La Neuve-Lyre

La Neuve-Lyre est une commune française du département de l'Eure, en région Normandie.

La Neuve-Lyre

La mairie de La Neuve-Lyre.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Interco Normandie Sud Eure
Maire
Mandat
Chantal Topart
2020-2026
Code postal 27330
Code commune 27431
Démographie
Gentilé Lyrois
Population
municipale
575 hab. (2018 )
Densité 202 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 54′ 33″ nord, 0° 44′ 55″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 181 m
Superficie 2,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Breteuil (Eure)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
La Neuve-Lyre
Géolocalisation sur la carte : Eure
La Neuve-Lyre
Géolocalisation sur la carte : France
La Neuve-Lyre
Géolocalisation sur la carte : France
La Neuve-Lyre

    Géographie

    La Neuve-Lyre est une commune du Sud-Ouest du département de l'Eure, localisée entre Rugles et Beaumont-le-Roger. Située au cœur de la vallée de la Risle et traversée par deux petites vallées sèches, elle appartient à la région naturelle du pays d'Ouche qui se prolonge jusque dans le département de l'Orne. Les vallées présentent, ici, des pentes douces (au contraire de la vallée de la Risle située en aval de Beaumont-le-Roger). La Neuve-Lyre se caractérise, comme le reste du pays d'Ouche, par une présence importante des structures végétales (que ce soit des haies bocagères, des bosquets ou des boisements plus importants) au milieu des cultures de blé ou de colza (qui ont remplacé les prairies)[1]. À vol d'oiseau, la commune est à 10 km au nord de Rugles[2], à 15 km au sud-ouest de Conches-en-Ouche[3], à 32 km au sud-ouest d'Évreux[4] et à 64 km au sud de Rouen[5].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 737 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Bottereaux », sur la commune des Bottereaux, mise en service en 1978[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 731,3 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 36 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,8 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[20].

    Urbanisme

    Typologie

    La Neuve-Lyre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[22],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (30,8 %), prairies (26,9 %), forêts (26,8 %), zones urbanisées (15,6 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Nova Lira vers 1050, Jeune Lyre en 1460, Lire la Neuve en 1722[28]. Il s'agit sans doute de la division d'un primitif Lire, conservé par le nom de l'ancienne abbaye de Lyre[29].

    Ce toponyme semble devoir être rapproché du nom primitif de la Risle (fluvius Lirizinus VIIIe siècle, Vie de saint Germer) qui contient le thème hydronymique lera / lira, mis en évidence par les linguistes[29]. Dans le cas du nom de la Risle, on a une double suffixation *Lir-ic-ina, devenu par métathèse *Ricilina> Risle. Les noms de lieux et les hydronymes se déclinent souvent l'un à partir de l'autre dans les faits.

    Voir toponymie de la Vieille-Lyre.

    Histoire

    À l'origine, La Neuve-Lyre relevait de la paroisse de la Vieille-Lyre. En 1229, elle acquérait son autonomie. Elle a été, dès le Moyen Âge, un centre commercial (marché et halle), administratif (siège de vicomté et de sergenterie) et artisanal (travail du fer).

    En 1791, elle a été désignée chef-lieu de canton mais Napoléon lui a retiré cette qualité.

