Festival international du cinéma francophone en Acadie

Le Festival international du cinéma francophone en Acadie (ou FICFA) est un festival de cinéma canadien qui se tient à Moncton, au Nouveau-Brunswick (Acadie).

Le FICFA, dont la programmation officielle offre plus de 100 films de tous genres chaque année, se déroule au mois de novembre. Chaque année, le FICFA attire environ 20 000 cinéphiles[1], en plus d’accueillir plus de 150 délégués du Canada, de l’Europe et de l’Afrique.

Logo fest pour Wikipedia 18

Le festival

Historique

Le Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA) a été créé en 1987 à l’occasion du 2e Sommet de la Francophonie à Québec. La Ville de Moncton avait alors été sélectionnée pour accueillir cet événement unique au Canada et rendre hommage à ceux et celles qui ont persévéré pendant des siècles pour conserver l’héritage de leur langue et de leur culture. La communauté a souhaité rendre l’événement annuel et, en 1992, Film Zone a été incorporé et assume depuis l’organisation du FICFA, son principal événement.

Mission et objectifs

Le Festival international de cinéma francophone en Acadie (FICFA), est organisé par Film Zone Inc., un organisme sans but lucratif qui a pour mission de promouvoir et de rendre accessible le cinéma de la Francophonie internationale aux francophones et francophiles de l’Atlantique tout en faisant connaître le cinéma acadien en Acadie et dans la Francophonie.

Il a pour objectifs de développer l’intérêt pour le cinéma francophone au sein de la communauté acadienne et francophile du Nouveau-Brunswick et de l’Atlantique ; de développer l’intérêt pour le cinéma francophone en milieu scolaire ; de contribuer au développement et de promouvoir l’industrie cinématographique acadienne ; et d’encourager les partenariats avec d’autres festivals francophones.

Positionnement

Le FICFA se caractérise principalement par le fait d’être le festival de cinéma spécifiquement francophone le plus important en Amérique et cela, dans une province bilingue où les francophones sont minoritaires. Voué uniquement au cinéma produit à travers la Francophonie mondiale, le FICFA se démarque aussi par une programmation généraliste de grande qualité. Le festival cherche à présenter ce qui se fait de mieux autant dans le genre grand public que dans le cinéma d’auteur.

Programmation

Projections de films

Le FICFA est un festival généraliste de films issus des pays de la Francophonie. Par sa programmation diversifiée, alliant films grand public et films d’auteur, regroupant fiction, documentaire et animation en court, moyen et long métrage, le festival souhaite présenter un panorama de la production cinématographique francophone récente. Or, le contexte bilingue dans lequel se situe le FICFA a poussé les organisateurs à proposer une plus grande quantité de films francophones sous-titrés en anglais afin d'élargir l'auditoire et d'augmenter l'accessibilité à tous les cinéphiles et francophiles. Cette offre bilingue est, depuis 2011, de plus en plus significative.

En plus de la place importante accordée aux films acadiens, la programmation regroupe plus d’une centaine de films et vidéos sélectionnés pour leur apport significatif au cinéma francophone international. Le festival encourage la participation de productions indépendantes.

Le volet Arts médiatiques

Le volet Arts médiatiques (VAM) réunit un éventail de pratiques artistiques qui sont présentées sous forme de projets de création et d'exposition. Sa programmation a comme objectifs de soutenir la création et la diffusion d'œuvres d'artistes professionnels en Arts médiatiques indépendants, contribuer à l'apprentissage et au partage des connaissances et mettre sur pied des projets servant de tremplin pour les réalisateurs et les artistes émergents. Le VAM comprend une riche programmation, dont une résidence d'artistes, un laboratoire, des ateliers de formation, des performances audiovisuelles.

Logo du volet Arts médiatiques

Les Séries FICFA

De plus, durant toute l'année, le Festival propose Les Séries FICFA. Elles sont présentées grâce à l'appui de Téléfilm Canada, du Ministère du Tourisme, Patrimoine et Culture du Nouveau-Brunswick et de la collaboration de Picaroons. Les Séries FICFA présentent plusieurs projections annuellement, notamment dans le cadre du Ciné-club de Moncton, présenté avec l'Alliance française de Moncton. Ces projections sont possibles grâce à plusieurs partenariats avec divers organismes, dont notamment Prends ça court!, Regard sur le court métrage au Saguenay, l'Office national du film du Canada, Québec cinéma, le Front des réalisateurs indépendants du Canada et bien d'autres.

