Free (entreprise)

Free SAS (prononcé en anglais : [fɹi]), stylisé en free, entreprise filiale du groupe Iliad, est un opérateur de téléphonie mobile français et l'un des principaux fournisseurs d'accès à Internet en France. En nombre d'abonnés haut débit Free vient en deuxième position en , derrière Orange, mais devant Bouygues Telecom et SFR. En matière de chiffre d'affaires, Free se positionne cependant derrière SFR, en raison d'un revenu moyen par client plus faible.

Pour les articles homonymes, voir Free.

Pour l'opérateur mobile d'Iliad, voir Free mobile. Pour l'opérateur FTTH d'Iliad, voir Free Infrastructure.

Free

Logo de Free

Création
Dates clés 1999 : Lancement de sa première offre avec accès gratuit à internet via RTC
2002 : Lancement de la première Freebox
2003 : Lancement de Freebox TV
2005 : Débit descendant maximum de 24 Mbit/s via ADSL
2006 : Lancement de la Freebox HD
2007 : Lancement de la Fibre FTTH avec un débit descendant maximum de 100 Mbit/s
2009 : Obtention d'une licence 3G
2010 : Lancement de la Freebox Révolution
2011 : Obtention d'une licence 4G
2012 : Lancement des forfaits mobile
2014 : Lancement des bornes Free
2015 : Lancement de la Freebox Mini 4K
2016 : Lancement de TV by CANAL et obtention des licences 3G/4G outre-mer
2017 : Lancement de Free Réunion
2018 : Lancement de la Freebox Delta et Freebox One
2020 : Lancement de la Freebox Pop
Fondateurs Xavier Niel
Personnages clés Xavier Niel
Maxime Lombardini
Rani Assaf
Antoine Levavasseur
Michaël Boukobza
Angélique Gérard
Forme juridique Société par actions simplifiée (SAS)
Slogan « Merci Free[1] »
« Il a Free, il a tout compris ! »
« La liberté n'a pas de prix »
« Incroyable mais Free »
Siège social Paris
 France
Direction Thomas Reynaud
Activité Télécommunications filaires

Opérateur de télécommunications

Produits Freebox
Mobile
Webmail
Société mère Iliad
Sociétés sœurs Free mobile, Online, Free Infrastructure, IFW, Only (entreprise)
Effectif 213 en 2019
SIREN 421938861
Site web www.free.fr

Capitalisation C'est Illiad qui est coté en bourse Euronext
Chiffre d'affaires 2 907 499 967 € en 2019
Résultat net 58 873 629 € en 2019[2]

Le réseau de Free, utilisé aussi par d'autres sociétés du groupe Iliad, est appelé « Proxad ».

Les offres haut débit proposées par l'entreprise sont les suivantes : Freebox Révolution, Freebox Mini 4K, Freebox Delta et Freebox Pop, à travers lesquelles l'entreprise fournit à ses abonnés l'accès à des offres ADSL, VDSL2 ou FTTH.

Histoire

Le réseau national de ProXad (voir aussi : Maillage du réseau Free).

Free propose, en France, le un accès à Internet sans abonnement ni numéro surtaxé[3]. Ses prédécesseurs sur le créneau de l'accès sans abonnement furent World Online (1er avril 1999), puis Freesurf (19 avril 1999). Le nom de Free gratuit ou libre » en anglais) vient du fait que l'entreprise propose un accès bas débit à Internet gratuit en modem RTC hors coût des communications téléphoniques, au tarif local et régional.

Ce service inclut le courrier électronique (POP3/IMAP4) accessible aussi par une interface Web IMP ou Zimbra. La destruction des courriers indésirables, ainsi qu'un classement automatique des courriers entrants dans différents répertoires (si on utilise l'interface Web), est possible grâce à l'outil mfilter. Dans le passé, mfilter permettait aussi d'envoyer une réponse automatique personnalisée à l'expéditeur déclaré des mails refusés. Cette possibilité a été supprimée entre le 23 et le 26 . Cette suppression a pour but d'éviter les problèmes de boucle avec les mails en réponse automatique signalant que l'expéditeur du spam n'existe pas.

