L'Hôpital-Saint-Blaise

L'Hôpital-Saint-Blaise (Ospitalepea en basque) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Blaise.

L'Hôpital-Saint-Blaise

L’église de L'Hôpital-Saint-Blaise du XIIe siècle.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Dominique Uthurralt
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64264
Démographie
Gentilé Ospitaletar
Population
municipale
65 hab. (2018 )
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 15′ 09″ nord, 0° 46′ 03″ ouest
Altitude Min. 147 m
Max. 254 m
Superficie 2,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
L'Hôpital-Saint-Blaise
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
L'Hôpital-Saint-Blaise
Géolocalisation sur la carte : France
L'Hôpital-Saint-Blaise
Géolocalisation sur la carte : France
L'Hôpital-Saint-Blaise

    Le gentilé est Ospitaletar[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de l'Hôpital-Saint-Blaise se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 51 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 19 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 12 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Gurs (4,2 km), Préchacq-Josbaig (4,8 km), Préchacq-Navarrenx (5,0 km), Dognen (5,1 km), Geüs-d'Oloron (5,1 km), Saint-Goin (5,5 km), Lay-Lamidou (5,9 km), Angous (6,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, L'Hôpital-Saint-Blaise fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9],[10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

    Communes limitrophes de L'Hôpital-Saint-Blaise[12]
    Moncayolle-Larrory-Mendibieu Gurs
    Chéraute
    Barcus Préchacq-Josbaig

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de l'L'Hôpital-Saint-Blaise.

    La commune est drainée par le Lausset, un bras du Lausset, le Lacherreca, Miaerreca, le ruisseau Aiguette, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[13],[Carte 1].

    Le Lausset, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source dans la commune de Sauguis-Saint-Étienne et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Narp, après avoir traversé 14 communes[14].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[16].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[17]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[15]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 280 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[18] complétée par des études régionales[19] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oloron-Ste-Mari », sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie, mise en service en 1964[20]et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[21],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 341,2 mm pour la période 1981-2010[22]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 32 km[23], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[24], à 13,4 °C pour 1981-2010[25], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[26].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[28], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[29],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 7]est recensée sur la commune[30],[Carte 3] : le « Lausset amont et zones tourbeuses associées » (190,06 ha), couvrant 11 communes du département[31].

    Urbanisme

    Typologie

    L'Hôpital-Saint-Blaise est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[32],[33],[34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (65,1 %), prairies (25,3 %), forêts (9,6 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    Sept quartiers composent la commune de l'Hôpital-Saint-Blaise[38] :

    • Davansens
    • Kharrika
    • Kokütxaltea (Cocutchia sur les cartes IGN)
    • Kaskoa
    • Miarreka
    • Mauhorat (Mauhourat sur les cartes IGN)
    • Miranda (Mirande sur les cartes IGN).

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Hôpital Saint-Blaise apparaît[39] sous les formes la Commanderie de Misericordi (1334, notaires d'Oloron[40]), Saint-Blas (1670, règlement des États de Navarre[41]), l'Hôpital de Saint-Blaise de Misericorde (XVIIIe siècle, intendance de Pau[42]).

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Ospitalepea[1].

    Histoire

    Le retable avec tableau de saint Blaise.

    Le village de l'Hôpital-Saint-Blaise doit son existence à un établissement d'accueil pour les voyageurs (un hôpital) aujourd'hui disparu. La petite route qui le traverse aujourd'hui était au XIIe siècle une voie de passage entre le sud de la France et la péninsule ibérique pour des chevaliers, des marchands, des religieux, des migrants. C'était l'époque de la Reconquista : les rois chrétiens de la péninsule ibérique faisaient appel aux hommes du nord pour les aider à conquérir, à peupler, à gouverner les terres autrefois musulmanes. Tout un réseau d'hôpitaux est alors créé au nord des Pyrénées pour faciliter le voyage de ces migrants. Le roi d'Aragon, le vicomte de Béarn y prennent une part essentielle. Ils confient la gestion de ce réseau à l'Hôpital Sainte-Christine du Somport qui devient un puissant ordre religieux avec des possessions tant au Béarn, en Navarre qu'en Aragon. L'Hôpital de Miséricorde (c'est le nom le plus ancien de l'Hôpital saint Blaise) est créé au milieu du XIIe siècle par les moines de Sainte-Christine.

    Les voyageurs de ce temps sont en même temps des pèlerins car ils visitent les sanctuaires qui se trouvent sur leur route. C'est la raison pour laquelle, l'Hôpital-Saint-Blaise comme la plupart des autres hôpitaux, est doté d'une église. C'est le seul vestige de cette époque conservé aujourd'hui.

    L'Hôpital de Miséricorde est une communauté constituée de quelques religieux et de laïcs appelés "donats" car ils se sont "donnés" à l'hôpital et travaillent à son entretien. C'est également une commanderie avec un patrimoine qui permet à la communauté de vivre et d'assurer sa vocation d'accueil : bâtiments, terres, droits de pâturage, dîmes.

