Frêne élevé

Fraxinus excelsior

Pour les articles homonymes, voir Excelsior et Langue d'oiseau.

Le frêne commun ou frêne élevé (Fraxinus excelsior L., 1753) est un grand arbre commun des forêts d'Europe à bois clair dur et élastique de la famille des Oléacées.

Dénominations et systématique

Noms vernaculaires

Grand frêne, frêne à feuilles aiguës, quinquina d'Europe, langue d'oiseau ;
anglais: ash tree ; allemand : Esche ; breton : onn ; néerlandais : es ; norvégien : ask ; espagnol : fresno ; italien : frassino ; occitan : fraisse ; portugais : freixo.

Liste des sous-espèces

Selon World Checklist of Selected Plant Families (WCSP) (19 mars 2012)[1] :

  • sous-espèce Fraxinus excelsior subsp. coriariifolia (Scheele) A.E.Murray (1968)
  • sous-espèce Fraxinus excelsior subsp. excelsior
  • sous-espèce Fraxinus excelsior subsp. siciliensis Ilardi & Raimondo (2007)

De son côté, NCBI (19 mars 2012)[2] ne reconnaît pas encore la sous-espèce siciliensis.

Description

Appareil végétatif

Le frêne élevé est un grand arbre, pouvant aller jusqu'à 45 m de hauteur[3], à tronc droit à écorce lisse et grisâtre, se crevassant avec l'âge. Le bois est assez dur, tenace, élastique, couleur blanc nacré, sans aubier distinct.

Ses feuilles sont opposées, composées imparipennées portant 7 à 15 folioles dentées, couleur vert foncé. Il existe cependant une variété 'Monophylla' à feuilles entières ou, parfois, à 3 folioles seulement. On observe, par de chaudes journées d'été, la présence de miellat sur les folioles. Il est possible de fabriquer[4] grâce à ce miellat une boisson fermentée connue sous le nom de frênette : très légèrement alcoolisée et pétillante, cette boisson possède les propriétés médicinales du frêne (anti-inflammatoire, antalgique, anti-oxydante)[5].

Les bourgeons terminaux assez gros, de forme pyramidale, glabres, sont d'un noir velouté[6].

Appareil reproducteur

Les fleurs sont nues (sans enveloppes), insignifiantes, de couleur tirant sur le rouge ; elles comportent seulement deux étamines ou un stigmate bifide. L'inflorescence est une panicule. Les sexes sont généralement séparés (plante dioïque) mais on trouve des individus monoïques. La floraison a lieu en avril-mai dans l'hémisphère nord. La pollinisation est anémogame. La production de pollen abondante peut-être une cause d'allergie.

Les fruits sont des samares aplaties, indéhiscentes, munies d'une aile membraneuse allongée. Comme pour toutes les samares, la dissémination des fruits se fait en partie par l'action du vent.

Galerie

Données autécologiques

Le frêne est un arbre qui affectionne les conditions hygrosciaphiles des versants ombragés. Il craint les gelées printanières. C'est une essence héliophile ou de demi-ombre[7].

Répartition et habitat naturel

Aire de répartition du Frêne élevé

Cette essence de lumière, à croissance rapide (10 m en 20 ans au stade juvénile [8]), est très résistante au froid ; elle craint cependant les gelées tardives, qui peuvent tuer les bourgeons terminaux.

C'est un post-pionnier nomade. Il rejette de souche [9] et drageonne parfois [10]. Son couvert[11] est léger.

En forêt, le frêne élevé se trouve souvent en mélange, par exemple avec l'aulne glutineux (Aulnaie-Frênaie), avec le chêne pédonculé ou autres arbres à feuilles caduques. En plaine, c'est le compagnon du chêne surtout pédonculé, du hêtre et du charme. En montagne, il se mêle au hêtre et au sapin [8].

Les frênes sont étonnants par la grande latitude de leur tolérance écologique. On les trouve au bord de la mer, en montagne jusqu'à 1500 m ou en plaine [12]. Il préfère les terrains frais, en fond de vallées, et même si on le trouve sur une grande variété de sols, il montre une préférence pour les sols calcaires ou peu acides. Il existe des forêts en peuplement pur, notamment en Belgique dans le Condroz. Son aire de répartition est eurasiatique, Europe et Asie occidentale (Iran, Caucase, Russie), à l'état disséminé, pas en peuplements denses. Il est peu fréquent en zone méditerranéenne.