Free est aussi l'une des entreprises françaises pionnières dans l'accès et l'offre Internet par ADSL, après un début chaotique au début de l'année 2000 qui servait principalement de test : à l'époque, les infrastructures techniques et légales n'étaient pas au rendez-vous (conflit notamment avec France Telecom sur le dégroupage).

Free lance en une offre ADSL dégroupée à un prix plus attractif que ses concurrents, en ajoutant, plusieurs mois après, des services comme la téléphonie illimitée () vers les fixes (VoIP : « Voice over IP » ou « voix sur réseau IP ») ou la télévision () pour les abonnés bénéficiant de la Freebox et ceci sans surcoût d'abonnement. Le tarif a longtemps été fixé à 29,99  par mois, jusqu'en février 2011. Les opérateurs concurrents reprochent parfois (par voies indirectes)[4] à Free d'avoir imposé des prix trop bas sur le marché[5].

En 2004, Free est le second fournisseur d'accès en France à proposer le dégroupage total, après Alice ADSL (Telecom Italia à la fin de 2003) et permet au client final de s'affranchir de l'abonnement direct à France Télécom[réf. nécessaire].

Free propose également un hébergement web gratuit dont la capacité initiale de 100 Mo est passée à Go depuis début 2005 puis 10 Go depuis par défaut avec support de PHP et MySQL. Depuis , Free propose également PostgreSQL. De plus, Free propose maintenant une gestion de plugins permettant de transformer son espace Web en wiki, album photo, blog… (ceci est actuellement suspendu à cause de bugs récurrents).

En septembre 2006, Free annonce une offre fibre optique en FTTH (Fiber To The Home) sur sa Freebox HD lancé cette même année. Fin septembre 2012, son président indique que le cuivre utilisé sur les lignes téléphoniques avait « encore beaucoup à donner », faisant allusion au VDSL2 qui permet un débit théorique de 100 Mbit/s et dont l'expérimentation a débuté en France au second semestre 2012 pour un début de mise en place fin 2013.

Le groupe Iliad a créé la filiale Free mobile en 2009 sur le modèle de Free SAS, dont le même fondateur, Xavier Niel, a présenté lors d'une conférence le , deux offres de téléphonie mobile sans engagement de durée. Ces services ont rapidement gagné des abonnés grâce à des tarifs inférieurs à ceux du marché.

En décembre 2010, Free lance sa nouvelle offre Freebox Révolution avec un débit théorique montant maximal en FTTH de Gbit/s.

Le , Free annonce le lancement de FreeWifi Secure à destination des utilisateurs mobile : il s'agit d'une connexion automatique au réseau Free Wi-Fi via la carte SIM des téléphones mobiles, sans avoir besoin de saisir des identifiants[6]. Ce service utilise le protocole EAP-SIM.

En 2012, les négociations de la société Free avec Google butent pour financer la connexion entre le service Youtube et les abonnés Free, exposant ces derniers à une dégradation de la qualité de service[7].

En 2013, Free est client de « 100 % des NRA-MED rattachés à un répartiteur dégroupés », même si 5 % ont été ratés. Alice ADSL devient en 2013 la marque low cost de Free. L'offre d'Alice ADSL n'est plus commercialisée depuis 2018.

En décembre 2018, Free lance sa nouvelle offre Freebox Delta avec un débit théorique montant maximal en FTTH de 10 Gbit/s EPON (8 Gbit/s maximum et 700 Mb/s en envoi). Elle permettra notamment aux clients Free de passer des appels vers les fixes de plus de 110 pays internationaux. Free s'allie également avec les plateformes SVOD comme Netflix et Prime Vidéo qui seront inclus dans l'offre Delta[8].

En 2019 Free lance aussi l'offre Delta S qui ne dispose pas de décodeur TV tout en gardant le même débit.

