Guêpe

Le mot guêpe désigne plusieurs sortes d'insectes hyménoptères ayant généralement un abdomen jaune rayé de noir et dont la femelle porte un dard venimeux.

Pour les articles homonymes, voir Guêpe (homonymie).

Guêpe
Nom vulgaire ou nom vernaculaire ambigu :
l'appellation « Guêpe » s'applique en français à plusieurs taxons distincts.

Taxons concernés

Dans le sous-ordre Apocrita,
principalement parmi les super-familles : Autres espèces : voir texte

Autres articles sur les guêpes

  • Quelques guêpes

Ce nom ne correspond pas à un niveau précis de classification scientifique des espèces. Il s'agit d'un nom vernaculaire dont le sens est ambigu en biologie car il est utilisé seulement pour désigner une partie des différentes espèces d'insectes classées dans diverses familles d'Hyménoptères apocrites. Ce sous-ordre regroupe en effet à la fois les guêpes, abeilles, bourdons, frelons, fourmis, etc.

Dans le langage commun, une guêpe désigne le plus souvent un insecte du genre Vespula dont la Guêpe commune (Vespula vulgaris) et la Guêpe germanique (Vespula germanica) qui sont les espèces les plus fréquentes en Europe.

Dans la culture populaire, la guêpe symbolise à l'origine une créature importune, dont on redoute la piqûre, mais on lui envie aussi sa fine « taille de guêpe ».

Caractéristiques générales des guêpes

Les caractéristiques générales des guêpes sont celles des Apocrita, avec des nuances pour chaque espèce : voir les articles détaillés pour plus d'informations sur leur description ou leur mode de vie.

D'une longueur variant habituellement de 10 à 19 millimètres, les guêpes ont une morphologie de base proche de celle des abeilles et des fourmis sexuées : une tête notamment dotée de mandibules et d'une paire d'antennes, d'une paire d'yeux composés et de trois ocelles infrarouges, un thorax sur lequel sont fixées six pattes et quatre ailes membraneuses, enfin l'abdomen arborant des couleurs vives avec à son extrémité un aiguillon relié à une glande à venin. Cependant, certains insectes nommés guêpes (Guêpes à galles, Guêpe parasitoïdes) ont un ovipositeur allongé et fin à la place de ce dard et ne possèdent guère de venin.

En 2007, la plus petite guêpe connue Dicopomorpha echmepterygis de la famille des Mymaridae, mesure 0,139 mm. C'est probablement le plus petit insecte également[1].

Alimentation

Chez les guêpes sociales, l'adulte est essentiellement nourri par sa larve, qui une fois sustentée, régurgite un liquide sucré. Chez les espèces sociales, lorsqu'il n'y a plus de larves dans la colonie et chez les espèces solitaires, il se nourrit de tout type de sucres disponibles (fruits en décomposition, miellat, jus de plantes sucré...). Leur langue étant trop courte, les guêpes sociales ne se nourrissent pas de nectar et ne sont donc pas pollinisatrices. Afin de nourrir les larves, la quasi-totalité des espèces de guêpes sont prédatrices d'autres insectes, voire nécrophages. Les espèces sociales ne gardent le plus souvent que les muscles, situés dans le thorax de l'insecte. Après les avoir mastiqués, elles les servent à leurs larves. Les espèces solitaires paralysent leur proie avant de la stocker dans un nid où elles pondent un œuf. Une fois née, la larve se nourrit seule de sa/ses proie(s) toujours vivante(s). Les espèces de la sous-famille des Masarinae sont les seules guêpes à ne pas nourrir leurs larves de matières animales mais avec du pain d'abeille, à la façon des Abeilles solitaires[2].