C'est une espèce sensible à la sécheresse, et sa régénération est influencée par des perturbations naturelles (ou parfois anthropiques) telles que les inondations ou baisses de nappe phréatique superficielle. Une étude faite dans l'Ain en France a comparé la croissance de frênes sur de 20 placettes situées dans deux contextes géomorphologiques très différents, en utilisant des mesures dendrochronologiques pour évaluer leur croissance et âge. La régénération du frêne a aussi été quantifiée dans chaque parcelle. L'étude a montré d'importantes différences de croissance ou régénération, corrélées à la disponibilité en eau. Le drainage, comme l'atterrissement ou l'envasement de zones humides est un facteur explicatif de certains échecs de régénération ou d'une baisse de croissance[13].

En association avec le chêne, le frêne forme des futaies appelées « chênaies-frênaies ».

Le frêne, comme l'érable, a une stratégie de croissance et de captation de la lumière typique d’essence de trouée, qui le rend également adapté aux systèmes bocagers. Plus la lumière est disponible, plus il croît vite et de manière importante. Il peut, comme le hêtre ou le sapin, fortement réduire sa croissance quand il manque de lumière et ainsi attendre longtemps le retour d'une situation plus ensoleillée[14].

Outre les bois frais, on le trouve en bord d'eau, les versants ombragés, accrus, au milieu des bois et surtout dans les haies[10].

On le traite en taillis ou en taillis sous futaie où il forme une bonne réserve. Jusqu'à 60 ou 80 ans, il avait plus de valeur que le chêne[10].

Il a un des systèmes racinaires les plus développés des arbres indigènes[15]. Par son enracinement diffus et grand colonisateur de sol, il est capable de rivaliser avec le hêtre. Il empêche tout arbrisseau de se développer à son contact[16].

Le semis est la seule méthode de multiplication. Il est souhaitable de le semer en place pour la vigueur de l'arbre. Pendant cinq ans il développe surtout ses parties souterraines, puis il s'élève avec vigueur et conserve cet élan pendant plusieurs années[8].

Utilisation

Bois, sans aubier visible

Plantations

Arbre d'alignement, le frêne est aussi un arbre d'ornement, avec de nombreuses variétés, à feuillage panaché, à rameaux jaunes, à port pleureur ou fastigié, naine…

Le frêne est très utilisé comme essence de reboisement à utiliser dans les meilleurs sols, riches, profonds et frais, les fonds de vallon notamment ; il prospère bien en peuplement mélangé, en compagnie du merisier, de l'érable sycomore ou de l'érable plane.

Les frênes sont très exigeants à la plantation. Il faut particulièrement soigner le travail du sol, le paillage du sol et l'alimentation en eau. Sensible au gel précoce, il faut le suivre les dix premières années afin d'éviter les fourches qui se forment automatiquement[17].

Bois

Il donne un bois clair, souple et résistant; il est recherché pour certains usages en raison de sa résistance à la flexion et aux chocs : manches d'outils, outils en bois (râteaux), cannes et bâtons (de hockey notamment), charronnage, carrosserie… les meilleurs exemplaires fournissent un bois de déroulage utilisé en placage. À défaut, c'est un excellent bois de chauffage.

Blanc, légèrement rosé et nacré, flambé de brun au coeur, assez dur, très tenace et très élastique[18].

Fourrage

Le feuillage peut servir à la nourriture des animaux de ferme. Les caprins, les ovins, les équidés et les bovins en sont très friands (feuillage très appétant). C'est aussi le cas des cervidés qui occasionnent aux jeunes plants forestiers de fréquents abroutissements.

On voit encore dans nos montagnes des rideaux de frênes plantés pour l'émonde. C'est un aliment pour bétail au moins égal à la meilleure luzerne[8].

Propriétés médicinales

Les feuilles sont inscrites à la pharmacopée française. Avec le tilleul et le bouleau, le frêne (Fraxinus excelsior) est l'un des arbres médicinaux les plus utilisés. Son écorce et ses feuilles ont des vertus diurétiques et anti-inflammatoires contre la goutte et les rhumatismes.

