se trouve l’habitat (vers Oraison à l’ouest et Puimichel à l’est), et la RD 101 qui s’embranche sur la précédente en direction d’Entrevennes.

    Lignes intercommunales
    Logo du réseau Trans'agglo

    Le Castellet est relié par 1 ligne intercommunale, réseau Trans'Agglo[4] :

    Ligne Parcours
    125BrunetEntrevennesPuimichel ↔ Le Castellet ↔ Oraison (Transport à la demande)
    Lignes scolaires

    Des lignes de transports scolaires ont été mises en place pour rallier le collège d'Oraison. Ces lignes sont financées par la Communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon au travers du réseau Trans'Agglo. En plus des lignes existantes du réseau, une autre a été rajoutée.

    Ligne Tracé
    166 SEntrevennesPuimichel ↔ Le Castellet ↔ Oraison

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton des Mées auquel appartient Le Castellet est en zone 2 (risque moyen) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[5], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[6]. La commune du Castellet est également exposée à trois autres risques naturels[6] :

    • feu de forêt ;
    • inondation (dans les vallées du Rancure et de l’Asse) ;
    • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[7].

    La commune du Castellet n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[8].

    Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 1998 pour les risques d’inondation, de mouvement de terrain et de séisme[8] mais le Dicrim n’existe pas[9].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Castellet est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Manosque, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,3 %), terres arables (27,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,3 %), cultures permanentes (0,2 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

    Toponymie

    La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1178 (Castelleto, ce qui signifie petit village fortifié en occitan)[17]. Il fut encore appelé le Castellet des Entrevennes, le Castellet des Mées[18] ou encore Le Castellet d’Oraison[1],[18].

    Le nom français, Le Castellet, est le résultat de la francisation du provençal Lou Castelet, diminutif du provençal castèu, du latin castellum[19].

    Histoire

    Four communal.

    De la période de présence romaine datent quelques vestiges. Le site de Notre-Dame de Taillas a livré des restes d’une villa antique, avec des restes de dolia (grande amphore vinaire)[20]. Une nécropole gallo-romaine a également été découverte en 1963[21].

    Le Castellet est signalé dans les chartes à partir de la fin du XIIe et du début du XIIIe siècle, sous le nom de Castelletum ou de Castelletum d’Antravenis Le Castellet d’Entrevennes »)[22]. Au XIIIe siècle Le Castellet dépendait des Isnard, seigneurs d'Entrevennes. En 1542 le village passe sous la dépendance des seigneurs d'Oraison.

    Aux XIIe et XIIIe siècles, le prieuré Saint-Pierre et ses revenus appartenaient à l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon[23]. L’hospice lui fut rattaché au XIIIe siècle[22].

    En 1348, la reine Jeanne, chassée de son royaume de Naples, dut se réfugier en Provence. Pour reconquérir ses États napolitains, elle vendit Avignon au pape pour 80 000 florins, et obtint au passage l'absolution pontificale qui la lavait de tout soupçon dans le meurtre de son premier époux André de Hongrie. Reconnaissante, elle offrit à Guillaume II Roger, frère du pape, le fief de Valernes, qui fut érigé en vicomté par lettres patentes en 1350[24]. La nouvelle vicomté comprenait les communautés de Bayons, Vaumeilh, la Motte, Bellaffaire, Gigors, Lauzet, les Mées, Mézel, Entrevennes et le Castellet, avec leurs juridictions et dépendances[25].

    La communauté de Taillas (site du château actuel), qui comptait 5 feux en 1315[26], est dépeuplée par la crise du XIVe siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans) et annexée par celle du Castellet au XVe siècle[26]. Par contre, le fief de Taillas, dont le siège est dans la vallée de l’Asse, subsiste en plus de celui du Castellet jusqu’à la Révolution[27].

    La communauté du Castellet relevait de la viguerie de Digne.

    Monument aux morts de la Première Guerre mondiale.

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[28].

    Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 5 habitants du Castellet sont traduits devant la commission mixte[29].