Logo des séries FICFA

L'Acadie suit son COURT

D'autres partenariats ont vu le jour dont notamment avec le Festival Acadie Rock depuis 2013 (pour L'Acadie suit son COURT). L'Acadie suit son COURT est un programme de courts faux documentaires abordant des thèmes qui touchent la société acadienne. Les participants sont sélectionnés par la direction du FICFA. La première édition a eu lieu lors du grand spectacle du 17 août d'Acadie Rock 2013 où une foule de près de 4 000 personnes ont pu voir six films projetés sur deux grands écrans.

C'est Right Short

Grâce à un partenariat avec TBA Collective, la première édition de C'est Right Short a eu lieu en juin 2015. La seule activité officiellement bilingue des Séries FICFA, C'est Right Short offre une programmation composée de séances de courts métrages et des ateliers de formation en cinéma, le tout offert sans frais. Il s'associe régulièrement à d'autres événements estivals en empruntant leurs thèmes pour inspirer sa programmation (Festival Acadie Rock en 2016, Festival Inspire en 2017 et le Festival Mosaïq en 2018).

Autres volets

La programmation du FICFA comporte aussi les expositions, un concours de courts métrages en Super 8 Acadie Underground, une tournée du festival dans plusieurs villes de l’Atlantique, un volet scolaire auquel participe de nombreuses écoles des niveaux primaire et secondaire de la province et une présentation de courts métrages réalisés par des participants de la région dans le cadre d'Objectifs obliques. Les participants d'Objectifs obliques ont été jumelés afin de réaliser un film d'une durée de moins de 10 minutes, inspiré de thèmes choisis au hasard des Stratégies obliques, plus de cent dilemmes qui en valent la peine (Oblique Strategies, over one hundred worthwhile dilemmas), un jeu de cartes conçu en 1975 par Brian Eno et Peter Schmidt. Les thèmes choisis servent de point de départ et sont ouverts à diverses interprétations.

Prix La Vague

Le jury du FICFA, composé de professionnels issus de l'industrie du cinéma canadien et international, décerne à chaque année les prix La Vague dans différentes catégories.

Remise des Prix La Vague de la 21e édition du FICFA en 2007

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague/TV5 a été décerné à La vraie vie est ailleurs, de Frédéric Choffat.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien, le Prix La Vague a été décerné à La Brunante, de Fernand Dansereau.
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à À force de rêves de Serge Giguère. Dans cette même catégorie, le jury a attribué une mention spéciale à Panache, d'André-Line Beauparlant.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne moyen ou long métrage, le Prix La Vague a été décerné à, ex-aequo, On a tué l'Enfant Jésus, de Renée Blanchar et à Soldat à vie/Bootcamp Nation, de Sofi Langis.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne court métrage, le Prix La Vague a été décerné à Un dimanche à 105 ans, de Daniel Léger.
  • Des prix La Vague du public ont été remis à Un dimanche à 105 ans de Daniel Léger dans la catégorie Meilleur court métrage canadien et à Bonne nuit Malik! de Bruno Danan dans la catégorie Meilleur court métrage international.

Remise des Prix La Vague de la 22e édition du FICFA en 2008

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction International, le Prix La Vague/TV5 a été décerné à Sous les bombes, de Philippe Aractingi. Dans cette même catégorie, le jury a attribué une mention à La Maison jaune, d'Amor Hakkar.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien, le Prix La Vague a été décerné à Elle veut le chaos, de Denis Côté. Dans cette même catégorie, le jury a attribué une mention à la comédienne Isabelle Blais pour son rôle dans Borderline de Lyne Charlebois.
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à Le Monde selon Mosanto de Marie-Monique Robin.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne moyen ou long métrage, le Prix La Vague a été décerné à Lost Song, de Rodrigue Jean. Le jury a aussi accordé une mention pour la musique de Claude Fournier pour le documentaire Marie-Hélène Allain en dialogue avec la pierre, de Rodolphe Caron.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne court métrage, le Prix La Vague a été décerné à La trappe, de Lina Verchery.
  • Des prix La Vague du public ont été remis au court métrage acadien Tic Tac, de Marc Daigle pour Meilleur court métrage canadien et à Une histoire louche, de Rudi Rosenberg pour le meilleur court métrage international.

