Fédération des associations étudiantes du campus de l'Université de Montréal

La Fédération des associations étudiantes du campus de l'Université de Montréal (FAÉCUM, prononcé /fe.kum/[1]), fondée en 1976, a pour but, à travers ses associations étudiantes membres, de défendre les différents intérêts des étudiants et des étudiantes de l'Université de Montréal. Elle représente plus de 40 000 étudiants et étudiantes par le biais de ses 84 associations membres.

Fédération des associations étudiantes du campus de l’Université de Montréal
Situation
Création
Type Association étudiante
Siège Montréal ( Québec)
Organisation
Membres 40 000 membres
Secrétaire général Sandrine Desforges

Site web faecum.qc.ca

Elle œuvre dans plusieurs sphères d'activités. Tout d'abord au niveau académique, la FAÉCUM promeut auprès de l'administration de l'Université de Montréal des revendications afin de favoriser un enseignement accessible et de qualité. De plus, elle soutient les étudiants et les étudiantes dans leur démarches face aux intervenants universitaires. Sur le plan socio-politique, la Fédération se préoccupe de toute question sociale qui touche la vie des étudiants et des étudiantes universitaires (financement de l'éducation, politiques gouvernementales, etc.). Au niveau de la vie étudiante, la FAÉCUM organise un grand nombre d'activités afin d'améliorer la vie étudiante sur le campus de l'Université de Montréal. Finalement, elle offre aussi plusieurs services à ses membres.

Historique

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La FAÉCUM a été fondée le , après sept ans de vide laissé par la dissolution de l'Association générale des étudiants de l'Université de Montréal (AGÉUM) qui avait représenté les intérêts des étudiants et des étudiantes pendant près de 40 ans. Fortes de cette expérience et voulant forcer la direction de l'Université de Montréal à considérer l'opinion des étudiants et des étudiantes dans la décision d'augmenter la cotisation obligatoire aux Services aux étudiants [et aux étudiantes] de 63 à 103 $, dix associations du campus relançaient le mouvement étudiant à l'Université de Montréal et fondaient la FAÉCUM.

De cet événement sont nées deux volontés de la part des étudiants et des étudiantes de l'Université de Montréal. La première était de s'organiser afin de mieux défendre les intérêts de la communauté étudiante. La seconde était de s'imposer à la direction de l'Université de Montréal pour que les étudiants et les étudiantes puissent participer aux instances décisionnelles de l'établissement en tant que membres à part entière de la communauté universitaire.

Au fil des ans, la FAÉCUM a pris de l'expansion. Ses secteurs d'activité se sont grandement diversifiés, passant de la simple politique interne à la prestation de services et à l'implication dans des dossiers d'envergure nationale. Elle constitue aujourd'hui une force incontournable du mouvement étudiant, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du campus, et tente de répondre de plus en plus adéquatement aux besoins de ses membres.

Les quelques dates qui suivent marquent des moments marquants de l'histoire de la FAÉCUM, et des gains qui lui sont en partie attribuables[2] :

1921 : Fondation de l’ancêtre de la FAÉCUM : l’AGEUM (Association générale des étudiants de l’Université de Montréal). 1969 : Dissolution de l’AGEUM. 1976 : Congrès de fondation de la FAÉCUM, le 31 octobre, afin d’obtenir davantage de contrôle sur la gestion des fonds des Services aux étudiants [et aux étudiantes]. Michel Patry devient le premier secrétaire général de la FAÉCUM.

1977 : Reconnaissance de la FAÉCUM comme étant l’organisation représentative des étudiants et des étudiantes du campus par l’Université de Montréal. Boycott des frais de scolarité et manifestation contre le devancement de la date d’échéance du paiement des frais de scolarité.

1979 : Annulation de l’augmentation de la cotisation étudiante aux Services aux étudiants [et aux étudiantes]. Boycott des bars administrés par l’Université de Montréal afin de permettre aux associations étudiantes d’obtenir des permis d’alcool pour la tenue d’événements sur le campus.

1980 : Débrayage général sur le campus en protestation contre l’injection demandée par l’Université de Montréal pour empêcher la tenue de moyens de pression contre le contingentement des admissions à la maîtrise en sociologie et en psychologie.

