La Bazouge-des-Alleux

La Bazouge-des-Alleux est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 551 habitants[Note 1].

La Bazouge-des-Alleux

L'église paroissiale Saint-Julien.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes des Coëvrons
Maire
Mandat
Bernard Gérault
2020-2026
Code postal 53470
Code commune 53023
Démographie
Population
municipale
551 hab. (2018 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 11′ 00″ nord, 0° 36′ 36″ ouest
Altitude Min. 76 m
Max. 146 m
Superficie 18,10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Évron
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
La Bazouge-des-Alleux
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
La Bazouge-des-Alleux
Géolocalisation sur la carte : France
La Bazouge-des-Alleux
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La Bazouge-des-Alleux

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    Géographie

    À km au nord-ouest de Montsûrs, La Bazouge-des-Alleux est une discrète petite localité. Elle comptait 885 habitant en 1726, 829 en 1841, 628 en 1891.

    Géologie

    Daniel Œhlert indique pour la description de la géologie sur La Bazouge-des-Alleux au début du XXe siècle: ranite et granulite coupés par de nombreux filons de diabase, de microgranulite et de quartz. Schistes précambriens à l'extrémité Sud-Est.

    Territoire

    Il s'agit d'un territoire qui s'incline légèrement vers l'Est., avec renflement au Nord couvert par une pointe de la forêt de Bourgon, dite le triage de Thuré, 1706. Les sources du ruisseau du Fresne, affluent de la Mayenne, atteignent presque la limite Est, mais toutes les eaux de la commune sont néanmoins recueillies par plusieurs branches de la petite rivière de Gesnes qui les porte à la Jouanne près de Montsûrs. On cite dans les textes anciens les ruisseaux de Vauvienne, de Clopart, du Chêne-Branché, ce dernier passant au bourg.

    Une voie ancienne de Mayenne à Évron se bifurquait dans la direction de Montsûrs à la limite commune de Montourtier et de la Bazouge. Le Pont-Berthe, situé à la Durandière, donnait passage à la route de Laval, et le grand chemin de Martigné au Mans passait non loin du bourg, XVe siècle. Sur la carte de 1706, la route de Mayenne à Montsûrs est tracée et abordée par un chemin allant à Laval par Châlons et Louverné. la carte de Cassini l'indique aussi.

    La superficie, cadastrée en 1828 par Léon Troussard, est de 1 810 hectares. Miroménil indique en 1696 20 métairies, trois quarts de sol en bonne terre, un quart en landes, taillis et étangs. Le sol est marécageux d'après André René Le Paige, produisant du seigle, du méteil, de l'avoine et du sarrasin. En 1789, les habitants écrivent dans le cahier de doléances que le sol, en landes pour une grande partie, est si ingrat qu'on ne peut y récolter que peu de seigle et de blé noir ; que les tentatives faites pour cultiver le froment, le lin, le chanvre, ou pour élever des arbres fruitiers, ont été infructueuses ; qu'enfin les prairies ne sont pas meilleures et donnent un foin de mauvaise qualité.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 797 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Argentre », sur la commune d'Argentré, mise en service en 1971[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 774,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le département de l'Orne, mise en service en 1946 et à 59 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    La Bazouge-des-Alleux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,4 %), terres arables (34,1 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), forêts (4,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    • En 989 : Basilgeacum. Elle se trouve mentionnée, dès 989, au cartulaire d'Évron, sous le nom de Ecclesia Basigeacum Nomine.
    • En 1247 : Parrochia de La Basouge de Allodiis.
    • En 1370 : La Basoge des Allais. (Archives nationales, P. 1343, f. 41)
    • En 1386 : Basougéia de Allodis. (Fondation des Trois-Maries de Montsûrs)
    • En 1434 : La Basoge des Alleux, (Archives nationales, KK. 324).
    • Ecclesia de Basogia de Alodis, au XVe siècle (Pouillé).
    • En 1500 : La Basoge des Alleux. (Lib. fundat., II, f. 2 460).
    • En 1660 : La Grande Basouge. (Registre paroissial).
    • En 1715 : La Basoge aux Hallaz. (Carte cénomane)
    • En 1706 : La Basoge des Alleux. (Carte de Jaillot)
    • Et depuis 1777 : La Bazouge-des-Alleux (André René Le Paige).

    Histoire

    Traditions

    À km au nord du bourg, se trouve un champ appelé le Champ-Blanc. Selon la tradition populaire, en cet endroit, à proximité d'une chapelle dédiée à sainte Anne, se trouvait l'emplacement primitif de l'église de la paroisse. Quant au Champ Blanc, selon l'opinion commune, il ne doit être cultivé que par moitié ! S'il en était autrement, le fermier du lieu mourrait dans l'année !

    Féodalité

    Les lieux de Thuré, Montflours, Lignou ou Ligneul, ont une forme ancienne. La forêt d'Alloué, qui recouvrait une partie de son territoire, lui a donné pour l'Abbé Angot son surnom d'origine germanique.

    La Bazouge-des-Alleux était au XIe siècle au nombre des églises qui ne relevaient que de l'évêque, mais un arrangement survenu dans l'intervalle peut expliquer ce changement, et aucune autre identification n'est aussi vraisemblable. Il ressort de ce texte qu'au Xe siècle, la paroisse était constituée déjà, cultivée en partie, et occupée par des fermes, manisgella, en partie aussi couverte de forêts et de terres incultes.