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    d’azur à la lyre d’argent.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1807 Jacques LE BAS   Propriétaire
    1807 1831 Jean-Michel GUEFFE    
    1831 1836 Armand MESNIL    
    1836 1844 Pierre-Casimir QUEREY    
    1844 1848 Jean-Jacques GUEFFE    
    1848 1852 Germain BARAGUEY   Industriel
    1852 1862 Jean-Jacques GUEFFE    
    1862 1896 Emile BARAGUEY   Industriel
    1896 1914 Joseph LOIZIEL   Huissier
    1914 1919 Prosper BASTIEN   Marchand, mercier
    1919 1926 Pierre REMI   Huissier
    1926 1932 Raoul LOIZIEL   Avocat
    1932 1940 Anatole BOULAY   Cafetier
    1940 1944 Victor de KERMEL   Comte
    1944 1959 Yvan BLANCHET   Marchand de bois
    1959 1995 Raymond PLAINE   Notaire
    1995 2014 Jean-Claude FRANCOIS   Chauffeur
    2014 2020 Daniel BESNEHARD DVD Fonctionnaire
    2020 En cours Chantal TOPART   Cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2018, la commune comptait 575 habitants[Note 6], en diminution de 1,2 % par rapport à 2013 (Eure : +0,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    758817784788802724741743702
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    683712675716694688753755685
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    788830791788770736608674621
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    618724802712598567603607583
    2017 2018 - - - - - - -
    573575-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Gilles, du XIIIe siècle, remaniée au XIXe siècle (réfection des murs et agrandissement du chœur). Une partie de l'édifice, dont le clocher, est en grison, une pierre rousse du pays d'Ouche. L'orgue a été rénové en 2011 par Jean-François Muno.
    L'église Saint-Gilles.
    • Château médiéval. Il ne reste plus de trace de ce château édifié sur l’emplacement de l’actuel cimetière. Il joua un rôle militaire durant le XIIe siècle lors de la révolte de plusieurs barons contre le Duc de Normandie et roi d’Angleterre. Arnaud du Bois commandait le château mais négocia et le livra au roi. Il s’agissait d’une motte castrale, fréquente en Normandie, bâtie sur une motte, palissée de bois et ceint de larges fossés. Si le château lyrois n’est pas mentionné durant la guerre de Cent ans, longtemps le village conserva des traces ; ainsi la rue des Fossés du Château ne devint rue de Derrière le Bourg qu’au XIXe siècle.[34]
    • Château de la Chapelle[35] (1865-1879), inscrit au titre des monuments historiques le -  Inscrit MH (2002)[36]. Œuvre de style éclectique pensée par l'architecte Jacques Baumier, le commanditaire en a été le maire de la commune, Émile Claudius Baraguey-Fouquet. Il a été détruit en partie par un incendie le . L'édifice est également situé sur le territoire de la commune de Neaufles-Auvergny.

    Personnalités liées à la commune

    • Nicolas de Lyre : probablement né vers 1270 à La Neuve-Lyre et mort en 1349 à Paris. Ce franciscain est l'auteur d'une Postilla litteralis super Biblia, commentaire littéral de la Bible (ancien et nouveau testaments), terminé en 1332, de grande renommée et de diffusion importante au moins jusqu'au XVIe siècle.
    • Émile Baraguey (18..-1895), industriel qui a développé l'entreprise familiale, située à Chagny hameau de La Neuve-Lyre. L'usine a employé plus de 200 ouvriers à fabriquer des produits en cuivre. Il a été maire de la commune de 1862 à sa mort.
    • Émile Bourgeois (1832-1926), propriétaire d'un grand magasin parisien, « Le Grand Dépôt » , 21-23, rue Drouot à Paris, dans la seconde moitié du XIXe siècle et bienfaiteur de la commune au début du XXe siècle.
    • Henri-Charles Thuillier (1867-1928), curé et poète.
    • Yann Moncomble (1953-1990), journaliste.
    • Nigel Wilkins, professeur de Cambridge et de la Sorbonne.

    Cadre de vie

    • Le chemin de randonnée, dit Chemin des Moines traverse le village de La Neuve-Lyre. Sur le tronçon entre La Neuve-Lyre et Trisay, le chemin emprunte une partie du GR 224). D'une distance de 6,7 km et d'une durée de 1h45 à pied, ce chemin est une boucle qui traverse La Vieille-Lyre, La Neuve Lyre, la campagne environnante et offre une vue sur la vallée de la Risle. (Fiche du circuit)

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Laurent Ridel, La Vieille-Lyre et La Neuve-Lyre autrefois,

    Articles connexes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Le pays d'Ouche », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. « Distance à vol d'oiseau entre La Neuve-Lyre et Rugles », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    3. « Distance à vol d'oiseau entre La Neuve-Lyre et Conches-en-Ouche », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    4. « Distance à vol d'oiseau entre La Neuve-Lyre et Évreux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    5. « Distance à vol d'oiseau entre La Neuve-Lyre et Rouen », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    6. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
    7. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Les Bottereaux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre La Neuve-Lyre et Les Bottereaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Les Bottereaux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre La Neuve-Lyre et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    28. Vincent Auguste. Noms de cours d'eau diminutifs de noms de lieux [Spécialement dans le domaine français]. Revue belge de philologie et d'histoire, tome 7, fasc. 1, 1928. p.34.
    29. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p. 208.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. Gilloudifs, « LES REMPARTS DE LA NEUVE-LYRE (Eure) », sur Rempart de Normandie,
    35. Le dire de l'architecte des bâtiments de France - 2 octobre 2015 .
    36. Notice no PA27000047, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Liens externes

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