Manifestation au parc Jeanne-Mance contre la direction des résidences de l’Université de Montréal et l’arrestation de Guy Héroux, un représentant étudiant.

1983 : Adoption de la loi 32, qui assure la reconnaissance et le financement des associations étudiantes.

1985 : Première diffusion de CISM, qui à l’époque se prononce « séisme ». La diffusion au 89,3 FM débutera en 1991.

1986 : Manifestation sur le campus en opposition aux nouveaux frais afférents imposés par l’Université de Montréal.

1987 : Occupation des bureaux du rectorat en opposition aux nouveaux frais afférents imposés par l’Université de Montréal.

1989 : Fondation de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ).

1990 : Création du Fonds d’investissement des cycles supérieurs de l’Université de Montréal (FICSUM).

Grève contre le dégel des frais de scolarité. Le 20 mars, le secrétaire général et le coordonnateur aux affaires externes de la FAÉCUM sont courtiers d’un jour à la bourse de Montréal. Ce sont eux qui ouvrent les portes aux manifestants et aux manifestantes, permettant ainsi l’occupation du parquet de la bourse de Montréal.

1993 : Reconnaissance du journal Le Quartier Libre en tant que journal étudiant de l’Université de Montréal.

Création de l’Organisation nationale universitaire (ONU) afin de lutter contre la hausse des frais de scolarité. Cette lutte mènera au gel des frais de scolarité, en novembre 1994.

1994 : Dévoilement des avantages pécuniaires de l’administration de l’Université de Montréal dans La Presse, Le Journal de Montréal et Le Devoir par la FAÉCUM et l’AGEEFEP. Cela mènera, en juin 1995, à l’adoption de la loi 95 sur l’imputabilité des universités.

Manifestation contre la réforme du ministre Axworthy sur la colline parlementaire à Ottawa.

1995 : Adoption de la Politique sur les droits des étudiantes et étudiants de l’Université de Montréal. Présentation du mémoire de la FAÉCUM dans le cadre des États généraux sur l’Éducation, réclamant notamment que l’éducation devienne l’une des priorités du gouvernement.

1996 : Occupation des bureaux du recteur de l’Université de Montréal en guide de protestation face à l’augmentation des frais d’inscription et de diplomation.

1997 : Adoption du régime d’assurance médicale et dentaire de la FAÉCUM pour l’ensemble des étudiants et des étudiantes de l’Université de Montréal. Le régime d’assurance a été bonifié à plusieurs reprises depuis ce temps et comprend désormais une assurance voyage ainsi qu’une large couverture des soins de santé, des soins de la vue et des soins dentaires.

1998 : Lucien Bouchard promet le gel des frais de scolarité devant les étudiants et les étudiantes de l’Université de Montréal.

1999 : Occupation du hall d’honneur du pavillon Roger-Gaudry afin de protester contre la hausse des frais de rédaction et d’administration imposée par l’Université de Montréal.

2000 : Adoption du premier plan de développement de la FAÉCUM, « Tabula rasa ». Ce plan amènera d’importants changements au sein de la Fédération : la création du conseil d’administration, l’instauration des règlements généraux et du cahier de positions ainsi que la mise en place des comptoirs de services de la FAÉCUM et de la halte-garderie Le Baluchon.

Revendication d’un réinvestissement massif en éducation au Sommet du Québec et de la jeunesse, ce qui conduit le gouvernement québécois à injecter un milliard de dollars additionnels dans le réseau d’enseignement supérieur.
Réduction significative[évasif] des frais de rédaction et d’administration à l’Université de Montréal.

2001 : Réduction de la moitié du coût des photocopies sur le campus. Le nouveau tarif représente une économie d’environ 200 000 $ pour l’ensemble des étudiants et des étudiantes.

Lancement du programme de reconnaissance de l'implication étudiante récompensant l'implication bénévole des étudiants sur le campus. Depuis, le programme des projets d’initiatives étudiantes (PIÉ) et le programme d’aide au rayonnement du savoir étudiant des cycles supérieurs (PARSECS) sont également offerts.
Augmentations salariales substantielles[évasif] pour les étudiants et les étudiantes qui occupent un emploi d’auxiliaire sur le campus.
Adoption d’une politique linguistique visant à améliorer la qualité du français à l’Université de Montréal.

