Hammurabi

Hammurabi ou Hammourabi, ou Hammurapi né vers 1810 av. J.-C. à Babylone et mort vers 1750 av. J.-C. dans la même ville, est le sixième roi de Babylone de la première dynastie babylonienne, régnant de 1792 av. J.-C. à sa mort. Il succède à son père, Sin-muballit, qui avait abdiqué en raison de sa santé défaillante. Grâce à de nombreuses campagnes militaires, il étend le contrôle de Babylone sur la Mésopotamie, achevant les conquêtes de Sumer et d'Akkad. Son règne est l'un des plus longs de l'antiquité du Proche-Orient et l'un des plus prestigieux par l'ampleur de son œuvre politique et législative. Il est particulièrement connu pour avoir écrit le Code de Hammurabi, l'un des textes de lois les plus anciens jamais retrouvés.

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Hammurabi

Hammurabi (debout) en train de recevoir son insigne royal des mains de Shamash (ou Marduk). Hammurabi porte ses mains vers sa bouche en signe de prière.
Relief de la partie supérieure de la stèle du Code de Hammurabi.
Fonctions
6e Roi de Babylone
v. 17921750 av. J.-C.
(42 ans)
Prédécesseur Sin-muballit
Successeur Samsu-iluna
Biographie
Dynastie Amorrite
Date de naissance v. 1810 av. J.-C.
Lieu de naissance Babylone
Date de décès 1750 av. J.-C. (v. 60 ans)
Lieu de décès Babylone
Père Sin-muballit
Enfants Samsu-iluna

Le nom de Hammurabi provient de l'amorrite et de l'akkadien ʻAmmurāpi, signifiant « l'aïeul est un guérisseur », lui-même provenant de ʻAmmu, « parent paternel » et Rāpi, « guérisseur ».

Règne et conquêtes

Contexte

L'expansion du royaume babylonien sous le règne de Hammurabi et de ses successeurs.

Hammurabi est un roi amorrite de la première dynastie de la cité-État de Babylone. Il hérite son trône de son père, Sin-muballit, en 1792 av. J.-C.[1]. Babylone est l'une des nombreuses cités-États principalement gouvernées par les Amorrites qui parsèment les plaines centrales et méridionales de la Mésopotamie et qui s'affrontent militairement afin de contrôler les terres agricoles fertiles de la région[2].

Les rois qui précèdent Hammurabi ont fondé en 1894 av. J.-C. une cité-État relativement mineure qui contrôle un petit territoire en dehors de la ville elle-même[3]. La petite Babylone est éclipsée pendant une centaine d'années après sa fondation par des royaumes plus anciens, plus grands et plus puissants, tels que l'Élam, l'Assyrie, Isin, Eshnunna et Larsa[3]. Néanmoins le père de Hammurabi, Sin-muballit, commence à consolider son contrôle sur une petite zone du centre-sud de la Mésopotamie et conquiert les cités-États mineures de Borsippa, Kish et Sippar[3].

Premières années

Ce buste royal dit « Tête de Hammurabi », permet maintenant d'antidater Hammurabi de quelques centaines d'années[4]. Louvre.

Hammurabi devient le dirigeant d'un royaume mineur au milieu d'une situation géopolitique complexe[5]. Le puissant royaume d'Eshnunna contrôle la partie supérieure du Tigre, tandis que Larsa en contrôle le delta[5]. À l'est de la Mésopotamie se trouve le puissant royaume d'Élam qui, régulièrement, envahit et taxe les petits États du sud[5]. Dans le nord de la Mésopotamie, le roi Shamshi-Adad Ier originaire d'Ekallatum étend son territoire au Levant et en Mésopotamie centrale, bien que sa mort prématurée mène à la fragmentation de son empire[5],[6].

Les premières décennies du règne de Hammurabi sont plutôt pacifiques[7]. Il utilise son pouvoir pour entreprendre une série de travaux publics, comme le rehaussement des murs de la ville à des fins défensives et l'agrandissement des temples[7]. Vers 1801 av. J.-C., le royaume d'Élam, qui contrôle d'importantes routes commerciales à travers les monts Zagros, décide d'envahir la plaine mésopotamienne[8]. Grâce au soutien d'États des plaines alliés, dont Babylone, l'Élam attaque et détruit le royaume d'Eshnunna, réduisant à néant de nombreuses villes et imposant sa domination sur une importante partie de la plaine pour la première fois[9]. Afin de consolider sa position, l'Élam essaye d'entrer en guerre contre le royaume babylonien de Hammurabi et le royaume de Larsa[10]. Hammurabi et Rîm-Sîn, le roi de Larsa, s'allient lorsqu'ils se rendent compte que cette association peut leur permettre d'écraser les Élamites, même si le royaume de Larsa ne contribue pas grandement à l'effort militaire[10]. Apparemment irrité par l'incapacité de Rîm-Sîn à venir à son aide, Hammurabi lance une guerre éclair contre lui avec l'aide de Zimrî-Lîm, le roi de Mari, gagnant ainsi le contrôle de l'ensemble de la plaine inférieure de la Mésopotamie vers 1763 av. J.-C.[11],[12].