Différencier une guêpe d’une abeille

Guêpe (ici, guêpe germanique, Vespula germanica)
Abeille (ici abeille européenne, Apis mellifera)

La coloration jaune et noire n'est pas un caractère fiable pour distinguer les guêpes des abeilles. On dit couramment que la guêpe est jaune vif rayé de noir alors que l'abeille est plus brune (sauf l'abeille charpentière qui, elle, est toute noire), mais cela est très réducteur puisque certaines abeilles solitaires présentent une livrée jaune et noire (notamment celles des genres Nomada et celles de la tribu des Anthidiini). Par ailleurs, cette même robe bicolore ne se retrouve que chez les guêpes sociales (tribus des Vespini et Polistini) ainsi que chez les guêpes solitaires appartenant aux Eumeninae, mais chez les guêpes au sens large, il existe de très nombreuses espèces ne comportant aucune tache jaune.

Critères distinctifs
  • L'abdomen et le corps de la guêpe sont très distincts, fins et peu poilus. Les abeilles, à l'inverse, sont plus compactes et poilues.
  • Chez les guêpes sociales, l'ouvrière est munie d'un dard effilé et reste en vie quand elle pique un mammifère ; alors que l'ouvrière abeille domestique est munie d'un dard en forme de harpon et meurt, une partie de son abdomen arraché, lorsqu'elle pique un mammifère. Les femelles des guêpes et abeilles solitaires n'ont pas de dard ou n'en font pas un usage défensif.
  • Les guêpes sont quasiment toutes prédatrices ou nécrophages, alors que les abeilles sont toutes floricoles.
  • Les guêpes sociales ne participent pas à la pollinisation et ne possèdent pas d'organes de récolte de pollen, tels que les corbeilles et brosses à pollen aux pattes postérieures chez les femelles de l'Abeille domestique et des Bourdons ou sous l'abdomen des Megachilidae.

Classification

Les guêpes fouisseuses

Guêpe bâtissant des loges en terre pour stocker les proies qui serviront de réserves de nourriture à ses propres larves.

Il en existe environ 9 000 espèces à travers le monde. Ce sont des guêpes solitaires. Certaines de ces guêpes ont le corps allongé et très élancé, alors que d’autres sont plus trapues. Elles mesurent généralement entre 1 et cm. Elles sont parfois noires et jaunes (ou orangées), toutes noires ou bleu métallique (comme le Chalybion californicum). Elles ont parfois une taille très allongée. Leurs antennes sont longues et leurs pièces buccales de type broyeuses. Leurs pattes arrière sont souvent longues.

Pour son nid, la femelle peut :

  • utiliser diverses cavités (tiges creuses, anfractuosités) ;
  • bâtir de toutes pièces des loges (en terre) ;
  • creuser plusieurs cellules dans le sol.

Le nid peut être rempli d'arthropodes (insectes matures, larves, araignées) souvent paralysés à l'aide de son venin et sur lesquels elle pond.

Les femelles chassent des insectes ou des araignées, dans le but de nourrir leur progéniture. Les adultes se nourrissent surtout de nectar. Certaines sont généralistes et se contentent de divers arthropodes qu’elles peuvent trouver (araignées, chenilles, mouches, sauterelles), alors que d’autres sont plus spécifiques dans leurs choix de proies. Ainsi, le grand sphex doré (Sphex ichneumoneus) ne chasse que de grosses sauterelles vertes. Lorsqu’une proie est capturée, celle-ci est paralysée à l’aide de l’aiguillon de la femelle guêpe. La guêpe place ensuite sa victime dans une cellule préalablement construite (dans la terre, le bois mort ou sur une paroi quelconque). Elle pond ensuite un œuf dessus et referme ensuite la cellule. Les autres cellules seront remplies de la même façon et un œuf sera pondu dans chaque cellule. À leur éclosion, les larves pourront se nourrir de la proie (insecte ou araignée) paralysée que leur mère leur a laissée. Ces proies, toujours bien vivantes, constituent un repas frais et nutritif pour ces futures guêpes.

Les pompiles

Ce sont des guêpes solitaires. La femelle nourrit ses larves avec des araignées (une araignée par œuf). Soit elle utilise le nid de l'araignée, soit elle utilise une cavité préexistante, soit elle creuse un terrier avant ou après avoir capturé une proie.

Les guêpes maçonnes

Les guêpes maçonnes ou potières sont les guêpes faisant partie de la sous-famille des Eumeninae, dans la famille des Vespidae.