    À partir du XIIIe siècle les itinéraires transpyrénéens se déplacent, et rares sont désormais les voyageurs qui s'arrêtent dans ce modeste hôpital. Parmi eux, on compte probablement quelques pèlerins de Compostelle, mais c'est plutôt à partir du XVIe siècle. Un seul a laissé une trace de son passage. Au cours des siècles suivants l'église ne bénéficie que de réparations d'urgence pour l'exercice du culte et elle n'est que peu transformée. La commanderie subsiste jusqu'à la Révolution, et le village qui se développe autour de l'église ne grandit guère.

    Le culte de saint Blaise, évêque de Sébaste en Arménie, martyrisé le , est attesté dans cette église depuis le XVIe siècle. Chaque année au début du mois de février, un pèlerinage réunit la population locale. Autrefois les éleveurs invoquaient sa protection pour guérir les maladies du bétail. Il était réputé guérir aussi les maux de gorge. Saint Blaise est un des saints protecteurs les plus vénérés en Europe. Beaucoup d'églises lui sont consacrées. De nombreux corps de métiers en fait leur saint patron : les bergers, les cardeurs de laine, les tailleurs de pierre, les vignerons, etc.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 En cours Dominique Uthurralt    

    Intercommunalité

    L'Hôpital-Saint-Blaise appartient à sept structures intercommunales[43] :

    • la communauté de communes de Soule-Xiberoa ;
    • le syndicat à vocation scolaire Gaztelaïa ;
    • le syndicat AEP de Navarrenx ;
    • le syndicat d’assainissement du pays de Soule ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
    • le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].

    En 2018, la commune comptait 65 habitants[Note 10], en diminution de 15,58 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    139159156116201200187182172
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    164157159156172153144138125
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    12113013413011996927873
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    778274647674768174
    2018 - - - - - - - -
    65--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (maïs et élevage). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Elle comporte deux restaurants.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Le moulin du XVIIe siècle a été restauré en 2014.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Blaise, édifice roman du milieu du XIIe siècle a été inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1888. Cela lui a permis d'échapper de peu à la ruine complète. Elle a bénéficié de deux campagnes de restauration, la première de 1903 à 1906, la seconde de 1985 à 2002. Au cours du XXe siècle sa notoriété a grandi peu à peu chez les historiens de l'art, puis dans le grand public.

    Un isolement de plusieurs siècles explique l'état de conservation remarquable du monument. Et le site dans lequel on le voit aujourd'hui reste très évocateur. Le voyageur découvre un petit village serré autour de son église romane, dans un vallon boisé. Cette église frappe par l'harmonie des proportions, l'aspect monumental que lui donnent ses deux clochers, l'épaisseur des murs en pierre brune, la simplicité du décor sculpté.

    Dès le début du XXe siècle les historiens de l'art ont remarqué ce qui fait sa grande originalité : les orientalismes du décor. On parle de style hispano-mauresque. Les claustra - grilles de pierre qui ferment les fenêtres-, la coupole ornée de fines nervures, les arcs polylobés rappellent les monuments construits en Espagne au Moyen Âge, tant dans les royaumes chrétiens que dans la partie musulmane du pays. Les bâtisseurs ont certainement voulu évoquer l'orient lointain, ce pays à l'est de la Méditerranée que les chevaliers d'occident disputaient alors aux musulmans : la Terre sainte et Jérusalem qui était perçue alors comme le centre du monde.

    En 1998, l'Hôpital-Saint-Blaise est inscrit au patrimoine mondial de l'Humanité comme témoignage des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Ce classement est une consécration pour la commune, une reconnaissance de ses efforts pour restaurer, mettre en valeur le monument et le site du village. Mais ce n'est que depuis quelques années que les pèlerins de Compostelle passent par le village.

    Équipements

    • Gîte sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle : la commune dispose d'un gîte pour les pèlerins, d'une capacité de 8 personnes.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[27].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de l'Hôpital-Saint-Blaise » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de l'Hôpital-Saint-Blaise », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de l'Hôpital-Saint-Blaise », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de l'Hôpital-Saint-Blaise », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre L'Hôpital-Saint-Blaise et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre L'Hôpital-Saint-Blaise et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre L'Hôpital-Saint-Blaise et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de l'L'Hôpital-Saint-Blaise », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
    12. Carte IGN sous Géoportail
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    14. Sandre, « le Lausset ».
    15. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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    41. Collection manuscrite de 11 volumes de délibérations (1606 à 1789) - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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    Voir aussi

    Bibliographie

    L'Hôpital-Saint-Blaise : histoire, art et croyances sur les routes pyrénéennes du XIe au XXIe siècle de Robert Elissondo ; préface de Denise Péricard-Méa. - Biarritz : Atlantica 2009 (ISBN 978-2-7588-0239-6). Voir Site des éditions Atlantica

    Article connexe

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