Poursuite de l'expansion

Comme Hammurabi se fait aider lors de ses guerres au sud par ses alliés du nord, tels que Yamkhad et Mari, l'absence de soldats au nord sème la discorde[12]. Continuant son expansion, Hammurabi tourne son attention vers le nord, en commençant par réprimer les agitations, puis en écrasant le royaume d'Eshnunna[13]. Ensuite les armées babyloniennes assiègent le reste des États du nord, dont d'anciens alliés comme Mari, bien qu'il soit possible que la conquête de Mari fut une reddition sans aucun conflit effectif[11],[14],[15],[16].

Hammurabi entre ensuite dans une guerre prolongée contre Ishme-Dagan Ier, souverain du Royaume de Haute Mésopotamie, afin de contrôler l'ensemble de la Mésopotamie, les deux opposants contractant des alliances avec des États mineurs afin de prendre le dessus[16]. Finalement Hammurabi l'emporte, évinçant Ishme-Dagan Ier juste avant la mort de ce dernier[16]. Mut-Ashkur, le nouveau roi d'Assur est forcé de payer un impôt à Hammurabi, même si Babylone ne dirige pas la cité directement[16].

Fin du règne

En quelques années, Hammurabi parvient à unir toute la Mésopotamie sous son pouvoir[16]. En revanche en Syrie les royaumes de Yamkhad et Qatna maintiennent leur indépendance[16]. Cependant, une stèle de Hammurabi a été trouvée vers Diyarbakır en Turquie, où il revendique le titre de « Roi des Amorrites »[17].

Un grand nombre de tablettes juridiques, datées des règnes de Hammurabi et de ses successeurs, sont découvertes, ainsi que cinquante-cinq de ses propres lettres[18]. Ces lettres donnent un aperçu de la difficulté à gouverner un empire, à faire face aux inondations et aux modifications d'un calendrier imparfait, et à prendre soin des énormes troupeaux de bétail de Babylone[19]. Hammurabi meurt vers 1750 av. J.-C. et l'empire échoit à son fils, Samsu-iluna, sous le contrôle duquel la puissance babylonienne commence à décliner[20].

Code de lois

Une retranscription du Code de Hammurabi.

Description

Rédigé vers 1750 av. J.-C., le Code de Hammurabi est transcrit sur une stèle placée au milieu d'une place publique de la ville de Babylone, pour que tout le monde puisse la voir, même si, probablement, seule une très petite partie de la population sait lire[21]. Le Code contient deux cent quatre-vingt-deux articles, écrits par des scribes sur douze tablettes[22]. À la différence des lois plus anciennes, le texte est en akkadien, la langue de Babylone, et peut ainsi être compris par toute personne alphabétisée[21].

Dans ce code, chaque délit reçoit sa propre sanction[23]. Ces sanctions ont tendance à être très sévères par rapport aux normes modernes, avec de nombreux délits entraînant des châtiments tels que la mort, la défiguration ou l'application de la Loi du talion (« œil pour œil, dent pour dent »)[23]. Le code est également l'une des plus anciennes mentions de la présomption d'innocence et suggère aussi que l'accusateur et l'accusé ont la possibilité d'apporter des preuves[24]. Cependant, il n'y a aucune prise en compte des circonstances atténuantes pour graduer la peine[24].

Après le déclin du royaume babylonien, la stèle est volée par les Élamites et transportée dans leur capitale, Suse, située de nos jours dans le sud-ouest de l'Iran[21]. Elle est découverte entre décembre 1901 et janvier 1902 par des archéologues français ; elle se trouve actuellement dans le département des antiquités orientales du musée du Louvre à Paris[25],[26].

Rapprochements avec d'autres codes juridiques

Une gravure au sommet de la stèle représente Hammurabi en train de recevoir les lois des mains du dieu Shamash ou peut-être Marduk, et l'épilogue du Code déclare que Hammurabi a été choisi par les dieux de son peuple pour lui apporter la loi[27],[28]. Des parallèles sont possibles avec le don de la loi à Moïse par Dieu dans la tradition juive ; les similitudes entre les deux codes juridiques leur suggèrent un ancêtre commun[29]. Même si des fragments de codes juridiques précédents ont été trouvés[30],[31],[32],[33], David P. Wright soutient que le Code de l'Alliance du livre biblique de l'Exode est « directement et entièrement basé sur le Code de Hammurabi »[34]. George Aaron Barton, un ancien professeur de langues sémitiques à l'université de Pennsylvanie, pense, quant à lui, que même s'il y a des similitudes entre les deux textes, une étude de l'entièreté des deux lois peut « convaincre l'étudiant que les lois de l'Ancien Testament ne dépendent en aucun cas essentiellement des lois babyloniennes »[31]. Il affirme que ces ressemblances découlent d'« une similitude d'antécédents et de perspectives intellectuelles générales » entre les deux cultures, mais que « les différences frappantes montrent qu'il n'y a pas d'emprunt direct[31] ».