Ce sont des guêpes formant des petits nids d'argile ou de boue ou de particules de sable et argiles agglomérées avec de la salive[3]. Ces nids sont si spécifiques à chaque espèce qu'il est possible de produire une clé d'identification des nids de guêpes sociales (certaines espèces sont solitaires, d'autres sont sociales)[3].

  • Les Eumènes construisent leur nid en assemblant des gouttelettes de boue.
    Dans cette famille, on appelle Guêpes potières celles (Eumenes, Delta, etc.) qui les fabriquent en forme de petit pot de terre remplis de chenilles paralysées avant que l'entrée en soit fermée d'un opercule de terre. La femelle fixe un seul œuf par cellule de terre, suspendu au bout d'un fil au-dessus des "provisions" de nourriture. Après l'éclosion, la larve reste suspendue et mange peu à peu son stock de chenilles.
  • Les Odynères (Odynerus et genres voisins) font des nids de terre qui sont des galeries où des cellules sont aménagées par des cloisons les séparant. La plupart des espèces construisent ces nids dans le sol, ou des pans de terre (talus argilo-sableux en général). Les galeries souterraines sont parfois équipées d'une sorte de cheminée provisoire qui protège le nid (des prédateurs, de la pluie, de la déshydratation le temps de sa construction et de la ponte, avant que la femelle ne la détruise et en utilise la terre pour construire l'opercule qui fermera le nid. Les proies stockées dans ces nids sont le plus souvent des larves de charançons ou de chrysomèles, paralysées par une petite dose de venin). Certaines espèces d'Odynères font leurs nids dans des tiges creuses de végétaux, des nids récupérés d'Hyménoptères ou des coquilles d'escargots[4]. Une femelle produit généralement une dizaine de nids, avant de mourir[5]. Le Sceliphron, qui peut construire ses nids dans les maisons, est une guêpe qui nourrit ses larves avec des araignées paralysées[5].

Les guêpes sociales

Les guêpes sociales sont les guêpes faisant partie de la famille des Vespidae, comprenant uniquement les sous-familles Vespinae et Polistinae; les autres sous-familles, Eumeninae et Masarinae, ayant un comportement solitaire[6].

Elles forment des colonies annuelles fondées au printemps par une femelle fécondée, la reine. Le nid est constitué d'alvéoles de « carton » construites avec une espèce de pâte à papier que les guêpes produisent en mastiquant du bois mélangé à leur salive.

Terminologie

Vocabulaire et étymologie

Le mot est attesté dès le Moyen Âge, sous la forme « guespe » dans le Dictionnaire du Moyen français (1330-1500). Les « mouches guespes » comprennent alors les « guespes de ruche », c'est-à-dire les abeilles[7].

Dans le Dictionnaire de l'Académie française, ce terme est mentionné dès la quatrième édition (1762) qui définit la guêpe en la comparant à la mouche, plus petite, et à l'abeille, « presque semblable ». Elle est aussi caractérisée par son aiguillon et son « mauvais miel ». À partir de la sixième édition (1832-5), ce dictionnaire précise que certaines espèces « vivent en société ». La huitième édition (1932-5) introduit la notion de classification en les décrivant comme un « Genre d'Insectes de l'ordre des Hyménoptères » dont font partie la « Guêpe vulgaire » ou le Frelon, et l'ouvrage précise que seules les femelles sont pourvues d'un aiguillon, mais leur production de miel n'est plus mentionnée[8].

Le Trésor de la langue française informatisé (TLFi) en donne une définition plus large, précisant seulement qu'il s'agit d'un hyménoptère, que l'abdomen est « annelé jaune et noir » et que la femelle possède « un aiguillon venimeux »[7].

Vocabulaire : On dit un essaim de guêpes, un nid de guêpes, une piqûre de guêpe. Le « guêpier » désigne, quant à lui, aussi bien le nid que l'essaim[7],[9].

« Guêpe » se dit vespa en latin[7], à la racine des taxons Vespoidea, Vespidae, Vespinae, Vespa ou Vespula.