Médecine moderne

Les feuilles de frêne sont riches en rutoside, en hétérosides coumariniques et en tanins[19]. Toutefois, elles pourraient devoir leurs propriétés diurétiques à leur richesse en sels de potassium[20]. Une revue de synthèse de 2007, a classé le frêne parmi les plantes médicinales aux propriétés diurétiques les plus prometteuses[21]. Ses propriétés anti-inflammatoires ont également été confirmées scientifiquement[22],[23].

Médecine traditionnelle

En médecine populaire, elles sont réputées diurétiques et laxatives (en tisane), mais également anti-inflammatoires et antirhumatismales. L'écorce aurait une action tonique et fébrifuge. L'infusion de feuilles (g pour 1/4 litre) est diurétique et laxative.

  • Les Grecs anciens (Théophraste, Dioscoride et Pline l'Ancien mais aussi Matthiole) le recommandaient contre les morsures de vipères.
  • Au Moyen Âge sainte Hildegarde donne une recette contre la goutte.
  • En Écosse, on donnait aux nouveau-nés une cuillère à café de frêne. La famille fraxinus sécrète une manne ros calabrina pectorale, adoucissante, purgative qu'on prenait en tisane, en sirop, en pastilles, et qu'on recueillait en incisant l'arbre, de juin à juillet[24].
  • Il est utilisé traditionnellement contre l’hypertension dans le sud-est marocain, sous forme de poudre de racine séchée bouillie quelques minutes dans l’eau.
  • On fabrique dans certaines régions (Nord de la France, Belgique, Normandie), une boisson faiblement alcoolisée fermentée rafraîchissante, appelée frênette (ou encore freinette, frenette, fresnée ou frênée), à partir de feuilles de frêne et d'autres ingrédients.

Maladies et parasites

Agrile du frêne (Agrilus planipennis)

Plusieurs maladies et parasites s'attaquent au frêne commun et de nombreux insectes et acariens lui sont inféodés[25].

Au tournant du XXIe siècle, de nouveaux fléaux peuvent toucher le frêne, probablement du fait des échanges commerciaux internationaux, et peut-être en raison d'une tendance au réchauffement climatique et à la culture de clones à diversité génétique plus faible.[réf. souhaitée]

Très sensible aux gels tardifs (ce qui explique les fourches fréquentes, par suite de destruction du bourgeon terminal). Diverses nécroses du tronc et gélivures (fente du tronc dû au froid).

Chancre bactérien

Redoutable maladie, le chancre bactérien du Frêne est provoqué par une bactérie : Pseudomonas syringae. Elle s'attaque aux arbres dans de mauvaises conditions et affaiblis. Une fois atteint l'arbre meurt en 2 à 3 ans.

Agrile du frêne

Un insecte coléoptère d'origine asiatique l'Agrile du frêne (Agrilus planipennis), de la famille des buprestidae, s'est répandu aux États-Unis, en Ontario et depuis 2008 au Québec depuis sa découverte en 2002, obligeant à des abattages sanitaires.

Attaque du frelon

Le frelon est un ennemi potentiellement dangereux pour le frêne. Cet insecte occasionne des plaies à l'arbre pour se nourrir de la sève. Il utilise également les fibres de son bois pour l'édification des nids. Pour le frêne, casses, déformation et pourritures sont peut être à déplorer[26].

Le cœur noir du frêne

Le cœur noir du frêne est une variation négative du bois qui touche les sujets matures, surtout dans les terrains très humide et argileux[26] . Les stations impactées peuvent aussi être moins bien adaptées à la culture du frêne. Bien que les propriétés du bois sont conservées, l'aspect esthétique est déprécié par la coloration inhabituelle. Pour l'éviter, l'exploitabilité de l'arbre doit se situer aux environs des 60 ans. Le manque d'eau peut aussi provoquer cette anomalie dans le bois [27].

