Frédéric Beigbeder

Frédéric Beigbeder, né le à Neuilly-sur-Seine, est un écrivain, critique littéraire, animateur de télévision et réalisateur français. Il est le créateur du prix de Flore, dont il préside le jury. Il fut également directeur de la rédaction du magazine Lui.

Pour l’article homonyme, voir Beigbeder.

Il a obtenu en 2003 le prix Interallié pour Windows on the World, en 2009, le prix Renaudot pour son livre Un roman français et en 2018 le Prix Rive Gauche à Paris pour son livre Une vie sans fin.

Biographie

Origines

Frédéric Beigbeder naît le à Neuilly-sur-Seine[1], dans une famille bourgeoise[2] implantée en Béarn. Beigbeder est un nom de famille typiquement béarnais signifiant « belvédère », issu de noms de hameaux forgés à partir des mots gascons beth, beau et veder, voir[3].

Sa mère, Christine de Chasteigner de La Rocheposay, est traductrice (elle traduit entre autres les romans de Barbara Cartland), et son père, Jean-Michel Beigbeder, est recruteur chasseur de têtes »), lui-même fils du directeur des Établissements de Cure du Béarn. Ses parents divorcent en 1970. Avec son frère Charles, il vit entre les deux foyers, essentiellement chez leur mère qui se met en couple en 1974 avec le baron Pierre Richard de Soultrait.

Son frère, Charles, est un homme d’affaires et homme politique, fondateur notamment de la société de courtage en ligne Selftrade, du fournisseur d'électricité Poweo[4] et de la société financière Audacia.

Éducation

Il fut élève, comme son frère Charles, de l'école Bossuet à Paris[5], alors dirigée par Jean-Michel di Falco, avec qui il publiera le livre Je crois moi non plus.

Il effectue sa scolarité aux lycées Montaigne et Louis-le-Grand à Paris. Après avoir préparé le concours d'entrée à Ipésup[6], il est diplômé de Sciences Po Paris en 1987 (section service public)[7], il achève ses études par un DESS en marketing – publicité au Celsa. À Sciences Po, il fonde le Caca’s Club, acronyme du « Club des analphabètes cons mais attachants », où il fréquente notamment Jean-François Copé et Édouard Baer. Grâce à ce club, il est repéré par Thierry Ardisson, qui l'invite régulièrement dans ses émissions de télévision[4].

En 1990, âgé de vingt-cinq ans, il publie son premier roman, Mémoires d'un jeune homme dérangé aux éditions de la Table ronde[4].

Mariages et unions

Il épouse le 17 mai 1991 Diane de Mac Mahon[8], dont il divorcera en mars 1996 sans postérité.

Il a ensuite en 1999 une fille, Chloë, de sa relation avec la comédienne et romancière Delphine Valette.

Il épouse en secondes noces le 17 juin 2003 Amélie Labrande, une chef d'entreprise, dont il divorcera également, sans postérité.

Le 12 avril 2014, aux Bahamas, il épouse en troisièmes noces le mannequin Lara Micheli, avec qui il a une fille, Oona (née en 2015), nommée en hommage à Oona O'Neill (fille du dramaturge Eugene O'Neill et quatrième et dernière épouse de Charlie Chaplin). En mai 2017, le couple donne naissance à un fils, prénommé Léonard.

Dans Le Figaro, il se confie à propos de ses deux divorces : « Un échec, c'est quand on promet à quelqu'un qu'on l'aimera toute sa vie... et qu'on n'y arrive pas. Ce sont des échecs qu'avec le temps, on regarde avec attendrissement. Il existe peu d'échecs qui se fêtent. Le divorce en est un ! »[9].

Parcours littéraire

  • Romans autobiographiques : Mémoires d’un jeune homme dérangé, L’amour dure trois ans, L’Égoïste romantique, Un roman français, Une vie sans fin.
  • Romans satiriques : Vacances dans le coma, Nouvelles sous ecstasy, 99 francs[10], Au secours Pardon, L'homme qui pleure de rire.
  • « Romans non-fictionnels » : Windows on the world, Oona & Salinger[11]. Les personnages éponymes de ce dernier roman sont l'écrivain J. D. Salinger et Oona O'Neill.

Romans et nouvelles

Frédéric Beigbeder en 2004.

En 1990, âgé de vingt-quatre ans, il publie son premier roman, Mémoires d'un jeune homme dérangé aux éditions de la Table ronde[4].

En 1994 paraît son deuxième roman, Vacances dans le coma puis, en 1997, L'amour dure trois ans, qui clôt la trilogie de Marc Marronnier. Suit un recueil de nouvelles chez Gallimard en 1999, Nouvelles sous ecstasy.