En Guyane, les guêpes comme les abeilles sont souvent appelées des « mouches »[10].

Noms français et noms scientifiques correspondants

Liste alphabétique des noms vulgaires ou des noms vernaculaires attestés[11] en français.
Note : certaines espèces ont plusieurs noms et, les classifications évoluant encore, certains noms scientifiques ont peut-être un autre synonyme valide.
En gras, les espèces les plus connues des francophones.

Les guêpes et l'homme

Piqûre de guêpe

Gonflement, deux jours après la piqûre d’une guêpe sur un humain allergique.

La piqûre de ces insectes a pour but d'injecter du venin à leur victime pour se défendre ou pour défendre leur nid, ou bien pour la neutraliser lorsqu'ils chassent. Le venin de guêpe est un mélange complexe de composés chimiques (enzymes, protéines et amines biogènes) différent de celui des abeilles domestiques[17].

Chez les guêpes, l’aiguillon est lisse.

Contrairement à l'Abeille domestique, l'aiguillon de la guêpe n'est pas équipé de harpon, de ce fait elle ne laisse pas son dard fiché dans la piqûre. Elle peut donc agresser sa victime à volonté, plusieurs fois de suite, sans crainte d'y laisser la vie en perdant une partie de son abdomen avec l'aiguillon[17].

Selon les individus, l'effet peut être bénin ou grave, en fonction du nombre de piqûres et du fait de la présence de substances sensibilisantes dans la composition du venin, mais seuls 2 % des humains sont mis en danger par une seule piqûre de cet animal[18]. Une guêpe injecte environ de deux à dix microgrammes de venin, donc une vingtaine de guêpes peuvent envoyer un humain adulte à l'hôpital ou même tuer un chien de kg[19],[20]. Les personnes n'auront la plupart du temps qu'une rougeur localisée, un œdème qui peut être très douloureux et quelques démangeaisons. En fonction de la zone touchée (yeux, bouche…), en cas de piqûres très nombreuses ou sur un petit animal, ou bien encore en cas d'aggravation et de symptômes d'allergie, il convient de prendre d'urgence un avis médical[17],[18],[21]. On comptabilise une quinzaine de morts par piqûres d'hyménoptères (abeilles, guêpes et frelons) par an en France, principalement chez les personnes allergiques[22]. Seule la femelle est pourvue d'un aiguillon venimeux. Les piqûres d'insectes peuvent être très dangereuses en cas d'allergies.

En général, il suffit à l'humain de ne pas paniquer, et si possible de désinfecter l'endroit[21]. Pour limiter l'inflammation, les moyens naturels dont l'efficacité est généralement admise consistent à approcher la plaie d'une source de chaleur dans les dix minutes qui suivent (55 °C maximum) pour atténuer l'effet du venin (les protéines du venin sont thermolabiles, c'est-à-dire qu'elles sont détruites à des températures comprises entre 50 et 55 °C), puis la refroidir avec de l'alcool médical ou de la glace pour atténuer la douleur[18]. L'acidité du vinaigre ou du citron diminue aussi l'action du venin alcalin de la guêpe[20].

Neutralisation et dangers pour l'homme

La guêpe est un insecte utile en tant que prédateur, limitant les populations d'insectes potentiellement nuisibles tels que les moustiques ou les insectes s'attaquant aux cultures. L'emploi de pesticides peut parfois être excessif comparé à la menace présentée. Une neutralisation propre peut très bien être réalisée ponctuellement avec un abat-guêpe[Quoi ?]. Cependant, en cas de nid important et mal placé, sous un toit ou dans un jardin, il convient de neutraliser la colonie. Toujours attendre la fin du jour et le retour de la fraîcheur pour agir[réf. nécessaire]. Il est nécessaire de faire appel à des spécialistes[Qui ?].

Aspects culturels

Une « taille de guêpe »

L'expression « taille de guêpe » désigne une taille fine comme celle de l'animal et serrer sa taille pour l'amincir se dit « guêper », l'un des vêtements conçus à cet usage étant une gaine appelée guêpière[7],[9],[23].