Des codes similaires existent dans plusieurs civilisations proches, comme les exemples proto-mésopotamiens du Code d'Ur-Nammu, des Lois d'Eshnunna, du Code de Lipit-Ishtar, ou encore les lois hittites antérieures[29].

Exemples de lois

Les textes sont tirés de la traduction de Marie-Joseph Seux, lisible en ligne[35],[28].
  • § 8 : « Quiconque vole à la cour du bétail ou des moutons, un âne, un porc, une chèvre, qui appartient à un dieu ou au tribunal, doit en conséquence payer trente fois, ou dix fois s'ils appartiennent à un affranchi du roi ; si le voleur ne peut pas payer il est mis à mort. »
  • § 21 : « Quiconque perce le mur d'une maison, sera mis à mort devant ce trou et enterré. »
  • § 55 : « Quiconque ouvre ses vannes pour arroser ses cultures mais, inattentif, laisse l'eau inonder le champ de son voisin, paye le voisin en grain pour sa perte. »
  • § 59 : « Tout homme qui coupe un arbre dans un jardin, sans que le propriétaire le sache, doit payer une demi mine d'argent. »
  • § 168 : « Si un homme désire chasser son fils de sa maison, [...] alors le juge doit examiner ses raisons. Si le fils n'est coupable d'aucune faute grave, pour laquelle il pourrait être valablement chassé, le père ne devra pas le chasser. »
  • § 169 : « S'il est coupable d'une faute grave, qui le priverait valablement de la relation filiale, le père doit lui pardonner la première fois ; mais s'il se rend coupable d'une faute grave une seconde fois le père peut le priver de toute filiation. »
  • § 195 : « Si un fils frappe son père, ses mains seront tranchées à la hache. »
  • § 196 à 201 : « Si un homme arrache l'œil d'un autre homme, son œil sera arraché. Si un homme brise un os d'un autre homme, son os sera brisé. S'il arrache l'œil d'un affranchi, ou brise un os a un affranchi, il lui paiera une livre d'or. S'il arrache l'œil de l'esclave d'un autre homme, ou brise un os de l'esclave d'un autre homme, il devra payer la moitié de sa valeur. Si un homme brise une dent de son égal, une dent doit lui être brisée aussi. S'il brise une dent d'un affranchi, il lui paiera le tiers d'une livre d'or. »
  • § 218 et 219 : « Si un médecin pratique une grande incision avec un bistouri et tue son malade, ou s'il ouvre une taie avec un bistouri, et perd l'œil, on lui coupera les mains. Si un médecin pratique une grande incision chez l'esclave d'un affranchi, et le tue, il doit remplacer cet esclave par un autre. »
  • § 229 et 232 : « Si un entrepreneur construit une maison pour quelqu'un mais ne l'achève pas convenablement, et si cette maison s'écroule et tue son propriétaire, alors l'entrepreneur sera mis à mort. Si elle tue le fils du propriétaire le fils de l'entrepreneur sera mis à mort. Si elle tue l'esclave du propriétaire, alors il devra payer esclave pour esclave au propriétaire de la maison. Si elle détruit des biens, il devra dédommager pour tout ce qui a été détruit, et dans la mesure où il n'a pas construit convenablement la maison qu'il a bâtie et qu'elle s'est écroulée, il doit la reconstruire à ses propres frais. »

Héritages et influences

Le bas-relief de Hammurabi au congrès des États-Unis.

Succession

Sous le pouvoir du successeur de Hammurabi, Samsu-iluna, l'empire très récent de Babylone commence à reculer[36]. Dans le nord de la Mésopotamie, les Amorrites et les Babyloniens sont chassés de l'Assyrie par Puzur-Sin, un dirigeant d'origine akkadienne vers 1740 av. J.-C.[37]. À peu près à la même époque, des Akkadiens se rebellent contre le pouvoir des Amorrites de Babylone dans l'extrême sud de la Mésopotamie, créant la dynastie du Pays de la Mer, à l'emplacement de l'ancienne Sumer[38].

