Imergue

L'Imergue est une rivière de Vaucluse qui prend sa source dans les monts de Vaucluse, se dirige vers le sud, reçoit les eaux du Carlet et de la Roubine avant de se jeter dans le Calavon à proximité du village de Goult.

l'Imergue

L’Imergue, à Lumières, près de Goult,
Caractéristiques
Longueur 16,8 km [1]
Bassin 108 km2 [1]
Bassin collecteur le Rhône
Régime pluvial
Cours
Source entre les monts de Vaucluse et le petit Luberon
· Localisation Saint-Saturnin-lès-Apt
· Altitude 315 m
· Coordonnées 43° 56′ 20″ N, 5° 19′ 51″ E
Confluence le Calavon
· Localisation Goult
· Altitude 139 m
· Coordonnées 43° 51′ 25″ N, 5° 13′ 54″ E
Géographie
Pays traversés France
Département Vaucluse
Régions traversées Provence-Alpes-Côte d'Azur

Sources : SANDRE, Géoportail

Géographie

La longueur de ce cours d'eau est de 16,8 km[1]. Il coule entre les monts de Vaucluse et le petit Luberon.

Fruit du ruissellement de plusieurs vallons et combes, il prend sa source[précision nécessaire] sur les flancs sud des monts de Vaucluse, au niveau de la commune de Saint-Saturnin-lès-Apt, au nord du hameau des Picards. Celui-ci passe d'ailleurs à proximité du susdit hameau, puis de la Tuilière, pour rejoindre la commune voisine de Roussillon où plusieurs vallons et rigoles gonflent son cours.

L'Imergue est ensuite rejointe sur la commune de Goult, entre la Badelle et le Moulin des Roberts, par la Roubine venant de Gordes.

Enfin, après avoir traversé le hameau de Lumières et passé sous la route nationale 100, l'Imergue se jette dans le Calavon.

L'Imergue reçoit également les eaux du Ruisseau le Lioux.

Communes traversées

Dans le seul département de Vaucluse, L'Imergue traverse quatre communes[1] :

Affluents

L'Imergue a trois affluents référencés[1] :

  • Ruisseau de Lioux (X3470540)
  • Le Carlet (X3470600)
    • Le fossé des Gardiols (X3470620) (et ses affluents)
    • La Véroncle (X3470580) (et ses affluents)
  • La Roubine (X3470640)

Occupation du sol du bassin versant

50,53 % sont des territoires agricoles et 49,07 % sont des forêts et milieux semi-naturels, le reste, moins de 1 %, des territoires artificialisés.

Bibliographie

  • Georges Truc, L'eau en Vaucluse. Origine, fonctionnement, potentiel et qualité des réservoirs aquifères, Éd. Conseil Général de Vaucluse, Avignon, 1991

Notes et références

Notes
    Références
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