Laurence Jenkell

Artiste française autodidacte^{[source secondaire nécessaire]}, Laurence Jenk vit et travaille à Vallauris, dans les Alpes-Maritimes[1].

Plus connue sous le nom de Laurence Jenkell, en 2020, elle change sa signature pour un nom plus court : Laurence Jenk[2]. Elle souhaite ainsi faire évoluer son identité pour mieux protéger^{[C'est-à-dire ?]} ses nouvelles réalisations.

Elle commence tôt à fréquenter le grand monde. À Cannes, ville d'événements et de congrès mondiaux, elle est stagiaire en relations publiques à l’Intercontinental Carlton[3].

Elle crée des sculptures depuis les années 1990 et travaille d'abord le plexiglas avant de s'intéresser à d'autres matériaux. Surtout connue pour ses sculptures Bonbon, notamment à la suite de l'exposition « Candy Nations », créée pour le Sommet du G20 de 2011 à Cannes[4]^,[5], Laurence Jenkell a depuis élargi sa production sur l'idée de torsion et de twist avec les séries ADN[6] et Wrapping Twist[7]. Elle continue à travailler le plexiglas avec les séries des Buildart et des Robots[8] mais crée aussi avec d'autres matières, notamment l'aluminium, le marbre,[9]le bronze et le verre de Murano[10].

Elle est décorée en octobre 2019 de la Médaille de Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres.^{[réf. souhaitée]}

En 2020, elle participe à une vente caritative avec Octobre rose[11]^,[12].

Ignorées par le milieu institutionnel occidental de l'art contemporain, ses oeuvres sont pourtant présentes dans plus de 25 pays. Elle est représentée par de nombreuses galeries et fait partie d’importantes collections privées, publiques et institutionnelles[13].

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