En juin 2020, Free propose une carte interactive permettant de tester son éligibilité à la fibre en France. Ce dispositif est disponible pour les abonnés ADSL souhaitant migrer vers la fibre[9].

Internationalisation

Le réseau Proxad international avec les principaux nœuds français (Maillage du réseau Free).

Free possède le 3e réseau privé (DWDM classique) en termes de couverture nationale et de capacité (58 300 km de fibre optique en décembre 2010). Le réseau de Free est désormais international. Il est présent :

  • aux États-Unis :
    • à Washington dans le centre Equinix de Ashburn,
    • à New York où il est connecté au point d'échange PAIX-NY depuis Londres,
    • à New York où il est connecté dans le centre Equinix (mais les liaisons ne sont pas utilisées au 5 mai 2010) depuis Paris (Bezon et Telehouse 2),
    • à Miami où il est connecté au point d'échange Nap Of The America (NOTA) dans le centre Terremark depuis Ashburn ;
  • au Royaume-Uni où il est connecté au point d'échange London Internet Exchange à Londres depuis Paris, Amsterdam et Gravelines ;
  • aux Pays-Bas où il est connecté au point d'échange AMS-IX à Amsterdam depuis Londres et Francfort ;
  • en Allemagne où il est connecté au point d'échange DE-CIX à Francfort depuis Paris, Strasbourg et Amsterdam.

Bien que ces liaisons soient souvent sur des fibres optiques louées à d'importants opérateurs internationaux (Level 3 Communications, Global Crossing…), cela permet de diminuer significativement les coûts liés aux accords de transit (payants) en multipliant les accords de peering (gratuits).

Des accords de transit importants existent encore, car Free s'appuie sur deux prestataires (Level 3 et Teleglobe) avec lesquels il dispose d'une capacité de transit de 160 Gbit/s.

Free opérait aussi un point d'échange à Paris nommé FreeIX où étaient interconnectés jusqu'à 47 fournisseurs d'accès ou de service Internet (tels que Bouygues Telecom, Neuf Cegetel, Global Crossing, Interoute…) ou des fournisseurs de contenu (Google…). Il a été définitivement fermé le .

En Italie : en mai 2018 la direction de Free annonce qu’elle va intégrer le marché italien sous la marque Iliad. Free a décidé de proposer un forfait très avantageux pour les Italiens : 5,99 euros par mois inclut les SMS et la voix en illimité et trente gigas de data par mois. Ce prix est bien inférieur (entre 50 % et 70 %) à ceux proposés par les principaux concurrents italiens (Wind Tre, Vodafone ou TIM)[10],[11]. Le , 50 jours après son lancement, Iliad Italia annonce officiellement avoir déjà atteint son premier million de clients[12],[13].

Stratégie

La stratégie low cost de Free conduit à proposer des prestations différenciées entre d'une part, le peu de grandes villes qui bénéficient de la fibre optique et d'autre part, l'installation tardive de l'ADSL par des NRA-MeD, financés pour l'essentiel par les impôts. La promotion qu'en fait Free suscite une position sceptique de l'Association des Villes et Collectivités pour les Communications électroniques et l’Audiovisuel (Avicca, organisateur du colloque annuel Territoires et Réseaux d'Initiative Publique)[14].

Il est arrivé que pour certaines zones non dégroupées, un bridage des protocoles de P2P mis en place se soit transformé en blocage quasi total, contrariant par ce fait toute utilisation légale du P2P.

Activité, rentabilité et effectif

[15]
2014 2015 2016 2017 2018 2019
Chiffre d'affaires en milliers d'euros 2 714 2 755 2 794 2 892 2 778
Résultat net en milliers d'euros 403 343 358 302 289
Effectif moyen annuel 108 119 160 176 179

Part de marché

Sur plus de 25 millions d'abonnés, les principaux fournisseurs d'accès à Internet (FAI) en France sont[16] :

Ménages abonnés par opérateur
Source ARIASE, pour la France entre 2014 et 2016[17].

Freebox

La Freebox Revolution sortie en 2010.

