Lapeyrouse-Mornay

Lapeyrouse-Mornay est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Lapeyrouse-Mornay

Château de Joyeuse.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Communauté de communes Porte de Dromardèche
Maire
Mandat
Nicole Durand
2020-2026
Code postal 26210
Code commune 26155
Démographie
Gentilé Lapeyrousiens
Population
municipale
1 219 hab. (2018 )
Densité 106 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 19′ 26″ nord, 4° 59′ 45″ est
Altitude Min. 220 m
Max. 272 m
Superficie 11,45 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Roussillon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Drôme des collines
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Lapeyrouse-Mornay
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Lapeyrouse-Mornay
Géolocalisation sur la carte : France
Lapeyrouse-Mornay
Géolocalisation sur la carte : France
Lapeyrouse-Mornay
Liens
Site web mairie-lapeyrousemornay.fr

    Ses habitants sont dénommés les Lapeyrousiens et les Lapeyrousiennes.

    Géographie

    Localisation

    Lapeyrouse-Mornay est situé à environ 45 km au nord de Valence, 45 km au sud de Lyon, 60 km à l'ouest de Grenoble et 45 km (distances Orthodromiques)[1].

    Lapeyrouse-Mornay est la commune la plus septentrionale du département de la Drôme[2]. Le village le plus proche est Manthes, à 2,5 km[2].

    Jarcieu (Isère) Pact (Isère) Pact (Isère)
    Beaurepaire (Isère) (Isère)
    Jarcieu (Isère)
    Épinouze
    N Beaurepaire (Isère) (Isère)
    O    Lapeyrouse-Mornay    E
    S
    Épinouze Manthes Beaurepaire (Isère) (Isère)
    Manthes

    Relief et géologie

    La superficie de la commune est de 1 145 hectares ; son altitude varie de 220 à 272 mètres[3].

    Le territoire est implanté dans la plaine de la Valloire, à l'extrême ouest de la plaine de Bièvre, entre le plateau de Bonnevaux et les collines viennoises au nord et la vallée de la Galaure et le plateau de Chambaran au sud. Le paysage est plat, composé principalement de cultures agricoles mais aussi de boisés au nord de la départementale 519[3].

    Sites particuliers :

    Hydrographie

    La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :

    • la Derroy, affluent du Dolon, long de près de 12 km ; elle marque la limite, au nord, avec la commune de Pact ; sa source est situé dans le département de l'Isère[4].
    • le Dolon, affluent du Rhône, long de 33,5 km ; il marque la limite, au nord-ouest, avec la commune de Jarcieu[5].
    • l'Oron, long de 27,8 km, marque la limite, au sud, avec la commune de Manthes[6].

    Climat

    Pour un article plus général, voir Climat de la Drôme.

    Voies de communication et transports

    La départementale 519 traverse la commune et rejoint l'axe isérois entre Beaucroissant et Chanas.

    L'Autoroute A7 (France) est à une quinzaine de kilomètre à l'ouest. Le péage d'autoroute le plus proche est situé sur la commune de Chanas.

    Deux lignes d'autocar desservent le village : la ligne 02 de Saint-Vallier à Moras-en-Valloire et la ligne 12 de Beaurepaire en Isère à Romans-sur-Isère dans la Drôme[7].

    La gare de Saint-Rambert-d'Albon est située à une vingtaine de kilomètres vers l'ouest[2] et permet l'accès à la ligne ferroviaire Paris - Lyon - Marseille.

    Urbanisme

    Typologie

    Lapeyrouse-Mornay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Roussillon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,4 %), zones agricoles hétérogènes (22,2 %), forêts (10,7 %), zones urbanisées (7,6 %), cultures permanentes (0,1 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Morphologie urbaine

    La commune est composée du village et de trois hameaux (les Morelles, Montanay, Bois Vieux). Elle est traversée dans le sens nord-sud par la ligne ferroviaire à grande vitesse, la LGV Rhône-Alpes (PRCI 47 de Lapeyrouse-Mornay), un peu à l'ouest du bourg[3].