Remise des Prix La Vague de la 23e édition du FICFA en 2009

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague/TV5 a été décerné à Eastern Plays, de Kamen Kalev.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien, le jury a sélectionné le film J'ai tué ma mère, de Xavier Dolan.
  • Le prix La Vague du Meilleur moyen ou long métrage documentaire a été attribué à L'encerclement - La démocratie dans les rets du néolibéralisme, de Richard Brouillette ex æquo avec Hommes à louer, de Rodrigue Jean.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne moyen ou long métrage, c’est Acadieman vs le CMA 2009, de Dano LeBlanc qui s’est mérité le Prix La Vague/Léonard Forest.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne court métrage, le prix a été remis à Julien Cadieux pour son film Habiter la danse.
  • Des prix La Vague du public sont allés au court métrage Alanna de Julie Plourde pour le Meilleur court métrage canadien et à Paul Rondin est… Paul Rondin de Frédérick Vin pour le Meilleur court métrage international.

Remise des Prix La Vague de la 24e édition du FICFA en 2010[2]

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague/TV5 a été décerné à Un poison violent, de Katell Quillévéré.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien, le Prix La Vague a été décerné à Journal d'un coopérant, de Robert Morin. Dans cette même catégorie, le jury a attribué une mention spéciale à Les signes vitaux, de Sophie Desraspe.
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à La belle visite, de Jean-François Caissy. Dans cette même catégorie, le jury a attribué une mention spéciale à Salaam Isfahan, de Sanaz Azari.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne moyen ou long métrage, le jury a décidé de ne pas accorder de prix.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne court métrage, le Prix La Vague/ACIC-ONF a été décerné à Voleuse de poussière, de Marie-Thérèse François.
  • Des prix La Vague du public ont été décernés à La Pilule, de Géraldine Charbonneau et à Pixels, de Patrick Jean.
  • Le prix La Vague/Judith Hamel de la Meilleure œuvre en Arts médiatiques a été décerné à Jean-Denis Boudreau et Paul Bossé pour le projet USDhD.

Remise des Prix La Vague de la 25e édition du FICFA en 2011[3]

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague/TV5 a été décerné à L'Exercice de l'État, de Pierre Schoeller. Dans cette même catégorie, le jury a attribué une mention spéciale à Attenberg, d'Athina Rachel Tsangari.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien, le Prix La Vague a été décerné à Le Vendeur, de Sébastien Pilote.
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à Vol spécial, de Fernand Melgar. Dans cette même catégorie, le jury a attribué une mention spéciale à Godin, de Simon Beaulieu.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage international, le Prix La Vague a été décerné à Aglaée, de Rudi Rosenberg. Dans la même catégorie, le jury a attribué une mention spéciale à Le Sucre, de Raphael Médard.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage canadien, le Prix La Vague a été décerné à Ce n'est rien, de Nicolas Roy. Dans la même catégorie, le jury a attribué une mention spéciale à Sang froid, de Martin Thibaudeau.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne moyen ou long métrage, le Prix La Vague Léonard-Forest a été décerné à Moncton Vinyle, de Paul Bossé. Dans cette même catégorie, le jury a attribué une mention spéciale à Roméo Savoie - La peinture du corps, de Monique LeBlanc.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne court métrage, le Prix La Vague/ACIC-ONF a été décerné à Off route 2, d'Amanda Dawn Christie.
  • Un prix La Vague Coup de cœur du public a été remis à Monsieur Lazhar, de Philippe Falardeau.