La Freebox a été conçue par Sébastien Boutruche, responsable recherche et développement Freebox, avec son équipe, d'après le concept formulé par Xavier Niel et Rani Assaf en 2001[18],[19].

Freebox est une première mondiale, elle est la première Box Triple Play[20], c'est-à-dire le premier terminal réseau offrant accès simultanément à Internet, à la télévision et au téléphone[21]. Depuis, de nombreux fournisseurs d'accès français ont donné à leur modem un nom se terminant par « box », imitant ainsi le nom de la Freebox.

Critiques, plaintes et condamnations

Conditions générales de ventes, tarifs et pratiques commerciales

Le 21 février 2006, Free est condamné par le tribunal de grande instance de Paris à payer 30 000  à titre de dommages-intérêts à l'UFC-Que choisir et 15 000  à l'association Familles de France pour 32 articles dans les CGV de Free jugés abusifs. Free a réagi en regrettant « l'instrumentalisation des tribunaux par certaines associations de consommateurs en mal de publicité et de financement[22] ». Un peu plus de deux mois plus tard, Free informe ses abonnés du changement des CGV.

En mai 2006 l'association de défense des consommateurs UFC-Que choisir lance plusieurs centaines de procédures judiciaires contre la société, à la suite d'un grand nombre de plaintes d'abonnés. À la suite d'une plainte contre X en diffamation, les dirigeants d'UFC-Que choisir ont été mis en examen. Cette dernière plainte a finalement été rejetée par la cour d'appel de Paris (11e chambre). En juillet 2007, Free est condamnée à rembourser trois abonnés et à payer 20 000  de dommages et intérêts à l'UFC-Que choisir, mais elle fait appel. Un nouveau procès est prévu en novembre 2009[23].

En octobre 2009, l'association UFC-Que choisir attaque Free qui est le seul FAI français à surtaxer sa hotline (0,34  la minute sans compter les surfacturations des opérateurs de téléphonie mobile)[23]. Le 7 décembre 2009, la même association annonce qu'elle a saisi le tribunal de grande instance de Paris à l'encontre de Free pour « pratiques déloyales et illicites dans ses conditions de vente ».

En mars 2011, le tribunal de grande instance de Paris, saisi par l'association de défense des consommateurs UFC-Que choisir en mars 2010, a ordonné à Free de cesser ses « pratiques commerciales illicites » et ses « pratiques commerciales trompeuses »[24].

La justice a déclaré illégaux les frais d'activation différés : 96  (moins par mois d’ancienneté et moins 1,50  par mois pour Freebox Révolution) facturé aux abonnés souhaitant résilier leur abonnement. Pour la justice, il s'agissait de frais de résiliation non justifiés : l’article L. 121-84-7 du code de la consommation oblige les opérateurs à facturer des frais de résiliation en adéquation avec leur coût réel. Le tribunal a également donné raison à l'UFC-Que choisir sur d'autres pratiques, mais auxquelles Free a mis fin depuis le dépôt de la plainte de l’UFC Que choisir en mars 2010 : option Service Plus pré-cochée ou encore l'utilisation de termes trompeurs (« Il a Free, il a tout compris » ; « Découvrez les 20 exclusivités de l'offre Free » ; « Bénéficiez de tarifs attractifs vers les autres destinations et mobiles »)[25].

Le 7 février 2012, Free est condamné par le tribunal correctionnel de Paris pour « pratiques commerciales trompeuses » à l'occasion du lancement de son offre triple-play en 2005[26]. La société doit s'acquitter d'une amende de 100 000 , payer 40 000  de dommages et intérêts à l'UFC-Que choisir, modifier ses conditions générales dans un délai de 15 jours sous peine d'une astreinte de 2 000  par jour de retard et publier la condamnation dans la presse et sur la page d'accueil de leur site interne.

