Larzicourt

Larzicourt est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Larzicourt

L'église Saint-Georges.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Vitry-le-François
Intercommunalité Communauté de communes Perthois-Bocage et Der
Maire
Mandat
Régis Bourgoin
2020-2026
Code postal 51290
Code commune 51316
Démographie
Gentilé Larzicourtois, Larzicourtoises
Population
municipale
277 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 38′ 12″ nord, 4° 42′ 46″ est
Superficie 16,86 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Vitry-le-François
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sermaize-les-Bains
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Larzicourt
Géolocalisation sur la carte : Marne
Larzicourt
Géolocalisation sur la carte : France
Larzicourt
Géolocalisation sur la carte : France
Larzicourt

    Géographie

    Ce petit village de 301 habitants fait partie de l'arrondissement de Vitry-le-François et du canton de Thiéblemont-Farémont. Le maire de Larzicourt est Régis Bourgoin (2008-2014). Larzicourt a une superficie de 16,86 km², ce qui lui donne une densité de 17 hab./km². Son code postal est le 51290 et son code Insee est 51316.

    Urbanisme

    Typologie

    Larzicourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitry-le-François, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4],[5].

    La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac du Der-Chantecoq, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[6]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,6 %), forêts (25,7 %), eaux continentales[Note 3] (9,7 %), zones humides intérieures (6,7 %), zones urbanisées (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %), prairies (0,5 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Larzeicurtis en 1133.

    Histoire

    De cette léproserie il ne reste que quelques pierres à proximité de l'ancien chemin de Matignicourt.

    Dès le VIe siècle, Larzicourt joue un rôle important dans la région : elle est citée dans de nombreuses chartes pendant plusieurs siècles.

    Chronologie

    D'après les bulletins annuels de la commune

    • 1361 : le village entre dans le domaine royal en même temps que le reste de la Champagne.
    • 1404 : le roi Charles VI donne en apanage à Charles III le Noble, roi de Navarre, descendant des comtes de Champagne, le duché de Nemours, dont fait partie la châtellenie de Larzicourt, afin de mettre un terme aux revendications de la maison de Navarre sur le comté de Champagne.
    • 1462 : Louis XI fait don à Jacques d'Armagnac du duché de Nemours, avec la châtellenie de Larzicourt.
    • 1477 : Jacques d'Armagnac, duc de Nemours, seigneur de Larzicourt, est exécuté pour avoir conspiré contre Louis XI. Le roi en fait don, à titre viager, à Thierry III de Lenoncourt, son chambellan, bailli de Vitry-en-Perthois.
    • 1484 : les biens de Jacques d'Armagnac sont restitués à ses enfants par Charles VIII.
    • 1504 : Larzicourt est possession par Pierre de Rohan-Gié, duc de Nemours.
    • 1507-1512 : Gaston de Foix, comte d’Étampes, neveu de Louis XII, qui prétendait à l'héritage de Blanche de Navarre, l'une des filles de Charles III de Navarre, se voit donner le comté de Beaufort avec Larzicourt.
    • 1513 : Louis XII fait don de ces terres à sa nièce Germaine de Foix, reine d'Aragon, sœur de Gaston de Foix, tante de Henri IV (1533-1610).
    • 1519 : Germaine de Foix, veuve du roi Ferdinand II d'Aragon, mariée à Jean, marquis de Brandebourg, vend à Guillaume de Cröy, marquis d'Aerschot, le comté de Beaufort, avec Larzicourt.
    • 1573-1599 : Henri IV rencontre au château de La Motte une de ses favorites, la belle Gabrielle d'Estrées, duchesse de Beaufort (village de l'Aube à côté de Lentilles).
    • 1597 : Henri IV acquiert la baronnie de Larzicourt et l'offre à Gabrielle, ce qui agrandit le duché de Beaufort.
    • 1631 : Gabrielle fait don du duché Beaufort-Larzicourt à César de Vendôme, son fils, né de son union avec Henri IV.
    • 1688-1789 : la baronnie de Larzicourt appartient aux Montmorency-Luxembourg dont la famille existait encore en 1862.
    • 1741 : l’église et le village sont protégés par une digue construite à cause des nombreux débordements de la Marne.
    • 1975 : un squelette est retrouvé sur un terrain (on dit que ce serait Lucy)
    • 1973-1982 : Isle-sur-Marne et Larzicourt fusionnent en une seule commune, Larzicourt-Isle-sur-Marne[11],

    [12].

    Blason

    Le blason a été inauguré le . La proposition de blason repose sur le riche passé historique de notre village. Larzicourt a été possédé depuis 1354 par de nombreux et illustres seigneurs dont les familles sont "blasonnés". La famille la plus illustre est celle de Gabrielle d'Estrées favorite du roi Henri IV. Le roi achète le domaine de Larzicourt, le fait ériger en baronnie et, en 1590, l'offre à Gabrielle pour augmenter son duché de Montmorency Beaufort. En 1597 Gabrielle est duchesse de Beaufort et baronne de Larzicourt. Gabrielle meurt avant l'âge de trente ans, elle a eu plusieurs enfants du roi, dont deux sont légitimés. c'est son fils César qui devient baron de Larzicourt en 1631[13].