Chalarose du frêne

Frêne atteint de chalarose

Une autre maladie, émergente, est provoquée par une ou plusieurs sous-espèces d'un champignon ; Chalara fraxinea, hyphomycète isolé sur des brindilles et branches malades mais aussi dans les racines mortes de frênes attaqués et encore vivants, responsable de la Chalarose du frêne[28]. Cette maladie semble avoir émergé au début des années 1990 en Europe de l’Est et du Nord (d'abord repérée au début des années 1990 en Pologne). D'après de récentes études[29], le téléomorphe de cette espèce est Hymenoscyphus albidus.
De 1990 à 2008, la maladie a été repérée en Autriche[30],[31], Finlande, Allemagne[32], Hongrie[33], Lituanie, Norvège[34], Pologne[35], Suède et sur la base des symptômes, au Danemark[36], en Estonie, Lettonie et Suisse[37]) et elle progresse vers l'Europe de l'Ouest, puisque détectée par l'ONF de Vesoul en France à l’automne 2008 chez des peuplements malades dans plus de 80 communes de Haute-Saône[38].
En Belgique, le DNF et laboratoire de mycologie du Centre de recherches agronomiques (CRA) de Gembloux assurent une veille sanitaire. Des experts craignent que ce champignon puisse aussi s’attaquer ensuite à d’autres essences. Il infecte l'arbre et provoque notamment le dessèchement puis la mort des rameaux de un ou deux ans (juste avant le débourrement ou durant les sécheresses estivales). La base des rameaux morts ou latéraux présente généralement d'abord des nécroses corticales (sans exsudats) qui s’étendent ensuite aux branches des couronnes (avec descente de cime) puis au tronc pour former des faciès chancreux. Le bois attaqué devient gris[39]. Un développement anarchique de pousses épicormiques est parfois constaté (à partir de bourgeons dormants).
Dans les zones touchées par la maladie, les experts recommandent de ne transporter que du frêne bien sec[40]. On manque encore de données précises sur la pathogénicité de ce champignon, des causes qui facilitent l'infection du frêne (le gel et/ou les sécheresses pourraient le favoriser). En 2007, le frêne élevé était touché, mais aucune donnée n'était disponible sur la sensibilité à ce parasite pour d'autres espèces de Fraxinus. Selon l'EPPO, les plants de pépinières et le transport de bois contaminé semblent expliquer la propagation de la maladie sur de longues distances[41]. La maladie est souvent chronique, et parfois mortelle pour l'arbre. Ces dépérissements ont été observés en forêt, mais aussi en ville (parcs et jardins) et en pépinières.

Résistance génétique chez certains frênes

Une étude danoise (2007 à 2009, publiée en 2012[42]) a montré que selon les souches génétiques, le frêne y est plus ou moins sensible, le degré de vulnérabilité des clones testés (une trentaine) par une étude était fortement corrélé à la sénescence des feuilles en automne (plus précoce chez les clones plus sains).
Voir des photos illustrant les symptômes visibles de cette maladie

Cultivars et variétés

  • Fraxinus excelsior 'Aurea'[43] : jeunes rameaux dorés et feuillage d'automne plus coloré. Il est peu poussant.
  • Fraxinus excelsior 'Jaspidea' : rameau doré pendant 5 ans
  • Fraxinus excelsior 'Diversifolia'[43] : peu répandu, une grande feuille simple de 20 cm ou trifoliée. Arbre vigoureux, à la houppe droite, au port souple. Angleterre 1789.
  • Fraxinus excelsior 'Pendula'[43] : obtenu par greffage de tête, commun, rameaux droits pendant vers le sol. C'est en hiver qu'il est le plus spectaculaire avec ses branches qui arquent en courbes élégantes. On en fait d'inégalable salle d'ombrage.
  • Fraxinus excelsior 'Nana' [44] : rare, peu élevé
  • Fraxinus excelsior 'Aurea pendula'[43] : petit arbre qui pousse mal. couronne en forme de parasol, ramules jaunes retombantes, mais feuilles vertes.
  • Fraxinus excelsior 'Elegantissima'[43] : un arbre haut et étendu., assez vigoureux, houppier large, remarqué pour son feuillage vert clair, très divisé, aux petites folioles d'aspect particulièrement léger.

Le frêne dans la toponymie

Frêne élevé remarquable (35 m).

En France, de nombreuses communes portent un nom qui se réfère au frêne :

Mythologie

Dans la mythologie scandinave, l'axe et support du monde est un frêne géant nommé Yggdrasil. Le culte scandinave dédiait cet arbre à Odin, roi des cieux, et lui accordait des pouvoirs surnaturels.