    Deux tiers de sa surface est occupée par l'agriculture et près de 20 % par la forêt et les milieux semi-naturels :

    Occupation des sols à Lapeyrouse-Mornay en 2017
    Type d’occupation Proportion (Drôme) Superficie (hectares)
    Territoire artificialisé 9,31 % (5,60) 107
    Espace agricole 66,49 % (25,80) 764
    Forêts et milieux semi-naturels 19,32 % (66,40) 222
    Eaux 0.17 % (1) 2
    Indéterminés 4,80 % (1,30) 55
    Source : Base statistique de l'Observatoire des surfaces à l’échelle communale (OSCOM) et Diaporama de présentation OSCOM[15]

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site Géoportail (carte IGN)[16] :

    • Bois Vieux
    • Brulefer
    • Château de la Joyeuse
    • Grand Bois
    • la Croix Rousse
    • la Fiard
    • la Joyeuse
    • la Maison Blanche
    • les Bardelières
    • les Brosses
    • les Morelles
    • Maison Pèlerin
    • Montanay
    • Montgros
    • Mornay
    • Pirol

    Logement

    En comme en , la plupart des logements de la commune sont des maisons (environ 90 %) et un peu plus de 3,5 % sont des appartements[Insee 1].

    Le logement à Lapeyrouse-Mornay
    Types de logements 2014 Proportion 2009 Proportion
    Total 528 100 % 461 100 %
    Résidences principales 472 89,5 % 423 91,7 %
    Résidences secondaires 16 3 % 15 3,2 %
    Logements vacants 40 7,5 % 24 5,2 %
    Source : Catégories et types de logements[Insee 1].

    Risques naturels et technologiques

    La commune n'est pas soumise à un plan de prévention des risques naturels prévisibles, ni à un plan de prévention des risques technologiques mais elle est située en zone 3 de sismicité modérée[17].

    Elle est traversée par plusieurs canalisations de matières dangereuses[3] :

    • l'oléoduc de défense commune N°1 (ODC1) transporte des hydrocarbures militaires provenant des raffineries du sud de la France vers les dépôts de l'Est du pays ;
    • une canalisation de pétrole brut exploitée par la Société du pipeline sud-européen (SPSE) ;
    • un gazoduc de diamètre 500 mm géré par GRTgaz.

    Toponymie

    Attestations

    Lapeyrouse :

    • 1450 : Perrosa (archives de la Drôme, E 1220)[18].
    • 1891 : Lapeyrouse, quartier de la commune de Lapeyrouse-Mornay[18].

    Mornay :

    • 1009 : Boscus Morvadeis (pour Mornadeis) (cartulaire de Saint-André-le-Bas, 251)[19].
    • 1891 : Mornay, bois de la commune de Lapeyrouse-Mornay. Ce bois faisait partie de la commune de Lens-Lestang avant 1855.[19].

    Lapeyrouse-Mornay :

    • 1891 : Lapeyrouse-Mornay, commune du canton du Grand-Serre[20].

    Étymologie

    Lapeyrouse
    Mornay

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de la Drôme.

    Préhistoire

    Lors du chantier du TGV en , des fouilles ont permis de trouver des silex taillés[21].

    Antiquité : les Gallo-romains

    Lors du chantier du TGV en , des fouilles ont permis de trouver divers fragments gallo-romains[21].

    Du Moyen Âge à la Révolution

    • 1009 : la moitié du bois de Mornay est donnée aux comtes d'Albon par les rois de Bourgogne[19].
    • 1772 : il est inféodé aux Spare sous les noms de fiefs de Verpré et de Mornay[19].

    De la Révolution à nos jours

    Au XIXe siècle, les 700 habitants des hameaux isolés de Lapeyrouse, de Mornay, de Bois Vieux et des Morelles, alors éloignés sur la partie la plus septentrionale des communes de Lens-Lestang et de Moras-en-Valloire, réclament la construction d'une église et d'une école. Cette demande est exaucée au décès de Jean Jacques Henri de Barrin (1784-1851), chef d'escadron d'artillerie qui, dans son testament, lègue une somme d'argent et une parcelle de terre afin d'y construire une église, une cure, une mairie, un cimetière et la maison de l'instituteur, à la condition que les hameaux soient réunis en une commune distincte[21].

