La Tour (Alpes-Maritimes)

La Tour ou La Tour-sur-Tinée est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants du chef-lieu sont appelés les Tourriers et ceux du hameau de Roussillon les Roussillonais.

La Tour-sur-Tinée redirige ici.

Pour les articles homonymes, voir La Tour.

La Tour

Vue sur le village depuis la route des Granges de la Brasque.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Thierry Roux
2020-2026
Code postal 06420
Code commune 06144
Démographie
Gentilé panissiers
Population
municipale
561 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 56′ 52″ nord, 7° 11′ 06″ est
Altitude Min. 195 m
Max. 1 900 m
Superficie 36,7 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vence
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
La Tour
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
La Tour
Géolocalisation sur la carte : France
La Tour
Géolocalisation sur la carte : France
La Tour

    Géographie

    Localisation

    Commune située à 23 km de Saint-Martin-du-Var et 47 km de Nice[1].

    Géologie et relief

    le village de La Tour est perché sur une crête du massif du Tournairet.

    Le hameau de Roussillon s'est développé au XVIIIe siècle[2].

    Catastrophes naturelles - Sismicité

    Le 2 octobre 2020, de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[3]. Certains hameaux de la commune restent inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'Arrêté du 7 octobre 2020 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié la commune au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020"[4].

    Commune située dans une zone de sismicité moyenne[5].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    L'eau n'est arrivée à une fontaine du village qu'en 1891, et chez les particuliers en 1927.

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

    • rivière la Tinée,
    • vallons de ginoire, de pèlegrin, de la clapière, des fournés de bagnolar,
    • ruisseaux des carbonnières, de la cardinarde, des fournés, des lignes, de gorgétta,
    • le riou frei.

    La Tour dispose deux stations d'épuration :

    Climat

    Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[9].

    Voies routières

    Sur la M 2205, après le hameau de La Courbaisse, sur la commune de Tournefort, franchir le pont de la Lune et prendre à droite la route métropolitaine M32 [10].

    Transports en commun

    Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Intercommunalité

    La , La Tour intègre la métropole Nice Côte d'Azur qui est créée le même jour[12].

    Urbanisme

    La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le 25 octobre 2019[13]

    Typologie

    La Tour est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[19].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de La Tour
    Clans Clans Utelle
    Tournefort Utelle
    Tournefort Utelle Utelle

    Toponymie

    La Tour désigne des châteaux comme La Tour-sur-Tinée[20]. La commune est parfois appelée localement La Tour-sur-Tinée.

    Histoire

    Panorama vers l'ouest, la vallée de la Tinée et Tournefort.
    Panorama vers l'est, l'église du village et la maison dite des Templiers.

    Deux agglomérations existaient au Moyen Âge sur le territoire de La Tour[21].

    Un village nommé « La Torre » est cité au XIIe siècle, agglomération fortifiée sur le site actuel du village. Un château devait se trouver sur le sommet qui domine le village au sud-ouest site actuel du cimetière.

    Un second site fortifié nommé Alloche existait au-dessus de la chapelle Saint-Jean, à km au nord-est du village, actuel hameau d'Alloch dit « de Saint-Jean ». La communauté de Saint-Jean-d'Alloche est citée en 1251. Elle a disparu avec la peste de 1467. La chapelle Saint-Jean devait être l'église paroissiale initiale car les curés recevaient leur investiture dans cette chapelle jusqu'au XIXe siècle.

    La seigneurie de La Tour a appartenu aux Grimaldi de Bueil à partir de 1400, jusqu'à l'exécution d'Annibal Grimaldi, en 1621. Le territoire est érigé en comté au profit de la famille Della Chiesa en 1700.

    Une église dédiée à saint Martin est citée en 1351, peut-être sur l'emplacement actuel. Elle est reconstruite au XVIe siècle et le village s'est développé sur le plateau, à 620 m d'altitude, sur un contrefort du mont Tournairet, à un carrefour de routes menant à Utelle, Clans et Villars, passage vers la vallée de la Tinée jusqu'au XIXe siècle.