Dans la mythologie grecque le frêne est né des éclaboussures de sang qui sont tombées au sol quand Cronos a coupé les parties génitales d'Ouranos. Plus tard, quand Zeus s'est essayé à donner naissance à l'homme, c'est du frêne que sont nés une sorte d'humains particulièrement violents qui ont passé leur temps à se battre entre eux et à se détruire.

Espèces voisines

Le genre Fraxinus comporte une soixantaine d'espèces, dont :

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • (fr) Fraxinus excelsior en images
  • (en) Brachet S., Jubier M.F., Richard M., Jung-Muller B., Frascaria-Lacoste N., Rapid identification of microsatellite loci using 5' anchored PCR in the common ash Fraxinus excelsior, Mol. Ecol. 8 (1999) 160-163.
  • (fr) Le site thématique de l'INRA consacré au frêne : fraxinus.fr

Bibliographie

  • Le frêne, arbre des centenaires, Bernard Bertrand, 01/01/2008, Terran (Éditions de) - (ISBN 978-2-913288-76-8)
  • Le point des connaissances relatives à la croissance et au développement du Frêne commun (Fraxinus excelsior L.), Pascal Collin, Pierre-Marie Badot, Bernard Millet. 1997. Acta Botanica Gallica 144 (2) : 253-267.