2002 : Prolongation des heures de service sur la ligne bleue du métro.

Manifestation contre l’inclusion de l’éducation dans l’accord de la zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA).
Modification de la loi sur l’aide financière aux études afin de permettre aux étudiants et aux étudiantes à temps partiel d'accéder au programme de prêts et bourses.
La loi sur l'aide financière aux études est modifiée pour permettre aux étudiants à temps partiel d'avoir accès au régime des prêts et bourses.

2003 : Travail hors campus permis aux étudiantes et aux étudiants internationaux pendant toute la durée de leurs études à temps plein.

Abaissement du plafond de prêts du régime d'aide financière aux études.
Retrait des frais afférents de 25 $ par crédit imposés sur les cours de langues.

2004 : Manifestation et organisation de la caravane de l’endettement pour perturber les apparitions publiques du Premier ministre et du ministre de l’Éducation dans le cadre des protestations étudiantes contre les coupures de 103 M$ dans le programme d’aide financière aux études.

2005 : Grève générale illimitée afin de protester contre les coupures de 103 M$ dans le programme d’aide financière aux études.

Adoption d’un nouveau règlement sur le plagiat, qui tient maintenant compte des principes de justice naturelle dans le traitement des cas de plagiat à l’Université de Montréal.

2007 : Transformation des frais technologiques en cotisation automatique non obligatoire[pas clair] (CANO).

2009 : Injection d’une somme de 325 000 $ dans les services aux étudiants [et aux étudiantes] (SAÉ) afin de mettre sur pied le centre de santé et de consultation psychologique (CSCP) à l’Université de Montréal.

2012 : Grève contre la hausse des frais de scolarité dans le cadre de la plus grande mobilisation de l’histoire du mouvement étudiant.

Remboursement des sommes perçues en trop pour les frais institutionnels obligatoires (FIO) sur la facture étudiante par l'Université de Montréal.

2013 :

Bonification du programme d’aide financière aux études.
Annulation de la hausse de 82 % des frais de scolarité.

2014 : Création du règlement disciplinaire sur la fraude et le plagiat concernant les étudiants [et les étudiantes] des cycles supérieurs. Ce nouveau règlement permet notamment aux étudiants et aux étudiantes aux cycles supérieurs de présenter le même travail pour des évaluations différentes sous certaines conditions.

2015 : Prolongation du congé parental accordé aux étudiantes et aux étudiants financés par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH).

Instauration de toilettes non genrées dans les pavillons de l’Université de Montréal[3].
Instauration d’un service de production de carte de visite au service d’impression de l’Université de Montréal (SIUM) pour les étudiants et les étudiantes aux cycles supérieurs.
Refonte du règlement pédagogique de la Faculté des études supérieures. Les changements incluent, notamment, la possibilité de suspendre ses études pour un congé parental.

2016 : Lancement de la campagne « Ça va ? » pour inciter les étudiants et les étudiantes à compléter une enquête sur leur santé psychologique. Plus de 10 000 étudiants et étudiantes ont participé à cette enquête, menée en collaboration avec le Centre de santé et de consultation psychologique de l’Université de Montréal.

Lancement provincial de la campagne contre la violence sexuelle « Sans oui, c’est non ! » créée par la FAÉCUM en collaboration avec le Bureau d’intervention en matière de harcèlement (BIMH) de l’Université de Montréal[4][source insuffisante].
Fondation de l’Union étudiante du Québec (UEQ).
Injection de 141 M$ dans les organismes de recherche fédéraux.
Refonte du règlement des études de premier cycle. Les changements incluent, notamment, l’instauration des guides de stage et la possibilité de suspendre ses études pour un congé parental.
Indexation de la subvention accordée par l’Université de Montréal aux Services aux étudiants [et aux étudiantes].
Adoption du projet de loi 76 qui permettra aux étudiants et aux étudiantes de plus de 25 ans d’avoir accès au tarif réduit pour le transport en commun[5][source insuffisante].

2017 : Prolongation des heures de service sur la ligne bleue du métro[6].

Participation à la Coalition régionale étudiante de Montréal pendant les élections municipales à Montréal.