En 2000, Frédéric Beigbeder est licencié pour faute grave de chez Young & Rubicam[12], peu après la parution de son roman satirique 99 francs[10], roman qui épingle les travers de la publicité.

Son roman Windows on the World, qui se déroule dans les tours jumelles du World Trade Center durant les attentats du 11 septembre 2001, reçoit le prix Interallié en 2003, et sa traduction anglaise (par Frank Wynne) est récompensée de l'Independent Foreign Fiction Award en 2005[13].

En 2005, il publie L'Égoïste romantique. En novembre de cette même année, il est, avec Alain Decaux, Mohamed Kacimi, Richard Millet, Daniel Rondeau et Jean-Pierre Thiollet, l'un des participants du Salon du livre de Beyrouth. En 2007, il publie Au secours pardon (suite des aventures d'Octave, le héros de 99 francs). Le à Paris, Frédéric Beigbeder et un ami, l'écrivain Simon Liberati, sont surpris, penchés sur le capot d'une voiture, par une patrouille de police peu après 3 heures du matin dans le VIIIe arrondissement de Paris. Dans les poches de l'écrivain, la police trouve deux sachets contenant l'équivalent de 2,6 grammes de cocaïne, qu'il consomme de manière assumée[14]. Ils sont relâchés le surlendemain[15]. Cet épisode est à l'origine d'une polémique impliquant le procureur de la République de Paris : Jean-Claude Marin est, en effet, placé « en détention non provisoire » au chapitre 27 de Un roman français de Frédéric Beigbeder, paru le 18 août 2009 chez Grasset. Invoquant la peur des conséquences judiciaires, l'éditeur demande à l'écrivain de retirer certains passages du livre[16],[17],[18].

En 2020, il publie L'homme qui pleure de rire, continuant les aventures d'Octave Parango, maintenant humoriste dans la matinale de la première radio de France.

Bande dessinée

Il a été le scénariste de la série de BD Rester normal, illustré par Philippe Bertrand et édité aux éditions Dargaud. Cette bande-dessinée est une satire de la jet-set internationale et de ses travers. Deux albums existent : Rester normal, publié en 2002 et Rester normal à Saint Tropez, publié en 2004[19].

Essais et entretiens

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Frédéric Beigbeder a publié plusieurs essais. En 2001, il commente dans Dernier inventaire avant liquidation les 50 premières œuvres littéraires d’un classement établi par Le Monde et la Fnac. Il y rassemble des chroniques critiques sur les grands classiques tels que L’Étranger d'Albert Camus ainsi que sur des poésies et des BD. En 2005, Je crois, moi non plus est publié en Livre de poche. Il s’agit d’un dialogue courant sur trois années entre Monseigneur Jean-Michel Di Falco, évêque de Gap, ex-porte-parole des évêques de France et Frédéric Beigbeder sur la religion catholique.

Les Éditions Léo Scheer ont notamment lancé une nouvelle collection intitulée « Écrivains d’aujourd’hui » en 2007. Le premier des titres est consacré à Frédéric Beigbeder et contient un long entretien entre l’auteur et Angie David concernant son parcours et ses œuvres littéraires.

La même année paraît 99 francs Le manuel d'utilisation de la société d'hyperconsommation, un livre destiné à accompagner la sortie du film 99 francs et contenant notamment des témoignages inédits, non présents dans le roman.

En 2011 paraît Premier bilan après l’Apocalypse, suite de Dernier inventaire avant liquidation. Cette fois l’auteur y commente ses 100 livres préférés du XXe siècle.

Le 16 septembre 2015 sort aux éditions Grasset Conversations d'un enfant du siècle, un recueil regroupant des entretiens de Frédéric Beigbeder effectués entre 1999 et 2014 avec des écrivains influents d'aujourd'hui et cela pour le compte de nombreux magazines (GQ, Lui, Le Figaro, etc.), mais aussi des conversations fictives avec des écrivains morts.

Éditeur

En janvier 2003, Flammarion propose à l'écrivain de passer « de l'autre côté du miroir » et de devenir éditeur. Le premier roman qu'il choisit s'appelle Une fièvre impossible à négocier de Lola Lafon[20],[21], sur son engagement alter-mondialiste et sa participation à des Black Blocs.

En trois ans, il publie environ vingt-cinq livres pour le compte de Flammarion, avant de quitter ses fonctions en 2006. Il a notamment édité les auteurs Pierre Mérot, Simon Liberati, Bénédicte Martin et Guillaume Dustan[22].

