François-Émile Ehrmann

Il fut d'abord élève de Théophile Schuler (1821-1878) puis de Charles Gleyre. Il a réalisé plusieurs panneaux décoratifs pour la bibliothèque nationale Mazarine à Paris et des projets de tapisseries.

• Musée des beaux-arts de Strasbourg : La Sirène et les Pêcheurs, Oedipe et le Sphinx (1903)[2]
• Musée d'art Roger-Quilliot à Clermont-Ferrand : Vercingétorix appelle les Gaulois à la défense d'Alésia
• Musée des beaux-arts du Havre : Strasbourg en août 1870
• Moulins, Musée Anne de Beaujeu : Persée délivrant Andromède, 1875[3]
• Paris, Palais de la Légion d'honneur, Apollon et les neuf muses, plafond du Salon des muses
• Paris, bibliothèque Mazarine : décoration
• Paris, département des Arts graphiques du musée du Louvre : dessins
• Tribunal de commerce de Paris, salle n^o 2 : tapisserie La Renaissance

• Exposition universelle de 1878, porche du pavillon des beaux-arts : La Céramique, La Gravure (carton)
• Exposition d'Amsterdam : La sagesse unit les Arts et l'Industrie

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  La Pêche d'une sirène, l'un des premiers tableaux d'Ehrmann. Détruit lors d'un incendie causé par le bombardement de Strasbourg en 1870[4].
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  Vercingétorix appelant les Gaulois à la défense d'Alésia[5], vers 1869. Clermont-Ferrand, Musée d'Art Roger-Quilliot[6]
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  Œdipe et le Sphinx, 1903. Strasbourg, Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg[7]
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  Vitrail représentant Henri II de Montmorency et Marie Félicie des Ursins de l'église Collégiale Saint-Martin réalisé d'après les dessins d'Ehrmann[8]