Les successeurs de Hammurabi essuient encore d'autres défaites et pertes de territoires du fait de rois assyriens tels que Adasi et Bel-ibni, de la dynastie du Pays de la Mer dans le sud, de l'Élam à l'est et des Kassites au nord-est[36]. Ainsi le royaume de Babylone est-il rapidement réduit au petit État qu'il était peu de temps après sa fondation[36]. Le point d'orgue du déclin de la dynastie amorrite de Hammurabi survient en 1595 av. J.-C., lorsque Babylone est assiégée et conquise par le puissant Empire hittite, mettant ainsi fin à toute présence politique amorrite en Mésopotamie[39].

Cependant, les Hittites, peuple parlant une langue indo-européenne, ne restent pas longtemps, Babylone échéant aux Kassites, peuple parlant une langue isolée originaire de la région des montagnes Zagros[40]. Cette dynastie kassite gouverne Babylone pendant quatre cents ans, adoptant quelques traits de la culture babylonienne, notamment le code des lois de Hammurabi[41].

Représentations

En raison de sa réputation de législateur, Hammurabi est représenté dans plusieurs édifices gouvernementaux des États-Unis. Il est l'un des vingt-trois législateurs représentés en bas-relief de marbre dans la chambre des représentants au Capitole des États-Unis[42]. Une frise d'Adolph Weinman, représentant les grands législateurs de l'Histoire, se trouve sur le mur sud du bâtiment de la Cour suprême des États-Unis ; Hammurabi y figure[43].

Une théorie, datant de la première partie du xxe siècle, soutient que Hammurabi est Amraphel, le roi de Shinar, mentionné dans la Genèse 14 : 1[44],[45].

Hommages

Références

  1. Van De Mieroop 2005, p. 1
  2. Van De Mieroop 2005, p. 1 et 2
  3. Van De Mieroop 2005, p. 3
  4. Claire Iselin, « Œuvre - Tête royale dite "tête de Hammurabi" », sur Louvre.fr (consulté le )
  5. Van De Mieroop 2005, p. 3 et 4
  6. Van De Mieroop 2005, p. 16
  7. Arnold 2005, p. 43
  8. Van De Mieroop 2005, p. 15 et 16
  9. Van De Mieroop 2005, p. 17
  10. Van De Mieroop 2005, p. 18
  11. Dictionnaire de la civilisation mésopotamienne
  12. Van De Mieroop 2005, p. 31
  13. Van De Mieroop 2005, p. 40 et 41
  14. Van De Mieroop 2005, p. 54 et 55
  15. Van De Mieroop 2005, p. 64 et 65
  16. Arnold 2005, p. 45
  17. (en) Albert Tobias Clay, The Empire of the Amorites, (ISBN 978-1-330-92202-6), p. 97
  18. Breasted 2003, p. 129
  19. Breasted 2003, p. 129 à 130
  20. Arnold 2005, p. 42
  21. Breasted 2003, p. 141
  22. (en) Martha Roth, Law Collections from Mesopotamia and Asia Minor, Scholars Press, coll. « SBL Writings from the Ancient World », , p. 74 et 75
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  24. (en) Ann Wolbert Burgess, Albert R. Roberts, Cheryl Regehr et Jones et Bartlett Learning, Victimology : Theories and Applications, , p. 103
  25. Béatrice André-Salvini, Le Code de Hammurabi, Paris, coll. « Solo », , p. 8 et 9
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Bibliographie

 : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Ouvrages en français

  • Dominique Charpin, Hammu-Rabi de Babylone, Paris, Presses universitaires de France, , 311 p. (ISBN 978-2-13-053963-6).
  • Francis Joannès (dir.), Luc Bachelot et Cécile Michel, Dictionnaire de la civilisation mésopotamienne, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 974 p. (ISBN 978-2-221-09207-1).
  • Marie-Joseph Seux, Lois de l'Ancien Orient, Le Cerf, coll. « Cahiers Évangile », , 84 p. (ASIN B00008DAD9), chap. 56.
  • André FINET Le Code de Hammurapi, éditions du Cerf, 1983 (ISBN 2-204-02024-9)

Ouvrages en anglais

  • (en) Bill T. Arnold, Who Were the Babylonians?, Leiden, Brill, , 148 p. (ISBN 90-04-13071-3, OCLC 225281611, lire en ligne).
  • (en) James Henry Breasted, Ancient Time or a History of the Early World, Part 1, Kessinger, (ISBN 0-7661-4946-3, OCLC 69651827).
  • (en) Lukas DeBlois, An Introduction to the Ancient World, London/New York, Routledge, , 321 p. (ISBN 0-415-12773-4, OCLC 231710353).
  • (en) Marc Van De Mieroop, King Hammurabi of Babylon : A Biography, Blackwell Publishing, , 184 p. (ISBN 978-1-4051-2660-1, OCLC 255676990).
  • (en) Douglas Frayne, The Royal inscriptions of Mesopotamia. Early periods, volume 4 : Old Babylonian Period (2003-1595 BC), Toronto, University of Toronto Press, , p. 332-371.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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