2018 : Participation à la Campagne de revendications et d'actions inter-universitaires des étudiantes et des étudiants d'éducation en stage pour l'obtention de la compensation financière du stage final en enseignement[7]. Modification du règlement des études de premier cycle afin de rendre obligatoire l'approbation de la majorité de la classe pour la modification des modalités d'évaluation en cours de trimestre. Modification de la Charte de l'Université de Montréal[8].

Structure

La FAÉCUM fonctionne selon une structure fédérative. Elle représente l'ensemble de ses membres par le biais des associations étudiantes.

La FAÉCUM a deux types de membres : les membres à titre individuel et les associations membres. Les membres à titre individuel, en vertu du principe de la formule Rand, sont obligés d'être membres de la Fédération et de payer leur cotisation[9]. Par contre, les associations membres peuvent se désaffilier de la Fédération. Leurs membres continuent de payer à la FAÉCUM, mais l'association étudiante ne peut plus en retirer les bénéfices (droit de vote lors des instances, services et conseils à l’association, etc.). En raison du caractère symbolique de la désaffiliation, seules quelques associations étudiantes ne sont pas affiliées à la FAÉCUM[10].

Congrès

L'instance suprême de la Fédération est le congrès où siège l'ensemble des délégués et des déléguées représentant les associations étudiantes. Chaque association étudiante membre de la FAÉCUM peut envoyer un nombre de personnes déléguées équivalent à une grille de proportionnalité selon le nombre de membres de l'association. Le congrès a autorité sur l’ensemble des instances de la FAÉCUM.

Le congrès doit entériner les positions prises par le conseil central et entériner les politiques votés par le conseil d'administration. Il est responsable de l’élection des membres du bureau exécutif, du conseil d'administration, de même que la nomination de la présidence et de la vice-présidence du conseil central.

Le congrès annuel se déroule à la fin du mois de mars de chaque année. Les déléguées et les délégués des associations étudiantes sont appelés à faire le bilan de l'année, adopter des orientations de travail pour l'année suivante et élire les personnes mentionnées ci-dessus. De plus, les dossiers d'importance de la FAÉCUM sont souvent amenés à être discutés en congrès.

Présidence

Poste

2018-2019

2017-2018

2016-2017

2015-2016

2014-2015

2013-2014

2012-2013

2011-2012

2010-2011

2009-2010

Présidence Annie-Claude Vanier Alex S. Halme Marie-Philip Leduc Jean-François Harvey Mathieu Lepitre Alex S. Halme Vincent Ranger
Vice présidence Nicolas

St-Onge

Noémi Roy Joanie Martineau Geneviève Harvey Philippe Cambron Mathieu Lepitre Louis-Alexandre Cazal Jocelyn Caron

Conseil central

Le conseil central (CC) est l'instance décisionnelle responsable du discours et de la planification des actions politiques de la FAÉCUM[11]. Un représentant ou une représentante de chaque association membre de la FAÉCUM y siège. Se réunissant généralement une fois aux trois semaines, c'est l'endroit où les grands débats politiques de la FAÉCUM prennent place entre les Congrès. Les différents conseils de la FAÉCUM discutent, au préalable des documents et débats qui auront lieu en Conseil central.

Conseil d'administration

Le conseil d'administration supervise la gestion et administre les affaires de la FAÉCUM[12]. Il agit dans trois domaines : la gestion des ressources humaines, la supervision financière, la gestion des services.

Le conseil d'administration est composé de huit administratrices et administrateurs élus par le congrès et de trois membres du bureau exécutif (les personnes élues au poste de secrétariat général, de coordination aux affaires universitaires et de coordination aux finances et services). Des huit administratrices et administrateurs élus par le congrès, minimalement trois doivent provenir de membres de la FAÉCUM étudiant en premier cycle et trois de membres étudiant en cycles supérieurs.