Prix littéraires

Frédéric Beigbeder, qui a fondé le prix de Flore en 1994, préside son jury depuis lors. Il a également créé le prix Sade en 2001 avec Lionel Aracil, a siégé dans le jury du prix Décembre (-2011), et, depuis mars 2011, est membre du jury du prix Renaudot[23].

En 2011, il est membre du jury du prix Françoise-Sagan[24]. À partir de 2011, il est également membre du jury du prix Saint-Germain[25] dont il a démissionné en 2013 et du prix Fitzgerald[26].

Médias

Publicité

Il devient en 1990 concepteur-rédacteur dans l'agence de publicité CLM/BBDO[27], TBWA, et surtout plus de cinq ans chez Young & Rubicam[28], tout en étant critique littéraire ou chroniqueur nocturne dans les magazines Elle, Paris Match, Voici ou encore VSD et démarre en même temps sa carrière d’écrivain[29].

II en ressortira quelque peu écœuré et ne manquera pas d'exprimer son mépris pour le métier dans 99 francs (1997), son premier best-seller. Il est licencié par l'agence publicitaire Young & Rubicam quelques jours après la publication du livre, chose qu'il convoitait déjà dans le roman : « J'écris ce livre pour me faire virer ».

Cinéma

99 francs a été adapté au cinéma par Jan Kounen, dans un film sorti le . L'écrivain, qui a participé activement à l'écriture du film et au tournage, y joue également un petit rôle[30].

En 2012, Il réalise son premier film L'amour dure trois ans[31] qui réunit 750 000 entrées où il met en scène Gaspard Proust, Frédérique Bel, Jonathan Lambert et Louise Bourgoin.

En 2015, il commence le tournage de L'Idéal, adaptation de son roman, Au secours pardon. Se positionnant comme une suite de 99 francs, le film met en scène l'ancien concepteur-rédacteur Octave Parango de 99 francs reconverti dans le « model scouting » à Moscou. On y retrouve notamment Gaspard Proust, Audrey Fleurot et Jonathan Lambert dans les rôles principaux[32].

En 2016, il est président du jury au Festival du cinéma russe à Honfleur.

En 2019, il est président du jury du 1re Festival Ciné Roman.

Presse

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En 1996, il crée la revue littéraire NRV avec Arnaud Viviant et Florent Massot. En 2003, il crée avec Stéphane Million la revue littéraire Bordel. Il a par ailleurs été chroniqueur à Lire et intervieweur pour GQ.

En 2012, il succède à François Nourissier au Feuilleton littéraire du Figaro Magazine.

En 2013, Frédéric Beigbeder prend la direction de la rédaction du magazine Lui, qu'il relance le 4 septembre. En mars 2017, Frédéric Taddeï lui succède à la direction[33].

Télévision

Entre septembre 2005 et mai 2007, il intervient comme chroniqueur dans Le Grand Journal, présenté par Michel Denisot. Frédéric Beigbeder a également été animateur de l'émission hebdomadaire de critique littéraire et cinématographique Le Cercle de 2007 à décembre 2015 sur Canal+ Cinéma[34].

Radio

À compter du 25 août 2016, Frédéric Beigbeder intervient pour un billet d'humeur hebdomadaire dans la matinale de Patrick Cohen sur France Inter, ainsi que pour une chronique décalée à un autre moment dans la semaine, toujours sur France Inter. À la suite d'une chronique improvisée, la direction de France Inter annonce la fin de leur collaboration le 17 novembre 2018[35]. Beigbeder s'estime injustement sanctionné, ce à quoi la directrice de France Inter, Laurence Bloch, répond : « Le souci est que Frédéric Beigbeder ne travaillait pas assez, ses chroniques ne tenaient pas debout »[36].

À partir du vendredi 6 septembre 2019, il devient sociétaire des Grosses Têtes, présenté par Laurent Ruquier.

Internet

En 2016, il participe à l'émission Les Recettes Pompettes présentée par Monsieur Poulpe[37].

Prises de position et critiques

En 2002, il co-signe une pétition demandant une « solution rapide et décente aux problèmes fiscaux de Françoise Sagan », condamnée pour une fraude fiscale sur ses revenus de 1994 et devant à l’État 838 469 euros, en considérant que si « Françoise Sagan doit de l'argent à l’État, la France lui doit beaucoup plus : le prestige, le talent, un certain goût de la liberté et de la douceur de vivre[38]. »

En 2013, il est signataire du « manifeste des 343 salauds » paru dans le mensuel Causeur, qui défend le droit d'aller « aux putes », s'opposant ainsi à la proposition de loi pour la pénalisation des clients de la prostitution[39].