    Comme de nombreuses communes du département, Le Castellet se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[30]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[31], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Le Castellet[32] ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Saint-Lions sont régulièrement scolarisées.

    Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée au Castellet. Le vin produit était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[33].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Le Castellet fait partie :

    Liste des maires

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    17 mai 1925[réf. nécessaire] mai 1947 Augustin Brémond[34]    
    mai 1947 mai 1953 Paul Laurent    
    mai 1953 mars 1965 Germain Allard[35]    
    mars 1965 24 novembre 2002 René Barras    
    24 novembre 2002 En cours
    (au 17 avril 2014)
    Benoît Gouin[36],[37] PS Retraité de l'enseignement
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.

    La commune dispose d'une déchèterie.

    Population et société

    Démographie

    Le nom de ses habitants est Castellians[3],[1].

    En 2018 , Le Castellet comptait 296 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Le Castellet). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    357375346365338299261334319
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    336292271247228246250220218
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    206186198181177181133153131
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    139125151186172202235271294
    2018 - - - - - - - -
    296--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)

    L'histoire démographique du Castellet, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu'au début du XIXe siècle, est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure toute la première moitié du XIXe siècle. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. La perte est relativement lente, puisque ce n’est qu'en 1936 que la commune enregistre la perte de la moitié de sa population du maximum historique de 1856[40]. Le mouvement de recul se poursuit jusqu’aux années 1960. Depuis, la population s’est remis à croître pour revenir à ses hauts niveaux du XIXe siècle.

    Histogramme de l'évolution démographique

    En 1315, la commune compte 36 feux et 42 maisons habitées en 1540.

    Enseignement

    École maternelle.

    La commune est dotée d’une école maternelle[41].

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 123 personnes, dont 14 chômeurs[42] (chiffre stable en 2011[43]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (77 %)[44] et travaillent majoritairement hors de la commune (76 %)[44]. L’industrie et la construction représentent le tiers des établissements[45].

    Agriculture

    Jeune oliveraie au Castellet.

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait sept établissements actifs au sens de l’Insee et un emploi salarié[45].

    Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, a diminué de moitié dans les années 2000, passant de huit à quatre, uniquement des exploitations pratiquant les grandes cultures. Les exploitants vivant des cultures permanentes ont disparu[46]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a augmenté, de 361 ha à 383 ha, alors que le nombre d’exploitations baissait (de dix à huit)[47]. La SAU a cependant augmenté lors de la dernière décennie, à 456 ha[46].

    La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à certains versants. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres : au Castellet, il s’agit des versants bien exposés des vallons entaillant le plateau de Valensole. L’oliveraie du Castellet occupait plusieurs dizaines d’hectares au début du XIXe siècle. Actuellement, elle a régressé mais reste relativement importante, avec plus de 1000 pieds exploités[48].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 10 établissements, employant 15 salariés[45].

    Les Ateliers de mécanique générale du Castellet (AMGC), est un atelier de mécanique de précision, spécialisé dans la construction de prototypes. Ils emploient 5 personnes[49].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait sept établissements (avec quatre emplois salariés), auxquels s’ajoutent les six établissements du secteur administratif (salariant quatre personnes)[45].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est assez importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[50]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :

    Les résidences secondaires apportent un complément à la capacité d’accueil[56] : au nombre de 49, elles représentent le tiers des logements[57],[58].

    Culture locale et patrimoine

    Art religieux

    L’église paroissiale Saint-Pierre (1622), est de style roman. Le chœur est à chevet plat et voûté ; une petite chapelle est placée près de l’autel, côté nord[59].

    Il subsiste peu de chose du prieuré Saint-Pierre, qui dépendait de l’abbaye de Villeneuve-lès-Avignon : une abside intégré à un hangar agricole[22]. Il existe plusieurs chapelles Notre-Dame du côté de Taillas (vallée de l’Asse)[22].