Composition
Poste 2021-2022 2020-2021 2019-2020 2018-2019 2017-2018 2016-2017 2015-2016 2014-2015 2013-2014 2012-2013 2011-2012 2010-2011 2009-2010 2008-2009
Présidence Marie-Hélène Rivest Sandrine Desforges Matis Allali Simon Forest Andréanne St-Gelais Nicolas Lavallée Yvan Tremblay-Morneau Tiago Silva Mireille Mercier-Roy Stéfanie Tougas Marc-André Ross Nicolas Descroix Francis Hogue Julie Bouchard
Secrétariat Héloïse Vaillancourt Marie-Hélène Rivest Antoine Bertrand-Huneault Marie-Jeanne Bernier Jessica Bérard Annie-Claude Vanier Andréanne St-Gelais Joanie Martineau Francis Bouchard Mychel Pineault Maude Marquis-Bissonnette Mathieu Lepitre Éloi Lafontaine Beaumier Nicolas Descroix Vincent Ranger
Trésorerie Alix Brun-Berthet Félix Hébert Camille Désilets Camille Fortier-Martineau Simon Forest Loïck St-Pierre Joliane Bolduc Joanie Martineau Karelle Dupuis Marie-Ève Dostie Véronique Levert-Boyer Kevin Bélanger
Membres de premier cycle Étienne Paré Alix Brun-Berthet Catherine Dionne Marlène Balthazard Alex Vandal-Milette Jérémie Dunn Louis-Robert Beaulieu-Guay Simon Lapalme Yan Bertrand Julien Fortin Oliver Vinette Louise Lemay Marie-Michèle Cauchy
Amélie Tanguay Anthony Gagnon Magalie Côté Gabrielle Germain Fares Massaad Jean-Simon Richard Philippe Letarte Catherine Deschamps Samuel Laberge-Comeau Vincent Girard-Bellavance Philippe Grand'Maison Julien Nepveu-Villeneuve Marie-Ève Dostie Jonathan Lafontaine
Dominick Scott Fred-William Mireault Hugo Cordeau Étienne Lavallée Charles-Édouard Morel Anthony Bissonette Vincent Fournier-Gosselin Laurent Mercure[13] Vincent Fournier Gosselin Jibril Akaaboune-Lefrançois Maude Marquis Bisonnette Étienne Pageau Crevier Mathieu Flamand Nicolas Veilleux
Membres tous cycles confondus Manuella Henry Dominick Scott Elizabeth Matte Vincent Fortier-Martineau Solène Doutrelant Jérémy De Bonville Marilyn-Anne Tremblay Catherine Anne Morin Geneviève Bouchard Geneviève Harvey Jean-Maxime René Philippe Cambron Anne-Marie Roberge Raoul Gébert Héloïse Gauvin
Mathild Ramirez Alexis Ferland Mathilde Jean-Dumazet Kevin Beauséjour Kelsey Bisonnette (Vacant) François Cholette-Brousseau Étienne Racine Alex S. Halme (Vacant) Alexandre Gajevic Sayeg Marie-Pier Robitaille Louise Lemay
Membres de cycles supérieurs Rayane Zahal Étienne Lavallée Vincent Fortier-Martineau Solène Doutrelant Laurence Dumont Claudine Courteau-Godmaire Robert Poulin Steve Carufel Stéphanie Lachance Simon Blackburn Marie-Ève Dostie Delphine Bouilly Alexandre Beaupré (Vacant)
Selma Adam Justine Prud'homme Inès Fizazi Adrien Bravo Jérémy De Bonville Simon Laporte Ricardo Charles Karim Bouayad-Gervais Marie-Pier Gingras Maxime Desmarais-Tremblay Marc Julien
Étienne Lavallée Jodi Kalubi Hadrien Chénier-Marais (Vacant) Natalia Bustamante Simon Forest Vincent Aymong Nicolas Bérubé Philippe Lamontagne Michael Blondin Nicolas Lahaie Simon Gélinas

Conseils

La FAÉCUM possède quatre conseils consultatifs : le conseil des affaires socio-politiques (CASP), le conseil des affaires académiques (CAA), le conseil de vie étudiante (CVE) et le conseil des études supérieures (CES).

Ces conseils discutent des dossiers de la FAÉCUM entre les rencontres du Conseil central. Ils doivent recommander les avis, mémoires et positions au Conseil central. Les quatre conseils servent aussi à réunir autour d'une même table les délégués et les déléguées des associations étudiantes travaillant sur des champs spécifiques.