En janvier 2014, le site de l'association de critique des médias Acrimed publie un article critiquant le magazine Lui, dont il est le directeur de publication depuis 2013, lui reprochant notamment son antiféminisme « branché »[40].

Début 2020, lors de l'affaire Matzneff, il est invité sur Europe 1. Il explique au sujet du prix Renaudot, dont il était membre du jury, délivré à Matzneff en 2013 : « Je ne sais pas si on lui donnerait aujourd'hui […]. Il y a un regard qui a totalement changé sur cette époque. » Ayant rappelé quelques jours plus tôt dans Le Monde que Matzneff « restait [son] ami », il se justifie en soulignant qu'il ne peut « pas enfoncer quelqu'un qui est déjà à terre et qui fait l'objet d'une chasse à l'homme », et ajoute au sujet des écrits polémiques de ce dernier : « on pensait que peut-être c'était un mythomane[41]. » Pourtant, de son propre aveu, Beigbeder a souvent côtoyé Matzneff. Dans une émission de 1995, les deux hommes, accompagnés de Thierry Ardisson, plaisantent sur les « filles de 12 ans et demi » avec qui ils pourraient avoir envie de passer la nuit[42].

En mars 2020, dans une chronique sur Europe 1, il s'en prend à des intervenantes de la cérémonie des Césars, parmi lesquelles Florence Foresti et Adèle Haenel, les désignant comme une « meute de hyènes en roue libre », après leur sortie contre Roman Polanski[43].

Publications

Romans indépendants

Trilogie Octave Parango

Nouvelles

Essais

Entretiens

Préfaces

  • Dictionnaire chic de philosophie, Paris, Écriture, coll. « Dictionnaires chics », , 450 p. (ISBN 978-2-35905-169-8)