    Dès 1247, ses habitants se plaignaient de subir les vexations des officiers royaux, au sujet de l'impôt du « Fêtage », un impôt qui était perçu sur chaque maison.

    Armes des Feschal : Vairé et contrevairé d'argent et d'azur, chargé d'une croix étroite de gueules

    C'est par acquisition faite en 1272 de Guy VIII de Laval que Jean de Feschal, seigneur de Thuré, eut la justice, c'est-à-dire la seigneurie du bourg de la Bazouge avec le four à ban[22].

    Le commandeur de Thévalles avait à la Bazouge un fief et, au bourg, une maison nommée l'Hôpital, 1397, 1544. Il y prenait le coutume des marchandises. Un aveu de 1450 mentionne une forge dans un jardin du bourg.

    Les Feschal de Thuré furent protestants, au moins pendant une partie des troubles du XVIe siècle ; ce fait explique peut-être qu'en 1578, le , l'église était tellement délaissée qu'il n'y avait pas même un ministre capable d'administrer le baptême.

    En 1667, Hubert de Champagne, marquis de Villaines et seigneur de Thuré, dut faire reconnaître ses droits à l'occasion d'un abus assez singulier[23]. Une épitaphe, qui se lit encore dans l'église, rappelle les titres de seigneur de la paroisse et de fondateur de l'église de messire François Le Clerc, chevalier, seigneur du Boisjousse et de Thuré. Son écusson, gravé sur la pierre avec couronne de baron, porte, un chef chargé de trois étoiles et, sur le champ, un chevron accompagné en pointe d'un croissant montant.

    En 1784, les Affiches du Mans accordaient le titre de châtellenie à la seigneurie de La Bazouge.

    Révolution française

    Le cahier de doléances de 1789, rédigé devant huit marchands et seize métayers et closiers, signé de dix noms en tête desquels est celui d'Étain-Lacroix, demande dans chaque province la création d'un grand bailliage qui jugerait toutes les causes en dernier ressort. La paroisse, soupçonnée d'incivisme, fut, le , visitée par les Gardes nationaux de Martigné qui désarmèrent les habitants. Elle se trouvait en effet sur le bord de la zone longeant la route de Laval à Mayenne où les républicains furent toujours les maîtres, et limitrophe d'autres paroisses où les Chouans étaient organisés.

    François Gassot, procureur de la commune, fut accusé devant la Commission militaire révolutionnaire du département de la Mayenne d'avoir acheté des grains dans les fermes. Sept hommes suivirent les Vendéens à leur passage.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1791   Gorenflaux    
    1800 1813 Jean Élain-Lacroix    
    1821 1830 Élain-Lacroix    
    1835   Voille-Dubourg    
    1840 1870 Guédon    
    1870 1887 Huchedé    
    1887 1890 Gombert    
    1890   Paumard    
    juin 1995 En cours Bernard Gérault[24] SE Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2018, la commune comptait 551 habitants[Note 7], en augmentation de 5,56 % par rapport à 2013 (Mayenne : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    696724866807732829793787761
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    785771755675669639617628586
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    557526503426405425412377347
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    296286260249261262353481540
    2018 - - - - - - - -
    551--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Activité et manifestations

    • Association Enfant-loisirs.
    • Repas champêtre le 1er week-end de juillet.
    • Lâcher de truites à l'étang.
    • Concours de belote.

    Héraldique

    Blason
    De sinople, à un pal de vair, accosté de deux croisettes d’or, mises en bande.
    Détails
    Le pal symbolise le ruisseau qui traverse le territoire communal du nord au sud.

    Le vair provient du blason du seigneur de Feschal, seigneur de la Bazouge dans son château de Thuré. La reprise intégrale du blason de seigneur étant interdite pour la commune, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.

    Le sinople symbolise par sa couleur l’ancienne forêt d’Alloué qui a donné une partie de son nom au village.

    Les croisettes symbolisent l’église qui a donné son nom au village. Elles sont mises en bande pour indiquer que le village est à flanc de coteaux.

    Les ornements sont deux deux gerbes de blé d’or, mises en sautoir par la pointe et liées d’azur afin d’honorer l’activité agricole.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Sources

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 330
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Argentre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre La Bazouge-des-Alleux et Argentré », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Argentre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre La Bazouge-des-Alleux et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Depuis cette époque les seigneurs de Thuré eurent tous les droits utiles et honorifiques dans la paroisse et dans l'église. Leur titre a laissé encore quelques traces sur les murs extérieurs ; les armes de Bouillé et de Feschal sont dans la chapelle du Rosaire.
    23. Ne voulant pas que, dans sa présence, son banc soit entouré de personnes mal instruites et rustiques, qui souvent rendent mauvaise odeur et commettent d'autres incivilités qu'il n'est point besoin de réciter, il demanda avec l'accord du curé et de la plus saine partie des habitants » que le chœur de l'église soit los honnestement de poutres avec ballustres, tant au-devant du chœur que de la chapelle du Saint-Rosaire
    24. Réélection 2020 : « Municipales à La Bazouge-des-Alleux. Bernard Gérault réélu maire pour la 5e fois », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Château de Thuré », notice no PA00109464, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Liens externes

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