Joan Erikson

Joan Mowat Erikson, née Sarah Lucretia Serson le à Brockville, et morte le à Brewster, est une psychologue et essayiste canadienne. Elle est connue pour avoir coopéré aux recherches et aux publications d'Erik Erikson, son époux.

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Biographie

Elle fait ses études au Barnard College[1],[2].

Elle est l'auteur de plusieurs livres dont The Universal Bead, Activity, Recovery, and Growth, et Wisdom and the Senses[3].

Elle participe à l'élaboration de la Théorie du développement psychosocial[4],[5],[6].

Vie privée

Elle fait la connaissance d'Erik Erikson à un bal masqué à Vienne, en 1928[1]. Ils se marient et ont trois enfants[7].

Références

  1. (en) Robert McG. Thomas Jr., « Joan Erikson Is Dead at 95; Shaped Thought on Life Cycles », sur nytimes.com, (consulté le ).
  2. (en) Paul Fine, « Some Thoughts About Wisdom Keepers », sur aacap.org, (consulté le ).
  3. (en) « Joan Erikson, Life Cycles Theorist, Dies », sur news.harvard.edu, (consulté le ).
  4. Rémi Sussan, « L'intelligence collective à petite échelle », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  5. (en) Daniel Benveniste, « Erik H. Erikson: An Outsider At the Center of Things », sur International Psychoanalysis, (consulté le ).
  6. (de) Thomas Rentsch,Harm-Peer Zimmermann,Andreas Kruse, « Altern in unserer Zeit: Späte Lebensphasen zwischen Vitalität und Endlichkeit », sur books.google.fr (consulté le ).
  7. (en) Paranjpe, Anand C., « Review of Identity's architect: A biography of Erik H. Erikson. », sur psycnet.apa.org, (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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