    La communauté comportait quatre chapelles en plus l'église paroissiale Saint-Martin : la chapelle des Pénitents blancs, à la sortie du village sur la route d'Utelle, la chapelle Saint-Sébastien, sur la route montant de la vallée, la chapelle Sainte-Élisabeth, sur la route d'Utelle à un col, la chapelle Saint-Jean-Baptiste d'Alloch[22].

    Héraldique

    Blason
    D’azur aux deux pals ondés d’or enfermant une tour du même posée sur un mont d’argent mouvant de la pointe et surmontée d’un croissant contourné aussi d’or[23].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Pr René Gilly UMP conseiller général
    mars 2008 2020 Pierre-Paul Danna DVG[24] Maître de conférence en droit de l'urbanisme
    à l'université de Nice-Sophia Antipolis
    2020 En cours Thierry Roux    

    Budget et fiscalité 2019

    La mairie, peinte par Guy Ceppa, peintre fresquiste niçois[25]

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 050 000 , soit 1 820  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 812 000 , soit 1 407  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 593 000 , soit 1 028  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 616 000 , soit 1 068  par habitant ;
    • endettement : 995 000 , soit 1 724  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 9,26 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 10,09 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 22,64 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 110 [27].

    Économie

    Agriculture

    • Le territoire possédait des oliviers, des vignes et des céréales. Les moulins à huile et à farine montrent l'ancienne richesse de la communauté. En 1754, il y avait environ 1 300 habitants à La Tour.
    • La Coopérative d’Utilisation de Matériel Agricole (CUMA) de la commune La Tour / Roussillon a été créée en 2010 par 5 agriculteurs et la municipalité.
    • Exploitants Agricoles[28]

    Tourisme

    Commerces

    • Commerce de proximité : épicerie « Les Arcades ».

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2018, la commune comptait 561 habitants[Note 3], en diminution de 2,09 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +0,5 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1858 1861 1866 1872 1876
    450620575710912919916989831
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
    822811743711703700617504534
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    548507349307190170176148286
    1999 2006 2007 2008 2013 2018 - - -
    300408424439573561---
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements :

    • École maternelle[35] et primaire[36].
    • Collèges à Saint-sauveur-sur-tinée, Saint-Martin-du-Var[37],
    • Lycée à Valdeblore.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[38] :

    • Médecins à Saint-Martin-du-Var, Carros,
    • Pharmacie Saint-Martin-du-Var, Carros,
    • Hôpitaux à Saint-Jeannet, Vence, Nice.

    Cultes

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux :

    Autres patrimoines :

