Juliette Gréco : Déshabillez-moi/Je hais les dimanches
Juliette Gréco : Déshabillez-moi/Je hais les dimanches est l'album studio volume 3 de l'anthologie discographique 1983 de Juliette Gréco.
Sortie | Janvier 1983 |
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Enregistré |
Janvier à octobre 1982 Studio 92 à Boulogne-Billancourt (France) |
Durée | 38:52 |
Genre | Chanson française |
Producteur | Productions Alleluia |
Label | Disques Meys |
Albums de Juliette Gréco
Titres
Crédits
- Direction d'orchestre et arrangements : François Rauber
- Piano : Gérard Jouannest
- Direction artistique : Gérard Meys pour les Productions Alleluia (Paris)
- Prise de son : Jean-Claude Charvier
- Gravure : Master One
- Enregistrement : janvier à octobre 1982[2] au Studio 92 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)
- Distribution : Disc'AZ
- Album original : 33 tours / LP Stéréo Disque Meys 2 258.240 sorti en janvier 1983
- Pochette :
- Recto, photo de Juliette Gréco prise par Irmeli Jung dans une rue du Quartier Saint-Germain-des-Prés
- Verso, fac-similé d'une lettre manuscrite avec dessin (profil d'Orphée avec lyre) par Jean Cocteau, datée du
- Maquette : René Carel
Thèmes et contexte
Le succès de Juliette Gréco marque le pas en France des années 1970 jusqu'à la fin des années 1980, ce qui la contraint à recourir à différentes maisons de productions (Philips, Disques Barclay, RCA Victor puis les Disques Meys). Juliette Gréco dresse alors, à ce moment de sa carrière où elle tourne surtout sur les scènes étrangères, son anthologie discographique en 3 volumes initiée par Gérard Meys[2]. Ce sont, pour la plupart, des chansons qu'elle a créées ; mais également des reprises de chansons du patrimoine français et symboles de la France à l'étranger telles que : Le Temps des cerises, « chant d'amour révolutionnaire » et grand classique de la chanson française (créée par le ténor Antoine Renard en 1868), Mon homme (créée par Mistinguett en 1920), Parlez-moi d'amour (créée par Lucienne Boyer en 1931), Les Feuilles mortes (créée par Cora Vaucaire en 1946 et chanson du film Les Portes de la nuit) et Sous le ciel de Paris[3] (créée par Jean Bretonnière dans le film Sous le ciel de Paris en 1951).
Notes et références
- Avec l'autorisation des Disques Barclay.
- Source : volume 14 de son intégrale L'Éternel féminin
- Gréco note à ce sujet dans ses mémoires (Jujube, page 242, Éditions Stock) : « Ce morceau de « Ciel de Paris » que Gréco continue de transporter soigneusement dans chacun de ses voyages autour du monde, et arrivée sur scène, le déployant comme un drapeau. »
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