Remise des Prix La Vague de la 26e édition du FICFA en 2012

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague/TV5 a été décerné à L'Enfant d'en haut, d'Ursula Meier.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien, le Prix La Vague a été décerné à Rebelle, de Kim Nguyen. Dans cette même catégorie, le jury a attribué une mention d'honneur à Catimini, de Nathalie Saint-Pierre.
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à Bestiaire, de Denis Côté.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage international, le Prix La Vague a été décerné à Edmond était un âne, de Franck Dion.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage canadien, le Prix La Vague a été décerné à Ina Litovski, d'Anaïs Barbeau-Lavalette et André Turpin. Dans cette même catégorie, le jury a attribué une mention spéciale à Ne pas reculer, de Dominique Laurence.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadiene moyen ou long métrage, le Prix La Vague Léonard-Forest a été décerné à Une dernière chance, de Paul-Émile d'Entremont.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne court métrage, le Prix La Vague ACIC-ONF a été décerné à Une affaire de famille, de Justin Guitard.
  • Un prix La Vague Coup de cœur du public a été remis à, ex æquo, Frédéric Back : Grandeur nature, de Phil Comeau et à S.W.I.T.C.H, de Jean-Pierre Desmarais.

Remise des Prix La Vague de la 27e édition du FICFA en 2013

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague/TV5 a été décerné à Suzanne, de Katell Quillévéré.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien, le Prix La Vague a été décerné à Vic + Flo ont vu un ours, de Denis Côté.
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à L'image manquante, de Rithy Panh.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage international, le Prix La Vague a été décerné à Le jour a vaincu la nuit, de Jean-Gabriel Périot.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage canadien, le Prix La Vague a été décerné à Taxi pour deux, de Dan Popa.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne, le Prix La Vague Léonard-Forest et ACIC/ONF a été décerné à Aller-Retour, de Gilles Doiron.
  • Un prix La Vague Coup de cœur du public a été remis à Dead man talking, de Patrick Ridremont.

Remise des Prix La Vague de la 28e édition du FICFA en 2014[4]

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague a été décerné à Party Girl, de Marie Amachoukeli, Claire Burger et Samuel Theis.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien, le Prix La Vague UNIS a été décerné à Félix et Meira, de Maxime Giroux.
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à Miron : Un homme revenu d'en dehors du monde, de Simon Beaulieu.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage international, le Prix La Vague a été décerné à L'être venu d'ailleurs, de Guy Bordin et Renaud de Putter.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage canadien, le Prix La Vague a été décerné à La Coupe, de Geneviève Dulude-DeCelles.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne moyen ou long métrage, le Prix La Vague Léonard-Forest a été décerné à Les Sceaux d'Utrecht, de Paul Bossé.
  • Dans la catégorie de la Meilleure oevure acadienne court métrage, le Prix La Vague a été décerné à Le paradis de boue, de Chris Harrigan.
  • Un prix La Vague Coup de cœur du public a été remis à Les Sceaux d'Utrecht, de Paul Bossé.

Remise des Prix La Vague de la 29e édition du FICFA en 2015[5]

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague a été décerné à Much Loved, de Nabil Ayouch.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien, le Prix La Vague a été décerné à Les Êtres chers, d’Anne Émond.
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à Oncle Bernard – L’anti-leçon d’économie, de Richard Brouillette. Dans cette même catégorie, le jury a attribué une mention d'honneur à Pinnochio, d'André-Line Beauparlant.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage international, le Prix La Vague a été décerné à Père, de Lotfi Achour.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage canadien, le Prix La Vague/UNIS a été décerné à La femme qui a vu l’ours, de Joannie Lefernière.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne moyen ou long métrage, le Prix La Vague Léonard-Forest a été décerné à Le sprint au flétan, de Pat Gauvin.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne court métrage, le Prix La Vague a été décerné à Cafétéria, de Francine Hébert.
  • Un prix La Vague Coup de cœur du public a été remis à Les Êtres chers, d’Anne Émond.

Remise des Prix La Vague de la 30e édition du FICFA en 2016[5]

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague a été décerné à Sierranevada, de Cristi Puiu.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien, le Prix La Vague a été décerné à Prank, de Vincent Biron.
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à Ombres des ondes courtes, de Amanda Dawn Christie.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage international, le Prix La Vague a été décerné à Zoufs, de Tom Boccara, Noé Reutenaeur et Emilien Vekemans.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage canadien, le Prix La Vague/UNIS a été décerné à Mon dernier été, de Claude Demers. Une mention a été offerte à La peau sauvage d'Ariane Louis-Seize
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne moyen ou long métrage, le Prix La Vague Léonard-Forest a été décerné à Zachary Richard, toujours batailleur, de Phil Comeau.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne court métrage, le Prix La Vague a été décerné à Belle-île-en-mer, île bretonne et acadienne, de Phil Comeau.
  • Un prix La Vague Coup de cœur du public a été remis à Zachary Richard, toujours batailleur, de Phil Comeau.

