L.G., une aventure des années soixante

Le recueil est préfacé par Claude Burgelin[3]^,[2], qui décrit notamment la genèse du projet collectif la Ligne générale[3] et « l'engagement marxiste » de Perec et des autres membres de ce groupe d'auteurs[2].

Le premier texte est intitulé Le Nouveau Roman et le refus du réel ; il est co-écrit avec Claude Burgelin[1]^,[2]. Le second essai a pour titre Pour une littérature réaliste[1]^,[2]. Le troisième texte est intitulé Engagement ou crise du langage[1]^,[2]. Le quatrième texte est intitulé Robert Antelme ou la vérité de la littérature[1]^,[2]. Le cinquième essai est intitulé L'univers de la science-fiction[1]. Le sixième texte, co-écrit avec Roger Kleman et Henri Peretz, a pour titre La perpétuelle reconquête et porte sur le film Hiroshima mon amour[1]^,[4]. Enfin, le septième et dernier texte, co-écrit avec Jacques Lederer, est intitulé Wozzeck ou la méthode de l'apocalypse[1]^,[5].

Les quatre premiers essais mettent en exergue la « pensée perecquienne de la littérature »[2]. La réflexion de Perec sur la littérature tend à construire « une troisième voie », située entre la philosophie existentialiste de Jean-Paul Sartre et les textes précurseurs au concept de l'écriture^[pas clair] de Roland Barthes[2].