    La commune actuelle est créée par la loi du . Elle comprend les quartiers de Lapeyrouse et de Mornay, distraits de la commune de Lens-Lestang, et ceux de Bois Vieux et des Morelles, distraits de la commune de Moras[20].

    La section A de la commune de Lens-Lestang et partie des sections C et D de Moras-en-Valloire ont servi à constituer la commune de Lapeyrouse-Mornay, érigée par la loi du [22],[23],[24],[25],[26].

    Le , une colonne allemande venant de Jarcieu détruit le café Gallay et l'école[21] à l'aide de grenades incendiaires. Il s'agissait vraisemblablement d'un élément de couverture (flanc-garde chargé de la sécurité sur l'axe Chanas-Beaurepaire) de la 19e Armée se repliant vers le nord).

    Politique et administration

    Administration municipale

    En 2020, le conseil municipal compte quinze membres[27][source insuffisante].

    Liste des maires

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (août 2021). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis 1855
    1855 1871  ?    
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1874  ?    
    1874 1878  ?    
    1878 1884  ?    
    1884 1888  ?    
    1888 1892  ?    
    1892 1896  ?    
    1896 1900  ?    
    1900 1904  ?    
    1904 1908  ?    
    1908 1912  ?    
    1912 1919  ?    
    1919 1925  ?    
    1925 1929  ?    
    1929 1935  ?    
    1935 1945  ?    
    1945 1947  ?    
    1947 1953  ?    
    1953 1959  ?    
    1959 1965  ?    
    1965 1971  ?    
    1971 1977  ?    
    1977 1983 Martial Langlais PCF  
    1983 1989 Martial Langlais   maire sortant
    1989 1995 Martial Langlais   maire sortant
    1995 2001 Martial Langlais   maire sortant
    2001 2008 Marcel Cros apparenté PCF  
    2008 2013 (mai) Marcel Cros   maire sortant
    2013 (juill.)
    (élection ?)
    2014 Nicole Durand apparenté PCF employée
    2014 2020 Nicole Durand   maire sortante
    2020 En cours
    (au 14 août 2021)
    Nicole Durand[27][source insuffisante]   maire sortante

    Rattachements administratifs et électoraux

    Lapeyrouse-Mornay appartient à la communauté de communes Porte de DrômArdèche depuis le . Elle faisait auparavant partie de la communauté de communes Rhône-Valloire. Une fusion entre les communautés de communes du nord Drôme Ardèche a en effet conduit au regroupement des anciennes communautés de communes des Quatre Collines, La Galaure, Les Deux Rives de la région de Saint-Vallier et Rhône-Valloire pour ne former plus qu’une seule communauté regroupant 35 communes et 43 500 habitants.

    Politique environnementale

    Le village a un réseau d'assainissement collectif qui relie moins de 200 abonnés à la station d'épuration construite en 2008. En revanche, les 350 logements des hameaux autour du bourg, n'étant pas reliés à la station, sont en assainissement individuel[3].

    Le tri sélectif des déchets est réalisé grâce à plusieurs « points d'apport volontaire » répartis sur la commune et dont la collecte est réalisée un niveau intercommunal par le Syndicat intercommunal rhodanien de collecte et de traitement des ordures ménagères (SIRTCOM)[3]. La déchetterie la plus proche est située à Saint-Sorlin-en-Valloire.

    En 2012, la consommation d'énergie de la commune est de 1 à 2 tep par habitant, un niveau comparable à la plupart des communes alentour[3].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1856. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

    En 2018, la commune comptait 1 219 habitants[Note 3], en augmentation de 0,99 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,05 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    769800787773799824826812737
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    720697670630629614624570576
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5905975996157238051 0151 1601 217
    2018 - - - - - - - -
    1 219--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Le village fait partie de l'académie de Grenoble et dispose d'une école élémentaire et maternelle dont l'effectif est de 139 élèves pour l'année scolaire -[32].

