Forêts sèches zambéziennes à Cryptosepalum

Les forêts sèches zambéziennes à Cryptosepalum forment une écorégion terrestre définie par le Fonds mondial pour la nature (WWF), qui appartient au biome des forêts de feuillus sèches tropicales et subtropicales de l'écozone afrotropicale. Situées principalement en Zambie, ces forêts sempervirentes sont confinées à une zone réduite autour de la rivière Kabompo. Dominées par Cryptosepalum exfoliatum pseudotaxus (en), elles poussent sur les sables stériles du Kalahari et sont dénuées d'eau de surface permanente, ce qui les rend relativement inhabitées.

Forêts sèches zambéziennes à Cryptosepalum
Écorégion terrestre - Code AT0203[1]

Écozone : Afrotropique
Biome : Forêts décidues sèches
tropicales et subtropicales
Géographie et climat
Superficie[2] :
38 085 km2
min.max.
Altitude[2] :980 m1 508 m
Température[2] :16 °C26 °C
Précipitations[2] :mm255 mm
Écologie
Espèces végétales[3] :
1 300
Oiseaux[4] :
380
Mammifères[4] :
87
Squamates[4] :
61
Espèces endémiques[4] :
0
Conservation
Statut[4] :
Critique / En danger
Aires protégées[5] :
18,1 %
Anthropisation[5] :
0,0 %
Espèces menacées[5] :
11
Ressources web :

Localisation

Références

  1. (en) D. M. Olson, E. Dinerstein, E. D. Wikramanayake, N. D. Burgess, G. V. N. Powell, E. C. Underwood, J. A. D'Amico, I. Itoua, H. E. Strand, J. C. Morrison, C. J. Loucks, T. F. Allnutt, T. H. Ricketts, Y. Kura, J. F. Lamoreux, W. W. Wettengel, P. Hedao et K. R. Kassem, « Terrestrial Ecoregions of the World: A New Map of Life on Earth », BioScience, vol. 51, no 11, , p. 935-938.
  2. (en) World Wildlife Fund, « The Terrestrial Ecoregions of the World Base Global Dataset », sur http://worldwildlife.org (consulté le ). Disponible alternativement sur : Loyola RD, Oliveira-Santos LGR, Almeida-Neto M, Nogueira DM, Kubota U, et al., « Integrating Economic Costs and Biological Traits into Global Conservation Priorities for Carnivores », PLoS ONE, (consulté le ), Table S1. Les données de température et de précipitations sont les moyennes mensuelles minimales et maximales.
  3. (en) G. Kier, J. Mutke, E. Dinerstein, T. H. Ricketts, W. Küper, H. Kreft et W. Barthlott, « Global patterns of plant diversity and floristic knowledge », Journal of Biogeography, vol. 32, , p. 1107–1116 (DOI 10.1111/j.1365-2699.2005.01272.x, lire en ligne), données et carte consultables dans the Atlas of Global Conservation.
  4. (en)World Wildlife Fund, « WildFinder: Online database of species distributions », , données et carte consultables dans the Atlas of Global Conservation.
  5. (en) J. M. Hoekstra, J. L. Molnar, M. Jennings, C. Revenga, M. D. Spalding, T. M. Boucher, J. C. Robertson, T. J. Heibel et K. Ellison, The Atlas of Global Conservation : Changes, Challenges, and Opportunities to Make a Difference, Berkeley, University of California Press, (lire en ligne), données et carte consultables dans the Atlas of Global Conservation.
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