Au sens figuré, une « guêpe » était une personne importune ou mordante et un « guêpier » devient un endroit plein d'agitation ou de danger, voire un piège. Le proverbe : « Où la guêpe a passé le moucheron demeure », signifie qu'il est vain d'imiter les gens qui possèdent force ou richesse[7],[9]. De nombreux titres d'œuvres font référence à la guêpe ou au guêpier dans ce dernier sens : La Guêpe, Les Guêpes, Nid de guêpes, Le Guêpier, Ant-Man et la Guêpe, etc.

Par homonymie, le blason de la ville allemande de Wespen (de) est orné de deux guêpes[24].

Le scooter Vespa de Piaggio a été appelé ainsi pour sa ressemblance avec la guêpe (nommée vespa en italien).

Blason de la ville de Wespen (qui signifie guêpes en allemand)

Références

  1. John R. Meyer, « World's smallest insect », sur cals.ncsu.edu, (consulté le )
  2. H. Bellmann (trad. de l'allemand), Guide des abeilles, bourdons, guêpes et fourmis d’Europe : L’identification, le comportement, l’habitat, Lausanne (Suisse)-Paris, Delachaux et Niestlé, coll. « Les compagnons du naturaliste », , 336 p. (ISBN 2-603-01131-6), p. 151
  3. Wenzel J. W., 1998. A generic key to the nests of hornets, yellowjackets, and paper wasps worldwide (Vespidae: Vespinae, Polistinae). American Museum Novitates, 3224 : 1-39.
  4. Claire Villemant. Les nids de guêpes solitaires et sociales, Insecte 24, no 136, OPIE, PDF, 3 pages
  5. OPIE, Qu'est-ce que les guêpes maçonnes ? et illustrations par Aramel, avec clé de détermination
  6. Nom en français d’après Termium plus, la banque de données terminologiques et linguistiques du gouvernement du Canada.
  7. Définitions lexicographiques et étymologiques de « Guêpe » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales
  8. Guêpe dans les Dictionnaires d'autrefois, des 17e, 18e, 19e et 20e siècles, sur Atilf
  9. Définitions lexicographiques et étymologiques de « Guêpier » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales
  10. Prévention contre les piqûres, consulté en avril 2012
  11. Attention aux appellations et traductions fantaisistes circulant sur l'Internet.
  12. (en) Nom en français d’après Animal Word List, Liste d’animaux du monde (français, latin, anglais, suédois).
  13. Meyer C., ed. sc., 2009, Dictionnaire des Sciences Animales. consulter en ligne. Montpellier, France, Cirad.
  14. Nom français d'après Dictionary of Common (Vernacular) Names sur Nomen.at.
  15. Voir définition donnée par le Grand dictionnaire terminologique de l’Office québécois de la langue française.
  16. (en) Kayvan Etebari, Robin W Palfreyman, David Schlipalius, Lars K Nielsen, Richard V Glatz et Sassan Asgari, « Deep sequencing-based transcriptome analysis of Plutella xylostella larvae parasitized by Diadegma semiclausum », BMC genomics, vol. 12, no 1, (lire en ligne).
  17. Fabrice P. Pecault, L'envenimation par les hyménoptères, thèse vétérinaire 2002 – Toulouse 3 – 4044.
  18. Daniel Gloaguen, Piqûre de guêpe : que faire en urgence si on est piqué ?, L'Express, , consulté le .
  19. Piqûre de guêpe, d’abeille, de frelon et de bourdon, sur le site du Centre antipoisons belge.
  20. Les intoxications par les hyménoptères sur le site de la Clinique vétérinaire les Poumadères, consulté le .
  21. Que faire face à une piqûre d'abeille, de guêpe, de frelon ?, sur le site Ameli-santé de l'Assurance maladie, consulté le .
  22. Communiqué du Ministère de la santé et de la Protection sociale sur la recrudescence des piqûres d’hyménoptères.
  23. Définitions lexicographiques et étymologiques de « Guêpière » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales
  24. http://www7.inra.fr/opie-insectes/pdf/i164didier1.pdf

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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