    Inondation de 1910

    En , les pluies continuelles ont fait grossir la rivière qui menace les digues qui protègent le village sur près de 2 km. Sur instruction du maire Gérard Théophile, les pompiers montent la garde avec des lampes-tempêtes, colmatant les parties faibles de la digue. Une forte hausse annoncée à l'échelle de Saint-Dizier se produit le , vers 7 heures du soir. Le flot passe à 40 cm au-dessus des digues, les fait céder en plusieurs endroits et produit des brèches de plusieurs mètres de long.

    La poussée d'eau fut si violente qu'en moins d'une heure, Larzicourt, sur plus des deux tiers de son étendue, était recouvert d’une nappe d'eau.

    Une maison, minée par le torrent, était descendue de 3 mètres dans un trou, gardant la verticale.

    Une accalmie de quelques jours permit aux eaux de se retirer. De nouvelles pluies provoquèrent une nouvelle crue. Le vers 7 heures et demie du soir, l'eau allait passer sur la route de Arrigny et Larzicourt. Avec l’accord de la direction des Ponts et Chaussées, la route fut percée d’une brèche d'environ 1 mètre de large. Mais le lendemain matin la petite saignée de 30 cm de fond avait fait place à une brèche de 32 mètres de large et de 6 mètres de profondeur[14].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    La commune, antérieurement membre de la communauté de communes Marne et Orconte, est membre, depuis le , de la communauté de communes Perthois-Bocage et Der.

    En effet, conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de la Marne du [15], trois petites communautés de communes préexistantes :
    - la communauté de communes du Bocage Champenois ;
    - la communauté de communes Marne et Orconte ;
    - la communauté de communes du Perthois ;
    ont fusionné pour créer la nouvelle communauté de communes Perthois-Bocage et Der, à laquelle se sont également jointes une commune détachée de la communauté de communes de Val de Bruxenelle (Favresse) et la commune isolée de Gigny-Bussy[16].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[17]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      1878 M. Oudart[18]    
    1879   M. Salmon[19]    
      1910[20] M. Théophile Gérard    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1978 1996 Marc Jacquot    
    1996 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Régis Bourgoin   Vice-président de la CC Perthois-Bocage et Der (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[21],[22],[23]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

    En 2018, la commune comptait 277 habitants[Note 4], en diminution de 3,15 % par rapport à 2013 (Marne : −0,45 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7507737308428918859469991 040
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9751 0001 0301 000990939600568550
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    521471448392371328313294314
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    316289338348302283301304293
    2017 2018 - - - - - - -
    279277-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Le château de Larzicourt.

    L'église Saint-Georges de Larzicourt

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    Certaines caractéristiques de Saint-Georges de Larzicourt s’expliquent par la proximité de la Lorraine et ses diverses appartenances : dès 991, elle relève de l’abbaye du Der (diocèse de Troyes), puis elle devient paroisse du diocèse de Châlons et en même temps son prieuré dépend de Saint-Léon-de-Toul. Elle a été bâtie en deux styles distincts : à l'origine en architecture romane puis en gothique flamboyante.

    • 991 : l'évêque de Troyes donne l'église à l'abbaye du Der (à Montier) alors que le fief de Larzicourt relève de la Champagne.
    • 1114 : le l'église est consacrée par Guillaume de Champeaux évêque de Châlons ; elle a été construite par Hugues de Champagne, fondateur du prieuré ; il en subsiste le sanctuaire et la nef.
    • 1358 : premier incendie qui endommage l'église au cours de la Jacquerie. Des chapelles latérales sont construites lors des réparations.
    • 1554 : deuxième incendie lors de l’invasion de Charles Quint.
    • 1562 : troisième incendie au cours des guerres de religion, peu après le massacre de Wassy. Dans le cadre de sa réfection, agrandissement de l’église.
    • Gabrielle d’Estrées fit élever un double transept sur le modèle, en plus 1590 petit, de celui de l’église de Villeret, voisine du duché de Beaufort (Aube). L’église de Villeret est également à Gabrielle d’Estrées.
    • 1768 : importants travaux sur la toiture et le clocher.
    • 1829 : on profita de la réfection de la flèche, pour créer une chambre, presque cubique, destinée à recevoir trois nouvelles cloches.
    • 1877 : restauration de la flèche avec des ardoises venant de Fumay.
    • 1948 : restauration importante de la toiture.
    • 1955 : électrification des cloches et pose d'une horloge électrique.

    Depuis 1963, de nombreuses réparations n’ont pas modifié l’architecture de l’église.

    L'école

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    Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'École, c'est ce "sacré, sacré Charlemagne"... dit la comptine, mais au Moyen Âge l'école n'existait pas dans les campagnes, elle était réservée, en milieu urbain, à la noblesse et à la bourgeoisie. Il faut attendre le XVIIe siècle pour voir apparaître l'essor de l'alphabétisation avec la création des écoles religieuses.