En 2012 une affaire de justice remet en question le fait que Free ait été élu en 2010 au prix service client de l'année dans la catégorie Opérateurs de Téléphonie fixe et Internet lors d’une étude réalisée par BVA-Viséo Conseil. SFR a fait condamner Free en 2012 parce que « Free était le seul candidat en lice et obtenu de Free qu’il supprime toute référence à cette "élection" »[27].

En 2014, lors de la Coupe du monde de football de 2014, BeIn Sports (France) a demandé à Free d'arrêter la diffusion de chaîne turque TRT 1 (canal 583) sur la Freebox qui diffusait gratuitement et intégralement le mondial, alors que cette dernière ne possédait les droits de retransmission uniquement pour la Turquie[28],[29],[30].

Management et licenciements

En 2012, plusieurs témoignages révèlent les pratiques de licenciement chez Free, qui, note L'Expansion, « n'hésiterait pas à utiliser des méthodes humiliantes pour congédier ses salariés »[31].

En 2016, Politis, qui a eu accès à des documents internes à Free, dénonce un fichage, des licenciements abusifs, ou encore une répression syndicale dans l'entreprise. Les journalistes de l'hebdomadaire notent avoir consulté « un tableau extrêmement détaillé, évaluant les pertes aux prud’hommes en comparaison de ce qu’aurait coûté un plan de licenciement conforme à la loi. Le résultat est sans appel : économiquement, mieux vaut harceler, licencier et être condamné que respecter la loi ». Ces méthodes auraient cours depuis 2010[32]. Le journal en ligne Mediapart, en octobre de la même année, pointe également les licenciements abusifs pratiqués par l'entreprise, notamment à l'égard de représentants syndicaux[33].

En 2017, l'émission télévisée Cash Investigation met en cause les conditions de travail chez Free, critiquant les salaires trop faibles, les sanctions prononcées par l'entreprise contre des salariés grévistes voire le chantage à l'emploi. Le rôle d'Angélique Gérard est en particulier pointé du doigt, par exemple via un courriel envoyé au directeur général d'Iliad Maxime Lombardini, où elle écrit : « Nous liquiderons les 50 détracteurs », en parlant de cinquante grévistes marocains[34]. Le reportage pointe en effet la répression du droit de grève et du droit syndical exercée par Free au Maroc, où l'entreprise possède deux centres d'appels, soit 1 800 salariés[35],[36].

Free Sénégal

Le , Tigo Sénégal, deuxième opérateur téléphonique du pays, change de nom pour devenir Free Sénégal, après que l'entreprise ait été partiellement acquise par Xavier Niel en 2018[37],[38]. Free Sénégal se lance sur le mobile et sur le marché des entreprises.

Bien que ces deux opérateurs portent le même nom, ont le même logo et appliquent des conditions commerciales semblables, il s'agit de deux entreprises bien distinctes, n'appartenant pas au même groupe. Free SAS fait partie du groupe Iliad, Free Sénégal est indépendant et appartient en partie à la NJJ Holding, la société de portefeuille de Xavier Niel.

Univers Free avait interrogé Iliad sur les différentes stratégies utilisées en France et au Sénégal, voici la réponse résumée par le site[39] :

« Il ne s’agit pas d’un projet industriel d’Iliad mais de Xavier Niel via sa holding NJJ, Iliad/Free et Free Sénégal sont donc deux entités différentes, la seconde reprenant la marque de la première. »