Bureau exécutif

Le bureau exécutif est responsable de la gestion quotidienne de la Fédération et de l’application des mandats qu’il reçoit des différentes instances de la Fédération[14]. Il s'occupe de l'ensemble des sphères d'activités de la Fédération (académique, socio-politique, services aux étudiants et aux étudiantes, socioculturelle, etc.). Il est composé de neuf personnes élues par le Congrès. Les officières et les officiers œuvrent à temps plein pour la FAÉCUM et sont élus du 1er mai au 30 avril de chaque année.

Composition
Poste 2021-2022 2020-2021 2019-2020 2018-20192017-20182016-20172015-20162014-20152013-20142012-20132011-20122010-20112009-20102008-20092007-2008
Secrétariat général Marie-Hélène Rivest Sandrine Desforges Matis Allali Simon Forest Andréanne St-Gelais Nicolas Lavallée Vincent Fournier Gosselin Tiago Silva Mireille Mercier-Roy Stéfanie Tougas Marc-André Ross Nicolas Descroix Francis Hogue Julie Bouchard
Coordination aux affaires universitaires Catherine Dionne Alexandra Gariépy Charles Bélanger Marie-Jeanne Bernier Jessica Bérard Annie-Claude Vanier Andréanne St-Gelais Joanie Martineau Francis Bouchard Mychel Pineault Maude Marquis-Bissonnette Mathieu Lepitre Éloi Lafontaine-Beaumier Nicolas Descroix Vincent Ranger
Coordination aux affaires externes Meriem Khatem Claire De Muns Dartevelle William Blaney Francis Prévost Matis Allali Simon Telles Marie D. Gauthier Nicolas Lavallée Vincent Fournier Gosselin Jean-François Harvey Mireille Mercier-Roy Dorothée Charest Belzile* Maxime Clément Jonathan Lafontaine Jocelyn Caron
Coordination aux finances et services Alix Brun-Berthet Félix Hébert Camille Désilets Camille Fortier-Martineau Simon Forest Loïck St-Pierre Joliane Bolduc Joanie Martineau Karelle Dupuis Marie-Ève Dostie Véronique Levert-Boyer Kevin Bélanger
Coordination aux affaires académiques de premier cycle Kétura Daméus Éloïse Johnson Samuel Poitras Antoine Bertrand-Huneault Nicolas St-Onge Catherine Grondin Annie-Claude Vanier Rodolphe Parent Yan Bertrand Robin Mercier-Villeneuve Philippe Cambron Maude Larente Xavier Fabian Mountagha Sow Eric Peters
Coordination aux affaires académiques de cycles supérieurs Alecsandre Sauvé-Lacoursière Rafaëlle Pons Alexandra Gariépy Martin St-Pierre Andrée-Anne Lefebvre Mathieu Jackson* puis Jessica Bérard Frédérique-Emannuelle Lessard Julie Bélanger Maud Laporte-Roy Dominique Baril-Tremblay Delphine Bouilly Pascal Lamblin* Louis-François Brodeur Maxime Desmarais-Tremblay
Coordination à la recherche universitaire Alexis Ferland Jonathan Desroches Asma Bouikni Philippe Lebel Nicolas Bérubé Simon Blackburn (vacant) Olivier Paré-Labrosse* Paul Khuong Laurent Karim Béland* puis Paul Khuong Walid Romani David Paradis
Coordination à la vie de campus Lambert Gagnon Catherine Dionne Francis Morin Maxime Paquet Simon Laporte Noémi Roy Michael Ondrick Kevin Lespérance Sébastien Leclerc-Toupin Tiago Silva Véronique Laframboise Jeahn-Gabriel Neveu Anne-Catherine Carrier Jean-Daniel Daigle Jean Grégoire
Coordination aux affaires associatives Radia Sentissi Marjorie Vinet Arielle Blanchet Sandrine Desforges Roxane Talbot Benoit Dumas Camille Chabot-Martin Étienne Racine Karine Laperrière Marie-Philip Leduc Julien Nepveu-Villeneuve Stéfanie Tougas Marc-André Ross Nicolas Veilleux Francis Hogue
Coordination aux affaires administratives et au développement Héloïse Vaillancourt Marie-Hélène Rivest Antoine Bertrand-Huneault - - - - - - - - - - - -

* Ont démissionné avant la fin de leur mandat.

