Laran

Laran est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Ne doit pas être confondu avec Laran (mythologie).

Laran

Paysage dans les environs du village de Laran

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac
Maire
Mandat
Jean-Luc Gales
2020-2026
Code postal 65670
Code commune 65261
Démographie
Gentilé Laranais
Population
municipale
47 hab. (2018 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 14′ 07″ nord, 0° 28′ 57″ est
Altitude Min. 324 m
Max. 486 m
Superficie 3,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lannemezan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Laran
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Laran
Géolocalisation sur la carte : France
Laran
Géolocalisation sur la carte : France
Laran

    Ses habitants sont appelés les Laranais.

    Géographie

    D’une superficie de 834 hectares 67 ares 55, la commune est encadrée par les ruisseaux de l’Ousse (au nord), du Gers (à l’est) de Touçade (au sud).

    Localisation

    La commune de Laran se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 33 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à 13 km de Trie-sur-Baïse[3], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Gaussan (0,5 km), Caubous (1,2 km), Lassales (2,4 km), Cizos (3,0 km), Monlong (3,4 km), Monléon-Magnoac (3,5 km), Vieuzos (3,7 km), Sabarros (3,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Laran fait partie de la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre[5].


    Carte de la commune de Laran et des proches communes.
    Communes limitrophes de Laran[6]
    Caubous
    Recurt Monléon-Magnoac
    Gaussan

    Hydrographie

    Le Ruisseau de La Sole, affluent de rive droite de la Petite Baïse, arrose la commune du sud au nord et forme la limite ouest avec la commune de Recurt.
    Le Ruisseau de l'Ousse affluent de rive gauche du Gers, forme la limite nord avec la commune de Caubous.
    Le Ruisseau de la Toucade affluent de rive gauche du Gers, forme la limite sud avec la commune de Gaussan.
    Le Ruisseau de Bourrouville affluent du Ruisseau de la Ousse prend sa source sur la commune et coule en partie ouest du territoire.
    Un canal d'irrigation provenant du Canal de la Neste traverse le village en direction du Gers au nord.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 924 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gavarnie », sur la commune de Gaussan, mise en service en 1992[12]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 7,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 466,6 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 42 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[16], à 12,6 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19],[20],[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Laran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].

    Le pigeonnier.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,5 %), zones agricoles hétérogènes (30,8 %), forêts (26,7 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 30[28].
    Parmi ces logements, 73.7  % sont des résidences principales, 13.1  % des résidences secondaires 13.1  % des logements vacants.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Laran au sud de Castelnau-Magnoac

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[29] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Étymologie : peut-être nom de domaine antique nom de personnage Larus ou Hilarus et suffixe anum (domaine de Larus ou de Hilarus).

    Nom occitan : Laran.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D929 et les routes départementales D28 et D137.

    Histoire

    La commune naquit au XIVe siècle, des mains laborieuses des serfs qui y éditèrent un château sur le versant oriental d’un petit côteau.̈

    Les seigneurs du lieu appartenaient à la noble famille des de Cazaux-Laran dont les premières armoiries identifiées par Jean Larcher, étaient : « Écu d’Azur sur deux ondes d’argent surmontées d’un cygne du mesme » Ceux-ci devaient être « bien en cour » puisque leur château fut choisi en plusieurs occasions comme lieu de réunions des États du Magnoac, des États des Quatre-Vallées et des assemblées du Magnoac et d’Armagnac. Notons que ce premier blason correspond exactement à celui qu’attribue à la seigneurie de Nestier l’héraldiste M. de Neuville dans son recueil sur le Commingeois et les Quatre-Vallées. Plus tard s’y ajoutèrent, par décret de l’intendant Legendre, « quatre pointes de giron d’or mouvantes ». Au XVe siècle, la famille de Cazaux de Laran demeure en permanence dans ce château qui dominait les quartiers dits de la Coume, de la Matéte et du Bilatge.

    Son dernier représentant (connu des historiens) aurait été le seigneur François-Louis de Cazaux-Laran, marié à Catherine-Charlotte-Joséphine de Saint-Jean de Pointis qui ne lui donna pas d’héritier mâle mais deux filles.

    La bande d’or aux fleurs de lys d’argent ajouté à l’écu initial correspondrait à l’union précitée des de Cazaux avec les de Pointis.

    Vers 1860, un curieux pigeonnier posé sur neuf piliers en pierre de taille est l'ultime vestige du château. La fête locale est célébrée à l’occasion de la Saint-Michel.

    Cadastre napoléonien de Laran

    Le plan cadastral napoléonien de Laran est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[30].

    Politique et administration

    La mairie en 2015.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001 mars 2014 Franck Menvielle    
    mars 2014 en cours Jean-Luc Gales    

    Historique administratif

    Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, vallée de Magnoac, canton de Castelnau-Magnoac, chef-lieu à Magnoac (1790) puis à Castelnau-Magnoac (1801)[31].

    Intercommunalité

    Laran appartient à la communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac créée en et qui réunit 50 communes.

    La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.

    Services publics

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34]. En 2018, la commune comptait 47 habitants[Note 6], en diminution de 12,96 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    152143123114165198200197200
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    170164159159166168136115124
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    100106101747370705759
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    444542454742415149
    2018 - - - - - - - -
    47--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Population et société

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur au cygne nageant d'argent sur deux fasces ondées du même, au chef d'or chargé de deux fleurs de lys du champ.

    Voir aussi

    Le monument aux morts municipal.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Laran », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Laran et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Laran et Trie-sur-Baïse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Laran », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 341-342.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Gavarnie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Laran et Gaussan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Gavarnie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Laran et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Laran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Laran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des espaces protégés sur la commune de Laran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lannemezan », sur insee.fr (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Laran
    29. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
    30. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Laran en 1814
    31. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    32. « Liste des juridictions compétentes pour Laran », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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