    • Maison Olivari, dite des Templiers[53],[54], ancien presbytère, à côté de l'église[55],
    • Ensemble artisanal du Béal, avec un moulin à farine[56], un moulin à huile[57],[58], une distillerie et un lavoir, fonctionnant grâce à l'énergie hydraulique apportée par un canal long de 15 km[59],
    • Maison Lyons[60].
    • Granges de la Brasque[61],[62].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Localisation plan ign
    2. Hameau de Roussillon
    3. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
    4. Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
    5. Didacticiel de la règlementation parasismique
    6. L'eau dans la commune
    7. Description de la station LA TOUR Roussillon
    8. Description de la station LA TOUR TINEE Village St Sébastien
    9. Table climatique
    10. Plan d'accès
    11. Les réseaux de transport : Alpes-Maritimes
    12. Décret du 17 octobre 2011 du ministère de l’Intérieur, de l’Outre-mer, des Collectivités territoriales et de l’Immigration portant création de la métropole dénommée « Métropole Nice Côte d’Azur », Journal officiel de la République française, no 242 du 18 octobre 2011.
    13. Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. PLU approuvé le 21 juin 2013 et modifié (Modification n°1) le 19 février 2016
    20. Peuplement et toponymie en Provence orientale et dans le pays niçois, par Marie-Louise Gourdon, Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie Année 1997 25-2-4 pp. 151-163
    21. Histoire du village
    22. La Tour-sur-Tinée, p. 6-7, Passeurs de mémoire, Patrimoine des Alpes-Maritimes : Basse et moyenne Tinée, Conseil général des Alpes-Maritimes
    23. Nice Côte d'Azur 1 : La Tour, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    24. Barriquand 2012, p. 54
    25. La mairie, peinte par Guy Ceppa
    26. Les comptes de la commune
    27. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    28. Entreprises et services locaux
    29. Auberge
    30. Hébergements
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. École maternelle et élémentaire
    36. École maternelle et primaire
    37. Collèges à proximité
    38. Professionnels et établissements de santé
    39. Paroisse Notre-Dame de la Tinée
    40. « Eglise Saint-Martin », notice no PA00080884, base Mérimée, ministère français de la Culture
    41. Église Saint-Martin
    42. « Chapelle Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00080883, base Mérimée, ministère français de la Culture
    43. Chapelle Saint-Jean-Baptiste
    44. « Chapelle des Pénitents Blancs », notice no PA00080882, base Mérimée, ministère français de la Culture
    45. Chapelle des Pénitents Blancs
    46. Chapelle Saint Sébastien
    47. Chapelle Sainte Elisabeth
    48. Chapelle Saint-Jean d'Alloch
    49. Église de Roussillon
    50. Monument aux morts : Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945
    51. Passeurs de mémoire. Patrimoine des Alpes-Maritimes, basse et moyenne-Tinée, p. 17
    52. La maison a été surélevée en 1891. Au premier étage a été peint un buste de Sadi Carnot dans une niche.
    53. Inventaire du patrimoine archéologique de La Tour-sur-Tinée
    54. Les sites templiers des Alpes-Maritimes
    55. Maison des "Templiers"
    56. Notice no PM06002799, base Palissy, ministère français de la Culturemoulin à grains
    57. Notice no PM06001132, base Palissy, ministère français de la Culturemachine à extraire des fluides (moulin à olives et son mécanisme)
    58. Moulin à huile
    59. Le cadastre napoléonien de La Tour sur Tinée. Un territoire agricole oublié
    60. Maison Lyons
    61. Pointe de Siruol, Granges de la Brasque, Vésubie
    62. Itinéraire
    63. Inféodations dans le Comté de Nice suivant le dictionnaire de Casalis

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Clip vidéo sur le village, réalisé par HTI-3D
    • Nicolas Barriquand, « Interview de Thierry Roux : « Il faut construire de l'habitat collectif » », L'Express, no 3184,
    • Luc Thévenon, L'art du Moyen Âge dans les Alpes méridionales, p. 48-50, Éditions Serre (collection patrimoines), Nice, 1983 (ISBN 2-86410-047-9) ; p. 94
    • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton à Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)
      Canton de Tende : p. 983-986 : La Tour
    • Tour sur Tinée (La) : datations gothiques gravées; inscriptions de la Tour et Tournefort; inscriptions pathétiques; inscriptions de la route la Tour la brasque; le Comté de Nice en 1850; Sites militaires des vallées Tinée Vésubie; Murs et linteaux
    • La Tour sur Tinée : histoire
    • Philippe de Beauchamp, Photographies Loïc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN 2-85744-485-0)
      Vallée de la Tinée : La Tour, Peintures murales de la chapelle des Pénitents blancs, pp. 69 à 71
    • Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
      Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Tour (La), p. 77
    • Association Saint Jean le Vieux, Peintures murales décors peints, Vallée de la Tinée, Alpes-Maritimes, Association Saint Jean le Vieux, 18 p.
      *La Tour-sur-Tiné; *Clans; *Valdeblore Saint-Dalmas; *Roure; *Roubion; *Saint-Étienne-de-Tinée; *Quelques saints représentés dans les vallées de la Tinée; *Les chapelles peintes de la Vallée de la Tinée
    • Dr Michel Bourrier, Villages de montagne à l'heure de la grande guerre, Le canton de Villars-sur-Var, Nice, Lou Savel, , 280 p. (ISBN 2-9510630-1-6)
      Chapitre XI : La Tour-sur-Tinée, pp. 163 à 178
    • Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
    • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
    • Cavités souterraines naturelles

    Articles connexes

    Liens externes

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