Références taxonomiques

Notes et autres références

  1. WCSP. World Checklist of Selected Plant Families. Facilitated by the Royal Botanic Gardens, Kew. Published on the Internet ; http://wcsp.science.kew.org/, consulté le 19 mars 2012
  2. NCBI, consulté le 19 mars 2012
  3. « Fraxinus excelsior », sur forest.jrc.ec.europa.eu (consulté le )
  4. Macération ou infusion de ces foioles.
  5. François Couplan, Le guide de la survie douce en pleine nature, Larousse, , p. 121.
  6. Henry Duflot, Le frêne en liberté, Forêt privée française, , p. 21.
  7. Flore forestière française guide écologique illustré. 1 Plaines et collines
  8. Pierre Lieutaghi, Le livre des Arbres, Arbustes & Arbrisseaux, Arles, Actes sud, 2004 (ISBN 2-7427-4778-8)
  9. JC Rameau, D. Mansion, G. Dumé , Flore forestière française, Tome 1, Paris, IDF, 1989 (ISBN 2-904740-16-3)
  10. A Jacquot, Sylviculture, Manuel pratique, Paris Nancy, Berget-Levrault, 1913
  11. •Le couvert végétal ou couverture végétale, est le plafond constitué par les tiges et le feuillage de la végétation.
  12. Marc Rumelhart, Roland Vidal, Les arbres feuillus, Paris, Larousse, 1991 (ISBN 2-03-515122-8)
  13. S. Dufour, H. Piégay. (2008) Geomorphological controls of fraxinus excelsior growth and regeneration in floodplain forest. Ecology 89:1, 205-215 Online publication date: 1-Jan-2008.)
  14. PETRI AN A. M., VON LÜPKE B., PETRI AN I. C. [2009]. Influence of light availability on growth, leaf morphology and plant architecture of beech (Fagus sylvatica L.), maple (Acer pseudoplatanus L.) and ash (Fraxinus excelsior L.) saplings. European Journal of Forest Research 128(1) : 61-74 (14 pages, 6 figures, 5 tableaux, 56 références). [European Journal of Forest Research http://www.springerlink.com/content/110827/ Voir] (consulté 2009 03 09, cité par Forêt mail de mars 2009)
  15. Bruns Gmbh, catalogue végétal, 2010
  16. Dominique Jolin, Forêt, richesse naturelle, Paris, La Maison Rustique, 1982 (ISBN 2-7066-0132-9)
  17. C. Bourgery, D. Castaner, Les plantations d'alignement, Paris, IDF, 1988 (ISBN 2-904-740-13-9)
  18. Jacques Brosse, Larousse des arbres : dictionnaire de 1600 arbres et arbustes, Paris, Larousse, , 591 p. (ISBN 978-2-03-582595-7), p. 199
  19. Monographie du Frêne (Fraxinus excelsior) sur le site "La nutrition.fr"
  20. Y. Donadieu Les thérapeutiques naturelles, sur le site 01sante.com
  21. Wright CI, Van-Buren L, Kroner CI, Koning MM, Herbal medicines as diuretics: A review of the scientific evidence, J Ethnopharmacol. 2007;114:1-31.
  22. Schempp H, Weiser D, Elstner EF, Biochemical model reactions indicative of inflammatory processes. Activities of extracts from Fraxinus excelsior and Populus tremula, Arzneimittelforschung, 2000;50:362-72
  23. Cappaert D, D.G. McCullough, T.M. Poland and N.W. Siegert. 2005. Emerald ash borer in North America: a research and regulatory challenge. American Entomologist 152-165
  24. Article MANNE Dictionnaire universel de matière médicale et de thérapeutique
  25. Remi Coutin, Insectes et acariens du Frêne, paru dans Insectes, no 100 - 1996 ( 1 ). Pages 15 à 18.
  26. « le frène commun », sur crpf bretagne (consulté le )
  27. « Le Frêne commun : une essence précieuse à développer », sur http://www.crpf-poitou-charentes.fr/ (consulté le )
  28. T. Kowalski, Chalara fraxinea sp. nov. associated with dieback of ash (Fraxinus excelsior) in Poland Forest Pathology Volume 36, Issue 4, Pages264 - 270 2006 Blackwell Verlag, Berlin
  29. Kowalski T. and Holdenrieder O. 2009 The teleomorph of Chalara fraxinea, the causal agent of ash dieback. Forest Pathology doi: 10.1111/j.1439-0329.2008.00589.x
  30. Halmschlager E, Kirisits T (2008) First report of the ash dieback pathogen Chalara fraxinea on Fraxinus excelsior in Austria. New Disease Reports, Volume 17, February 2008 - July 2008. (Lire)
  31. Actual situation of dieback of ash in Austria by TL Cech and U Hoyer-Tomiczek (Research and Training Centre for Forests, Natural Hazards and Landscape ; BFW))
  32. Schumacher J, Wulf A, Leonhard S (2007) First record of Chalara fraxinea T. Kowalski sp. nov. in Germany – a new agent of ash decline. Nachrichtenblatt des Deutschen Pflanzenchutzdienstes 59(6), 121-123 (in German).
  33. Szabó I (2008) Dieback of common ash (Fraxinus excelsior) caused by Chalara fraxinea. Növényvédelem 44(9), 444-446 (en Hongrois).
  34. Ash dieback (Norwegian Institute of Forestry and landscape. , en norvégien)
  35. Kowalski T (2006) Chalara fraxinea sp. nov. associated with dieback of ash (Fraxinus excelsior) in Poland. Forest Pathology 36(4), 264-270.
  36. Ash dieback in Denmark (Forest & Landscape Denmark)
  37. Protection des forêts – Vue d’ensemble 2007 (publié en 2008)
  38. Piou D., Caroulle F. [2008]. Émergence d’une nouvelle maladie du frêne. Forêts de France 519 : 29 (1 p., 2 fig.).
  39. Fiche Protection des végétaux ; Revue de la Fédération Wallonne Horticole – no 50 Chalara fraxinea, un nouveau champignon qui attaque le frêne en Europe : appel à signalement
  40. Chandelier A. [2008]. Le frêne, une essence menacée en Europe ? Silva Belgica 115 : 28-31 (4 p., 3 fig., 5 réf.)
  41. Page de la liste d'Alerte de l'EPPO (en) datée 2007_09, revue 2008-02 et Consultée 2009 92 12 22:46
  42. McKinney L.V., Thomsen I.M., Kjaer E.D., Nielsen L.R. [2012]. Genetic résistance to Hymenoscyphus pseudoalbidus limits fungal growth and symptom occurrence in Fraxinus Excelsior. Forest Pathology 42 : 69-74 (6 p., 2 fig., 2 tab., 20 réf.).
  43. Charlotte Testu, Arbres feuillus de nos jardins, Paris, La Maison Rustique, 1976 (ISBN 2-904740-16-3)
  44. J. Simon, Arbres, Paris, Passage piétons, 2008 (ISBN 2-913413-56-0)
  • Portail de l’agriculture et l’agronomie
  • Portail des plantes utiles
  • Portail du bois et de la forêt
  • Portail de la pharmacie
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.