Notes et références

  1. Nil Sanyas, « Free : Mr Easy remplace Rodolphe et change de slogan », (consulté le ).
  2. https://www.pappers.fr/entreprise/free-421938861
  3. « Xavier Niel (Free), il a tout compris », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  4. EuroTMT, « Free, isolé dans la hausse du prix du triple play - Le Monde Informatique », Le Monde informatique, (consulté le ).
  5. Authueil, « L'après-Hadopi: l'impossible licence légale », Slate, (consulté le ).
  6. Free annonce le FreeWifi Secure, Webactus.net, (consulté le ).
  7. « Free Mobile briderait YouTube et l'AppStore », L'Expansion, (consulté le ).
  8. « La Freebox Delta : profiter de Netlflix et Prime Video en toute gratuité », sur MaPetiteBox, (consulté le )
  9. « Free met à jour sa nouvelle carte interactive d'éligibilité à la fibre », sur Univers Freebox, (consulté le ).
  10. Elsa Bembaron, « Free casse les prix du mobile en Italie avec un forfait à 5,99 euros », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
  11. Elsa Bembaron, « Free se lance en Italie, sur fond de turbulences », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
  12. « Iliad (Free) casse la baraque en Italie : déjà un million de clients ! », sur capital.fr, (consulté le ).
  13. « Déjà 1 million d'abonnés pour le forfait d'Iliad en Italie, ça va très vite, pratiquement aussi vite qu'en France », sur investir.lesechos.fr, (consulté le ).
  14. Free théorise la France à deux vitesses.
  15. « FREE - derniers bilans publiès », sur www.verif.com (consulté le )
  16. Sources diverses - Résumé sur PC INpact : novembre 2009 et mars 2010, communiqués officiels Free, Vivendi pour SFR/Neuf, Orange
  17. www.ariase.com
  18. Équipe dirigeante Free, Iliad.
  19. Autour de Xavier Niel, un commando et une famille, Les Échos, 10 janvier 2012.
  20. Jérôme Colombain, Une invention française : la « box triple play », France Info, 15 août 2012.
  21. Cette paternité est disputée avec le FAI italien Fastweb qui aurait sorti sa box Triple Play sur la fibre en 2001.
  22. Wanadoo et Free condamnés pour « clauses abusives », TF1, 24 février 2006 (voir archive).
  23. Nil Sanyas, « Hotline surtaxée : l'UFC-Que choisir attaque Free », sur PCInpact.com, .
  24. Guillaume de Calignon, « Free condamné à cesser des « pratiques commerciales illicites », Les Échos, (lire en ligne, consulté le ).
  25. Free : Vers la fin des frais abusifs - UFC-Que choisir, 24 mars 2011.
  26. « Free condamné pour avoir volontairement bridé son débit », 01net (site web), 8 février 2012.
  27. Cyril Brosset, « Free « service client de l’année 2011 » : C’était gagné d’avance », Que choisir (magazine), (consulté le ).
  28. « La coupe du monde en clair sur la chaîne TRT | MediaSportif », sur www.mediasportif.fr (consulté le ).
  29. Olivier Sourice et Raphaël Emile, « Coupe du monde 2014 : TRT1 la chaîne qui embarrasse TF1 et beIN Sports 1 », Télé Loisirs, (lire en ligne, consulté le ).
  30. « En France, la discrète chasse aux « pirates » de la Coupe du monde », sur Le Monde.fr (consulté le ).
  31. « Free accusé de licencier en public ses salariés », L'Express, (lire en ligne, consulté le ).
  32. Michael Ducousso, « Fichage, licenciements abusifs, répression syndicale… L'envers du système Free ? », sur rtl.fr, RTL, (consulté le ).
  33. Dan Israle, « Chez Free, des licenciements un peu trop libres », Mediapart, .
  34. Elsa Bembaron, « Des mouvements à la tête des centres d'appel de Free après Cash Investigation », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
  35. « "Cash Investigation" : comment Free a brisé la grève dans l'un de ses centres d'appels au Maroc », sur francetvinfo.fr, France Télévisions, (consulté le ).
  36. Mathieu Ait Lachkar, « Lidl, Free : « Cash investigation » enquête sur des salariés poussés à bout », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  37. Théau Monnet, « Télécoms : Tigo Sénégal devient Free Sénégal, Xavier Niel pose sa marque sur le continent », Jeune Afrique, (consulté le ).
  38. Matteo Maillard et Marie de Vergès, « Télécoms : Free vient concurrencer Orange au Sénégal », sur Le Monde, .
  39. Maxime Raby, « Télécoms : Free débarque au Sénégal avec un nouveau service de transfert d’argent “Free Money” afin de concurrencer Orange », Univers Freebox, (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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