Comités participatifs

Il existe aussi deux comités participatifs à la FAÉCUM, soit la COALICAF et comité responsabilités sociales et environnementales. Ces comités sont chargés, avec un budget alloué par la FAÉCUM, d'œuvrer dans leur domaine respectif.

Comité responsabilités sociales et environnementales[15]

Le comité responsabilités sociales et environnementales est né en mars 2012 de la fusion des comités UniVertCité, SCRUTÉ (Surveillance pour la consommation responsable universitaire et les transactions éthiques) et Projet Campus Durable. Le comité environnemental étudiant UniVertCité regroupait des étudiants et des étudiantes membres de la FAÉCUM voulant promouvoir le respect de l'environnement et les principes du développement durable. Le comité SCRUTÉ avait pour mission de développer la consommation responsable et de militer pour l'investissement éthique à l'Université de Montréal. Le projet campus durable (PCD) à l’Université de Montréal s’inscrivait dans un mouvement pancanadien visant à intégrer les principes de développement durable dans l’ensemble des activités des universités.

L'objectif du comité responsabilités sociales et environnementales regroupe ainsi tous les objectifs des comités précédents. Le comité possède trois volets: fédératif, associatif et institutionnel. Le volet fédératif implique de conseiller le Bureau exécutif de la FAÉCUM pour ses politiques et ses discours. Le volet associatif contribue à l'élaboration d'outils en lien au développement durable à l'intention des associations étudiantes et des membres. Le volet institutionnel concerne l'Université de Montréal et l'analyse de sa performance en développement durable.

Bibliographie

  • Éric Bédard, Histoire de la FAÉCUM : 1976-1994, Montréal, Fédération des associations étudiantes du campus de l'université de Montréal, .
  • Denis Gravel, Histoire de la FAÉCUM (1976-2006) : Une fédération en marche, Montréal, Archiv-Histo, (ISBN 2-920480-95-2).

Notes et références

  1. Camille Chabot-Martin, « La FAÉCUM en bref », Quartier Libre, 13 janvier 2016
  2. « Historique », sur www.faecum.qc.ca (consulté le )
  3. « Des toilettes accessibles à tous, quelle que soit son identité de genre », UdeM Nouvelles, (lire en ligne, consulté le )
  4. « Campagne sans oui, c'est non », sur www.faecum.qc.ca (consulté le )
  5. « Le tarif réduit accessible aux étudiants et étudiantes de 25 ans et plus ! », sur www.faecum.qc.ca (consulté le )
  6. « Jusqu’à 1 heure de service de plus sur la ligne bleue », TVA Nouvelles, ([http://www.tvanouvelles. ca/2017/03/26/jusqua-1-heure-de-service-de-plus-sur-la-ligne-bleue lire en ligne], consulté le )
  7. « Stage final payé pour les futurs enseignants », Le Soleil, ([https://www.lesoleil. com/actualite/education/stage-final-paye-pour-les-futurs-enseignants-64208290177e87e821d7293096d83f6c lire en ligne], consulté le )
  8. « Adoption du projet de loi 234 modifiant la Charte de l'UdeM », sur www.faecum.qc.ca (consulté le )
  9. En 2008, la cotisation était de 10,50 $ pour tous les étudiants inscrits aux sessions d'automne et d'hiver et 10,25 $ pour la session d'été
  10. Il s'agit de l'Association des cycles supérieurs de sociologie de l'Université de Montréal et de l'Association des étudiant-e-s diplômé-e-s du département d'histoire de l'Université de Montréal (AEDDHUM).
  11. FAÉCUM. 2006. Règlements généraux. FAÉCUM: Montréal, p. 26.
  12. FAÉCUM. 2006. Règlements généraux. FAÉCUM : Montréal, p. 35.
  13. L’administrateur Laurent Mercure a donné sa démission le 25 novembre 2013.
  14. FAÉCUM. 2006. Règlements généraux. FAÉCUM: Montréal, p. 86.
  15. « FAÉCUM | Services | Développement durable », sur www.faecum.qc.ca (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Lien externe

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