Garde-cocu

À Bordeaux, on nomme garde-cocus les ferronneries séparant transversalement les balcons qui courent tout au long des façades d'un bâtiment[1],[2].

Les garde-cocus, souvent hérissés de pointes et parfois équipés de clochettes, séparent les différentes parties privatives des balcons afin d'empêcher les intrus d'y pénétrer, d'observer par les fenêtres, voire de s'introduire dans l'appartement voisin. Ces ouvrages métalliques sont fréquents sur les opulentes façades XVIIIe siècle des immeubles des cours du Chapeau-Rouge ou de l'Intendance.

Références

  1. Antoine Lebègue et Yves Simone, Bordeaux disparu et secret, Bordeaux, Éditions Sud Ouest, , 112 p. (ISBN 9782879016139), p. 8.
  2. (it) Giuseppe Lupo, « Bordeaux tra le acque », sur Il Sole 24 ORE, (consulté le ).
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