Karim Marrakchi

Karim Marrakchi, né en , est un artiste peintre et architecte marocain.

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Biographie

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Karim Marrakchi est né en 1959, il vit et travaille à Casablanca depuis 1963[1]. Il rentre à l'école primaire Georges-Bizet en 1964, et fréquente le lycée Lyautey pour ses études secondaires.

En 1979, il obtient son baccalauréat en sciences expérimentales et décide d'étudier l'anglais et de voyager aux États-Unis pendant deux années, notamment à Boston, Washington et New York.

De 1982 à 1988, il étudie l'architecture à l'École spéciale d'architecture de Paris. Malgré son investissement pour l'architecture, il suit les cours d'arts plastiques avec le professeur Henri Martin.

Plusieurs professeurs à l'école lui conseillent de quitter l'architecture et de se consacrer pleinement à la peinture[réf. nécessaire] Malgré les conseils de ses professeurs, Marrakchi n'abandonne pas ses études d'architecture[Interprétation personnelle ?], mais il suit en parallèle l'atelier de Paul Virilio .

En 1988, il obtient son diplôme d'architecture, et rentre au Maroc en 1990 pour exercer son métier d'architecte et réaliser plusieurs projets, notamment écoles et bureaux.

De 2000 à 2010, il travaille et construit des projets plus personnels dans différentes villes marocaines, notamment dans le cadre de la promotion immobilière.[réf. nécessaire][2]

Parallèlement à ses projets immobiliers, il travaille depuis l'année 2002 sur plusieurs thèmes plastiques de la peinture. Mais depuis 2009, il se consacre essentiellement à la peinture.[Interprétation personnelle ?]

En 2012, il décide d'exposer son travail pour la première fois au regard du grand public et des amateurs d'art marocains. Et en moins d'un an, il expose à El Jadida, Tanger et Marrakech avant que la galerie parisienne Thuillier ne lui offre ses cimaises en .[réf. nécessaire][3],[4]

Tableaux non localisés

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  • Solitude, 2011
  • La Chienne mante religieuse
  • Monsieur le chat
  • La Chatte brûlante, 2012
  • Renaissance
  • Joie à Walidia, 2011

Expositions

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  • Paris : Jubilations chromatiques à la Galerie Thuillier
  • El Jadida, à la Galerie Chaibia
  • Tanger, au Consulat du Royaume-Uni.
  • Casablanca: Il était une fois..

Critiques

  • Aziz Tnifass : « Les tableaux de Karim Marrakchi, à les regarder attentivement, sont d'une construction persévérante. La gourmandise de couleurs est servie sous contrôle, celui de l'architecte, qu'il est. »[4],[3]
  • Faten Safieddine : « Toutes les œuvres révèlent le regard, acerbe et tendre à la fois, que porte l'artiste sur ses propres expériences intimes, son entourage, ou la société casablancaise. Chaque détail y a son importance et son histoire. Rien n'est fruit du hasard, ni dans les paysages ni dans les scènes les plus abstraites. »[5].

Notes et références

  1. Nadia Ouiddar, « Les œuvres fantasmagoriques de Karim Marrakchi à Casablanca », Le Matin.ma, (lire en ligne, consulté le )
  2. « Le Who's who de l'immobilier - Karim Marrakchi, PDG de la société de Promotion immobilière l'Arganier : Un concept bien à part » (consulté le )
  3. « Karim Marrakchi expose ses « jubilations chromatiques » Galerie Thuiller à Paris ! », sur Le Parisien (consulté le )
  4. « Karim Marrakchi : ré-enchanter la vie », sur La Nouvelle Tribune, (consulté le )
  5. « Karim Marrakchi expose ses « jubilations chromatiques » à Paris » (version du 27 septembre 2016 sur l'Internet Archive)
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