    Architecture civile

    Le patrimoine civil se compose de :

    • le château de Taillas (XVIIe siècle), à l'emplacement d'une ancienne communauté médiévale : bâtiment rectangulaire avec 2 tours rondes coiffées de poivrières ; pigeonnier. Il a appartenu à différentes familles importantes du secteur : les Pontevès, les Villeneuve, les Matheron, les Fulque, marquis d’Oraison, et enfin aux Taillas, du XVIIIe siècle à 1960[60] ;
    • les ruines du château fort de Ville-Vieille ;
    • la fontaine des Bernards 1695 ; fontaines fin XIXe siècle et lavoirs place de l’Église, aux Bachelas ; fontaine début XXe siècle près de l'école ; lavoir du Portaygue ; ancienne aire de battage restaurée.
    • moulin ;
    • fermes ruinées alentour ;
    • la mairie, éclairée par de grandes fenêtres arrondies, date de 1776. Elle est ornée de boiseries de style Louis XV.

    Personnalités liées à la commune

    • Edmond Humeau (1907-1998), poète, possédait une maison au Castellet.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur, à un château d'or, donjonné du même, maçonné de sable, fermé d'une porte d'argent[61],[62]. Achard propose une variante : d’or à trois noisettes de sinople, deux en chef et une en pointe.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. Gabriel Allevard, « Des projets à la pelle pour les Castellians », La Marseillaise, 21 octobre 2012, p. 7
    2. Météo-France, « Réseau des postes du Sud-Est », Climathèque, consultée le 11 mars 2013
    3. Roger Brunet, « Canton des Mées », Le Trésor des régions, consultée le 10 juin 2013
    4. DLVA Transports intercommunaux
    5. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    6. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 22 novembre 2011, consultée le 5 juillet 2012
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95
    9. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 5 juillet 2011
    10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne). § 26665, p 1466
    18. Christian Blanc, Le pays d’Oraison, Les Alpes de lumière, n°85/86, page 31
    19. Le trésor du Félibrige / Lou tresor dóu Felibrige, F. Mistral, tome 1, p. 491 et 492, édition CPM 1979
    20. Marc Gauthier, « Provence-Alpes-Côte-d'Azur », Gallia, Tome 43, no 2, 1985. p. 515.
    21. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 20
    22. Daniel Thiery, « Le Castellet », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 3 décembre 2011, consulté le 5 juillet 2012
    23. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 217
    24. Jean-Marie Schio, Guillaume II Roger de Beaufort.
    25. Édouard de Laplane, Histoire de Sisteron, tirée de ses archives, Digne, 1845, T. I, p. 126.
    26. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 169
    27. M. Villard, « La guerre de 1939-1945, la Résistance et le débarquement en Provence », carte 195 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
    28. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
    29. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
    30. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    31. Labadie, op. cit., p. 16.
    32. Labadie, op. cit., p. 18.
    33. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe-XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59
    34. élu en 1945, cf [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    35. « Le précieux témoignage de Germain Allard », La Provence, 22 octobre 2014, p. 8.
    36. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De La Bréole à Corbières (liste 2), consulté le 7 mars 2013
    37. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « De La Bréole à Corbières (liste 2) », Les communes du département, consultée le 17 avril 2014.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 289.
    41. Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Sisteron-Sud, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010
    42. Insee, Dossier local - Commune : Le Castellet, p. 5
    43. Insee, Dossier local, p. 8
    44. Insee, Dossier local, p. 7
    45. Insee, Dossier local, p. 16
    46. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    47. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    48. Réparaz, op. cit., p. 58
    49. Chambre de commerce et d'industrie des Alpes-de-Haute-Provence, Fiche de l'entreprise, consultée le 19 juillet 2012
    50. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    51. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 11
    52. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 13
    53. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
    54. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 36
    55. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 38
    56. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    57. Insee, Dossier local, p. 17
    58. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    59. Raymond Collier, op. cit., p 220
    60. Raymond Collier, op. cit., p 260
    61. Armorial Général, 1697
    62. Banque du Blason
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