L'Albère

L'Albère est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Albère.

L’Albère

Le hameau de Saint-Jean vu depuis le sentier menant au dolmen de la Balma de Na Cristiana.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Céret
Intercommunalité Communauté de communes du Vallespir
Maire
Mandat
Marc de Besombes-Singla
2020-2026
Code postal 66480
Code commune 66001
Démographie
Gentilé Albériens, Albériennes
Population
municipale
76 hab. (2018 )
Densité 4,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 29′ 01″ nord, 2° 53′ 41″ est
Altitude Min. 266 m
Max. 1 116 m
Superficie 17,10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vallespir-Albères
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
L’Albère
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
L’Albère
Géolocalisation sur la carte : France
L’Albère
Géolocalisation sur la carte : France
L’Albère

    Ses habitants sont appelés les Albériens.

    Géographie

    Localisation

    La commune de l'Albère se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[1].

    Elle se situe à 24 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 12 km de Céret[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Le Perthus (3,3 km), Montesquieu-des-Albères (4,0 km), Les Cluses (4,6 km), Villelongue-dels-Monts (4,8 km), Laroque-des-Albères (5,4 km), Saint-Génis-des-Fontaines (6,9 km), Maureillas-las-Illas (7,0 km), Le Boulou (7,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, L'Albère fait partie du Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret[5].

    Paysages et relief

    La commune est située dans le massif des Albères. Sa superficie est de 1 710 ha. Elle varie en altitude entre 266 mètres au voisinage de la commune du Perthus et 1 128 mètres au Roc dels Tres Termes[8]. Le hameau de Saint-Jean est à une altitude de 538 m et celui de Saint-Martin à une altitude de 631 m[9].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[10].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 866 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,4 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Perthus », sur la commune du Perthus, mise en service en 1989[16]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15,2 °C et la hauteur de précipitations de 851,1 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 24 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[20], à 15,7 °C pour 1981-2010[21], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[22].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[23] : la « crête du pic d'Aureille » (270 ha), couvrant 4 communes du département[24] et les « crêtes de pic Neoulos » (366 ha), couvrant 3 communes du département[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[23] : le « massif des Albères » (10 837 ha), couvrant 10 communes du département[26].

    Urbanisme

    Typologie

    L'Albère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[27],[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (89,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), prairies (1,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,4 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La départementale D71 juste avant l'arrivée à Saint-Jean de l'Albère.

    La route départementale D 71 est la principale voie d'accès à la commune de L'Albère. En provenance du Perthus, elle fait le tour du territoire de la commune et revient au Perthus.

    Toponymie

    Le nom de la commune a sans doute pour origine le nom du massif des Albères dont il fait partie (voir cet article pour l'étymologie du nom du massif, qui est controversée). Si le nom du massif apparaît souvent au pluriel dans les textes du moyen Âge et en français et au singulier en catalan (L'Albera), le nom de la commune reste au singulier : L'Albère en français, L'Albera en catalan[33],[34].

    Histoire

    Le peuplement de L'Albère se fait initialement autour de deux églises, chacune constituant un hameau distinct : Sant Marti de Montforcat (mentionnée en 844) et Sant Joan de l'Albera (mentionnée en 1089)[9].

    Le , la commune intègre la communauté de communes du Vallespir[35].

    Politique et administration

    Canton

    En 1790 la commune de L'Albère est incluse dans le canton d'Argelès au sein du district de Céret. Elle est rattachée au canton de Laroque en 1793 puis revient au canton d'Argelès en 1801. Elle est ensuite rattachée au canton de Céret le [36]. À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton de Vallespir-Albères.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[37],[38]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1795 1801 Sylvestre Vilallongue    
    1802 1813 Jacques Oriol    
    1813 1830 Joseph Reste    
    1831 1834 Jacques Oriol    
    1835 1877 Joseph Reste fils    
    1878 1884 Albert Oriol    
    1885 1887 Gustave Tarres    
    1888 1904 Auguste Vinyes    
    1904 1934 Justin de Besombes-Singla    
    1935 1971 Antoine de Besombes-Singla    
    mars 1971 avril 2013 Pierre de Besombes-Singla[39]    
    mai 2013 en cours Marc de Besombes-Singla[39],[40]   Fils du maire précédent. Réélu en 2014[41]

    Jumelages

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1358 1365 1553 1643 1709 1720 1730 1755 1767
    15 f14 f10 f26 f19 f28 f26 f70 f200 H
    1774 1789 1790 - - - - - -
    281 H42 f250 H------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2018, la commune comptait 76 habitants[Note 8], en diminution de 7,32 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    242126243325354384359355270
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    265252270240227193200204191
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    190177160129131135998371
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    606162505469678381
    2018 - - - - - - - -
    76--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[47] 1975[47] 1982[47] 1990[47] 1999[47] 2006[48] 2009[49] 2013[50]
    Rang de la commune dans le département 176 198 208 192 176 195 191 190
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Il n'y a pas d'école à L'Albère. L'école la plus proche se situe au Perthus.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale :  ;
    • Fête communale : 2e dimanche d'août[51].

    Santé

    Il n'y a pas de médecin à L'Albère. Les médecins les plus proches se situent au Perthus.

    Sports

    Deux sites d'escalade existent sur la commune, le Roc Fouirous, situé proche du col de l'Ouillat[52], équipé et fréquenté depuis la fin des années 1980, puis encore récemment rééquipé, et le Sant Cristau, rocher connu en tant que site militaire d'importance pendant la bataille du Boulou, est un site de terrain d'aventure, fréquenté dans les années 1990, actuellement moins connu.[réf. nécessaire] Il y a aussi sur le versant sud, le roc du Midi, très remarquable depuis la plaine, où des grimpeurs et alpinistes ont grimpé et ouvert des voies.

    Certains décollent aussi en parapente depuis les pentes proches.

    Divers chemins sont très fréquenté en VTT.

    [réf. nécessaire]

    Économie

    Le bûcheronnage et l'agriculture dominent sur la commune. Plusieurs grandes fermes composent l'ouest du territoire communal.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de l'Albère », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre L'Albère et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre L'Albère et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de l'L'Albère », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 227-228.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
    8. L'Albère.net
    9. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
    10. « Plan séisme » (consulté le ).
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    13. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    16. « Station Météo-France Le Perthus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre L'Albère et Le Perthus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Le Perthus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre L'Albère et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de l'Albère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF la « crête du pic d'Aureille » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « crêtes de pic Neoulos » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « massif des Albères » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de l'Perpignan », sur insee.fr (consulté le ).
    31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    33. Basseda 1990, p. 295.
    34. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
    35. Martial Mehr, L'Indépendant, Le Perthus, Les Cluses et L'Albère rejoignent l'intercommunalité, 6 janvier 2014
    36. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
    37. « Liste des maires de l'Albere depuis l'An III de la République », sur lalbere.net (consulté le ).
    38. MairesGenWeb
    39. Marc De Besombes-Singla élu nouveau maire sur lindependant.fr, 22 mai 2013
    40. Réélection 2014 : « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
    41. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    42. « L'Albère : Jumelage avec Cantallops », L'Indépendant, , p. 19.
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    48. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    49. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    50. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    51. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    52. Roc Fouirous, camptocamp.org
    53. L'Albère.net
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