    1- L'école des garçons

    Dès 1793, la scolarisation s'organise en trois degrés : primaire, secondaire et supérieur. Alors que le secondaire et le supérieur passent sous le contrôle de l'État, le primaire reste aux mains de l'Église et ceci jusqu'à la promulgation de la loi de Jules Ferry en 1882. À Larzicourt depuis 1842, à travers les procès-verbaux de conseil municipal, on peut tracer les grandes lignes de l'histoire des écoles de notre village. Avant cette date il existe une école de garçons située dans l'ancien presbytère avec une classe "à la rue sur Blaise". Le maire assisté de deux conseillers et du curé choisit le citoyen qui deviendra l'instituteur, en effet selon le décret de Lakanal en 1793 "l'enseignement est libre, ce qui donne à tout citoyen le droit d'ouvrir une école et d'enseigner [...] mais il doit être muni d'un certificat de civisme et de bonnes mœurs". À Larzicourt le maire va plus loin : outre les deux certificats, il exige des diplômes ou organise un examen. L'instituteur est tenu de recevoir les enfants des deux sexes et de tous les âges qui se présenteront à la porte de sa classe, ce qui fait qu'en hiver il y a beaucoup de monde. Il se fait payer par les ménages, donc les familles les plus pauvres n'envoient pas leurs enfants en classe, et l'été les élèves ayant déserté la classe pour les travaux des champs l'instituteur, quant à lui, doit se louer pour subvenir à ses besoins. Notons également que pour des raisons de moralité les pères de famille n'envoyaient par leurs filles en classe ; d'ailleurs si 90 % des hommes dans notre région savent signer le registre de leur mariage, seulement 65 % des femmes peuvent le faire. Dès 1842, à la demande de M. Barrois, maire, le conseil municipal s'attache à améliorer la scolarisation des enfants du village y compris pour les filles et décide des mesures significatives telles que :

    • la gratuité de l'école par le versement des traitements annuel à chaque enseignant à la condition expresse qu'il ne perçoive rien de la part des familles
    • la révision annuelle des traitements et des conditions de vie de chaque enseignant
    • la fourniture de bois pour le chauffage des classes et ne plus en réclamer aux familles

    2- L'école des filles

    C'est en 1851 que l'on voit apparaître le projet de construction d'une école pour les filles avec Salle d'Asile, ancêtre de nos écoles maternelles.

    • la maison des sœurs située en contrebas du presbytère, servant d'école pour les filles devient trop exigüe, insalubre, dangereuse car des réparations urgentes seraient à réaliser.
    • les jeunes enfants de moins de six ans accueillis dans des classes primaires de garçons et de filles perturbent l'enseignement ; ces jeunes enfants ont besoin de locaux adaptés à leur âge.
    • la Salle d'Asile permettra l'accueil de jeunes enfants pendant les travaux des champs ; elle fonctionnerait comme une garderie avec des heures et des jours ouvrables en fonction des saisons.

    Ce n'est qu'en 1855 que le projet peut voir le jour : c'est la Maison d'École qui existait rue du Prieuré. Jusqu'en 1983 les sœurs font fonctionner l'école et cette même année la Salle d'Asile devient l'école maternelle : établissement public subventionné par l'État et les religieuses sont remplacées par des laïques, rétribuées par la commune. Trois conseillers municipaux, désignés à bulletins secrets, sont chargés de contrôler l'assiduité des élèves en âge scolaire obligatoire de 7 à 13 ans. L'école maternelle ou classe enfantine reçoit les enfants de 2 à 6 ans. En 1903, la classe enfantine devient garderie enfantine de sorte que les jeunes enfants soient gardés pendant les vacances d'été afin de répondre aux besoins du village. En 1889, les enseignants du primaire deviennent fonctionnaires et son rémunérés par l'État. À partir de 1882, l'enseignement religieux n'est plus dispensé à l'école. En 1933, il y a gémination effective des classes, les élèves du primaire sont accueillis dès l'âge de 5 ans[27].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

    Blason de Larzicourt

    Sources

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    7. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. notes de l'Abbé Végelle, rapport du 135e Congrès archéologique de France par Étienne Paillard
    13. extrait du bulletin municipal Larzicout info, no 11, année 2005
    14. Journal local de l'époque
    15. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
    16. « Arrêté préfectoral du 17 avril 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes du Bocage Champenois, de la Communauté de communes du Perthois et de la Communauté de communes de Marne et Orconté en y incluant les communes de Favresse et de Gigny-Bussy », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Marne, no 5, , p. 25-30 (lire en ligne [PDF]).
    17. « Les maires de Larzicourt », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    18. Almanach historique administratif et commercial...Matot-Braine, Reims, 1878, p248.
    19. Almanach historique administratif et commercial...Matot-Braine, Reims, 1879, p236.
    20. Se serait suicidé suite aux dégâts que sa commune subit lors des inondations de 1910, in Courrier de la Champagne du jeudi 10 mars 1910.
    21. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
    22. Philippe Launay, « À Larzicourt, le maire vit « une belle aventure humaine » : Régis Bourgoin est le 113e et dernier maire de notre série lancée en septembre 2019. Comme tous, il raconte son attachement au village. Il est candidat à sa succession en mars 2020 », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. extrait des bulletins municipaux
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