Bandes dessinées

Avec des dessins de Philippe Bertrand

Préfaces et postfaces

Participations

Audios

Filmographie

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Réalisateur

Scénariste

Acteur

Adaptations cinématographiques de ses œuvres

Émissions de télévision

Notes et références

  1. Prisma Média, « Frédéric Beigbeder - La biographie de Frédéric Beigbeder avec Gala.fr », sur Gala.fr (consulté le )
  2. (en) « Frédéric Beigbeder : « Les lunettes et les cheveux longs, ça fait snob » », sur France-Amérique, (consulté le ).
  3. Dictionnaire étonnant des célébrités, de Jean-Louis Beaucarnot et Frédéric Dumoulin, First éditions, 2015, page 41.
  4. Pierre Robin, « Frédéric Beigbeder : la dissidence caviar », Le Spectacle du monde, (lire en ligne)
  5. 64momes, « FREDERIC BEIGBEDER », sur 64 Mômes, (consulté le )
  6. Ariane Chemin, La Promo Sciences-Po 86, Stock, , 162 p. (ISBN 978-2-234-06840-7, lire en ligne)
  7. Alumni Sciences Po, « l'Association des Sciences-Po - Fiche profil », sur sciences-po.asso.fr (consulté le )
  8. Prisma Média, « Frédéric Beigbeder - La biographie de Frédéric Beigbeder avec Voici.fr », sur Voici.fr (consulté le )
  9. Quentin Périnel, « Frédéric Beigbeder : « Je veux que les gens se disent que je suis un raté ! » », FIGARO, 03/03/2017 à 06:00 (lire en ligne, consulté le )
  10. Depuis intitulé 14,99 .
  11. « Frédéric Beigbeder, enfin de retour en librairie », Boox, 16 mai 2014.
  12. Frédéic et Charles Beigbeder : 99 francs contre 6 milliards, Le Point, 22 janvier 2007.
  13. Frédéric Beigbeder sur Fluctuat.net.
  14. Entrez sans frapper, émission sur La Première RTBF, le 24/09/2019
  15. « Frédéric Beigbeder arrêté en possession de cocaïne », lci.fr, consulté le 20 janvier 2009.
  16. « Le procureur, l'auteur et les ciseaux de l'éditeur », LeMonde.fr, mis en ligne le 30 juillet 2009.
  17. « Le nouveau roman de Beigbeder censuré », bibliobs.nouvelobs.com, mis en ligne le 30 juillet 2009.
  18. « La réplique de Jean-Claude Marin à Beigbeder », sur bibliobs.nouvelobs.com, (consulté le ).
  19. Dargaud, « Rester normal », sur Dargaud (consulté le )
  20. Stéphanie Binet, « Poing de rupture », article du journal Libération, du 19 août 2003.
  21. Ludovic Perrin, « Lola Lafon à fond », article du journal Libération du 13 février 2006.
  22. « Frédéric Beigbeder, le people des lettres », Le Monde, 13 janvier 2012.
  23. « Beigbeder et Garcin au Renaudot » dépêche AFP du 10 mars 2011.
  24. dossier de presse du prix Françoise Sagan, « Prix Françoise Sagan » [PDF], sur domaine-sagan.fr, , p. 2.
  25. (fr) « Le prix Saint-Germain : rendez-vous le 17 janvier 2012 », bernard-henri-levy.com, consulté le 7 février 2012.
  26. « Le tout petit monde des jurés littéraires », L'Express, 19 mai 2011.
  27. Frédéric Beigbeder, l'enfant pressé de la télé, Le Parisien, 25 novembre 2002
  28. beigbeder.net
  29. Frédéric Beigbeder : L'imprécateur, Stratégies, 25 juillet 2000
  30. 99 Francs: Extension du domaine de la pub, L'Express Culture, 25 août 2007
  31. L'amour dure trois ans" : sur grand écran, Beigbeder se révèle léger (dans le bon sens du terme), Le Monde, 17 janvier 2012
  32. L'idéal : découvrez la bande-annonce du nouveau Beigbeder ! Europe 1, 13 mai 2016
  33. Clément Arbrun, « Frédéric Taddei prend la tête du magazine “Lui” : “Ce qui est érotique, c’est le réel !” », lesinrocks.com, 11 mars 2017.
  34. Biographie de Frédéric Beigdeber, Canal Plus
  35. « France Inter met fin à la chronique de Frédéric Beigbeder », sur ozap.com, (consulté le ).
  36. « « Par Jupiter ! », les têtes à claques de France Inter », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  37. « VIDÉO - "Les Recettes Pompettes" : Beigbeder trinque à la russe, chapka sur la tête », sur RTL.fr (consulté le )
  38. « Isabelle Adjani au secours de Françoise Sagan », Le Parisien, (consulté le ).
  39. Alice Géraud, « “343 salauds” clament leur droit à “leur pute” », Libération, 29 octobre 2013.
  40. Eve Guiraud, « Le “nouveau” magazine Lui ? Un retour “branché” et antiféministe aux années soixante », Acrimed, 14 janvier 2014.
  41. « Frédéric Beigbeder réagit à l'affaire Matzneff : "On pensait qu'il était peut-être un mythomane" », sur youtube.com (consulté le ).
  42. RMC, « “Ils sont répugnants !” : polémique autour d’une vidéo de Matzneff, Ardisson et Beigbeder qui ironisent sur “des gamines de 12 ans et demi” », RMC (consulté le ).
  43. « Frédéric Beigbeder juge Florence Foresti "écœurante" après les César », sur Le Huffington Post, (consulté le ).
  44. « Emoji, et moi je », sur Libération Next Culture, .
  45. (fr) Frédéric Beigbeder, « Christine Angot pastichée par Frédéric Beigbeder, Quitter Lavil (2000) », sur Style : mode d'emploi.fr (consulté le )
  46. « Pour Frédéric Beigbeder, "La frivolité est une affaire sérieuse" », sur Bilan.ch,
  47. « Frédéric Beigbeder : « Le délire de censure vient de la "cancel culture" » », Le Figaro Magazine, , p. 70)74 (lire en ligne).
  48. Yann Moix, « La Houellebecquisation du monde », BoDoï, no 55, , p. 9.
  49. « Frédéric Beigbeder va réaliser la suite de 99 francs avec Gaspard Proust », sur Allociné, (consulté le )

Annexes

Sur Frédéric Beigbeder

  • Collectif, Frédéric Beigbeder, éditions Léo Scheer, coll. « écrivain d'aujourd'hui », 2007, 165 p. (ISBN 9782756100920)
  • Alain-Philippe Durand, Frédéric Beigbeder et ses doubles, avec un entretien et une correspondance inédite de l'auteur, éd. Rodopi, 2010, 212 p. (ISBN 9789042024724)
  • Stéphane Ternoise, Réponses à Monsieur Frédéric Beigbeder au sujet du livre numérique, Jean-Luc Petit éditions, 2011. (ISBN 9782365410373)

Notes de rédaction

Les parties ton, influences, genres littéraires et thèmes sont basées sur deux ouvrages :

  • Frédéric Beigbeber et ses doubles par Alain-Philippe Durand (avec un entretien et une correspondance de l'écrivain), CRIN 51 - 2008 (ISBN 9789042024724)
  • Frédéric Beigbeder par les Editions Léo Scheer, 2007, entretien avec Angie David, (ISBN 9782756100920)

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Liens externes

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