Remise des Prix La Vague de la 31e édition du FICFA en 2017[5]

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague a été décerné à 120 battements par minute, de Robin Campillo.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien, le Prix La Vague a été décerné à Tadoussac, de Martin Laroche.
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à La Part du diable, de Luc Bourdon.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage international, le Prix La Vague a été décerné à Cinq ans après la guerre, de Samuel Albaric, Ulysse Lefort et Martin Wiklund.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage canadien, le Prix La Vague/UNIS a été décerné à Marguerite, de Marianne Farley.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne moyen ou long métrage, le Prix La Vague Léonard-Forest a été décerné à Modifié, de Aube Giroux.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne court métrage, le Prix La Vague a été décerné à $1.25, de Jeep Jones.
  • Un prix La Vague Coup de cœur du public a été remis à Modifié, de Aube Giroux.

Remise des Prix La Vague de la 32e édition du FICFA en 2018[5]

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague a été décerné à CAPHARNAÜM, de Nadine Labaki.
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien Unis TV, le Prix La Vague a été décerné à UNE COLONIE, de Geneviève Dulude-De Celles.
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à PREMIÈRES ARMES de Jean-François Caissy.
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage international, le Prix La Vague a été décerné à UN MONDE SANS BÊTES de Emma Benestan et Adrien Lecouturier
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage canadien, le Prix La Vague a été décerné à BROTHERHOOD de Meryam Joobeur.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne moyen ou long métrage, le Prix La Vague Léonard-Forest a été décerné à LES ARTISANS DE L'ATELIER de Daniel Léger.
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne court métrage ACIC/ONF, le Prix La Vague a été décerné à LE PATENTEUX D'HARELLE, de Mathieu Laprise
  • Un prix La Vague Coup de cœur du public a été remis à CAPHARNAÜM, de Nadine Labaki.

Remise des Prix La Vague de la 33e édition du FICFA en 2019

  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction international, le Prix La Vague a été décerné à PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU de Céline Sciamma
  • Dans la catégorie du Meilleur long métrage de fiction canadien Unis TV, le Prix La Vague a été décerné à KUESSIPAN de Myriam Verreault
  • Dans la catégorie du Meilleur moyen ou long métrage documentaire, le Prix La Vague a été décerné à LA LANGUE EST DONC UNE HISTOIRE D'AMOUR de Andrès Livov
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage international, le Prix La Vague a été décerné à LE CHANT D'AMHED de Foued Mansour
  • Dans la catégorie du Meilleur court métrage canadien, le Prix La Vague a été décerné à CLEBS de Halima Ouardiri
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne moyen ou long métrage, le Prix La Vague Léonard-Forest a été décerné à POUR MIEUX T'AIMER de Gilles Doiron et Denise Bouchard
  • Dans la catégorie de la Meilleure œuvre acadienne court métrage ACIC/ONF, le Prix La Vague a été décerné à LE GROUS POISSON de Angie Richard et Tracey Richard
  • Un prix La Vague Coup de cœur du public a été remis à LES DERNIERS VILAINS : MAD DOG AND THE BUTCHER de Thomas Rinfret

Notes et références

  1. « Le Centre culturel Aberdeen », sur www.centreculturelaberdeen.ca (consulté le )
  2. « Remise des prix La vague de la 24e édition du Festival international du cinéma francophone en Acadie », sur Le Lien MULTIMÉDIA :: le portail des professionnels du numérique au Québec (consulté le )
  3. « FICFA : un festival impressionnant - Culture », sur Le Front, (consulté le )
  4. Zone Arts - ICI.Radio-Canada.ca, « Un doublé pour Paul Bossé au FICFA », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
  5. « Le FICFA remet ses prix », sur www.quebeccinema.ca (consulté le )

Liens externes

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