    Manifestations culturelles et festivités

    Le jeudi de l'Ascension, le SCC Jarcieurois organise depuis plusieurs années un stock-car dans une ancienne carrière[réf. nécessaire].

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : céréales, vignes, vergers, tabac, bovins, caprins[33].

    • Coopérative fruitière et coopérative agricole[33].

    Emploi

    En la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 719 personnes (667 en ) parmi lesquelles on compte 77,6 % d'actifs dont 8,4 % sont des chômeurs (respectivement 72,4 % et 9,3 % en )[Insee 2].

    Le nombre d'emplois dans la zone reste relativement stable entre et (respectivement 233 et 228) alors que le nombre d'actifs qui ont en même temps un emploi et qui réside dans la zone est passé de 425 en à 503 en  ; l'indicateur de concentration d'emploi perdant environ dix points entre ces deux dates, passant de 54,9 % à 45,2 % ; ce qui signifie qu'il y a dans la zone environ 45 emplois pour cent actifs ayant un emploi en [Insee 3].

    Au , la majorité des emplois concernent les secteurs du commerce, des transports et des services (58,5 %), le reste des emplois étant équitablement réparti entre les secteurs de l'agriculture, de l'industrie et de la construction (environ 11 à 12 % chacun)[Insee 4].

    Plus de 82 % des établissements de la commune n'ont aucun salarié, 16 % en ont entre un et neuf et moins de 2 % ont plus de dix salariés[Insee 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Joyeuse du XVIIIe siècle, ancienne propriété de la famille (de) Barrin, instigatrice de la création de la commune[21].
    • Église du XIXe siècle : appareil limousin[33].

    Patrimoine naturel

    Personnalités liées à la commune

    • Jérôme Cavalli (né en 1905 à Lapeyrouse-Mornay, mort pour la France en 1943 à Thélepte dans le sud de la Tunisie) : aviateur français.

    Héraldique, logotype et devise

    Lapeyrouse-Mornay possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références Insee

    1. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    2. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    3. EMP T5 - Emploi et activité.
    4. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2015.
    5. CEN G2 - Répartition des établissements actifs par tranche d'effectif salarié au 31 décembre 2015.

    Références

    1. Géoportail ; mesure d'une distance.
    2. Géoportail ; calculer un itinéraire.
    3. Rapport de présentation - Tome 1 - Commune de Lapeyrouse-Mornay [lire en ligne (page consultée le 20 juin 2018)].
    4. « Fiche cours d'eau - Le Derroy (V3320540) ».
    5. « Fiche cours d'eau - Le Dolon (V33-0400) ».
    6. « Fiche cours d'eau - L'Oron (V34-0400) ».
    7. Conseil départemental de la Drôme - Lignes et Horaires.
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. « Observatoire des surfaces à l’échelle communale (OSCOM) en Auvergne-Rhône-Alpes », sur ministère de la Transition écologique et solidaire, (consulté le ).
    16. https://www.geoportail.gouv.fr/
    17. « Commune de Lapeyrouse-Mornay : fiche synthétique descriptive des risques » [PDF], sur Préfecture de la Drôme, (consulté le ).
    18. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 188 (Lapeyrouse).
    19. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 237 (Mornay).
    20. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 188 (Lapeyrouse-Mornay).
    21. « Lapeyrouse-Mornay - Château de Joyeuse, une histoire liée à celle de la commune », sur Drôme Hebdo, (consulté le ).
    22. Archives départementales de la Drôme .
    23. Section A1, Montanay .
    24. Section A2, Montanay .
    25. Section C, Les Morelles
    26. Section D, Manthes .
    27. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. Annuaire du ministère de l'Éducation nationale.
    33. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), p. Lapeyrouse-Mornay.
    • Portail des communes de France
    • Portail de la Drôme
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.