Escalade en solo intégral

L'escalade en solo intégral est un style d'escalade libre et en solitaire, dans lequel le grimpeur n'utilise aucun système d'assurage (ni corde, ni équipement de protection), se fiant uniquement à sa capacité à ne jamais chuter[1].

Escalade en solo intégral sur une falaise du Nevada (USA)
Alain Robert en solo intégral sur la Tour Franklin en 2002

À la différence de la pratique de bloc[2], la grimpe en solo intégral s'effectue au-delà d'une hauteur de sécurité, impliquant toujours des blessures graves ou la mort en cas de chute et ainsi un important « engagement » mental pour sa pratique.

Records et ascensions célèbres

Grimpeurs célèbres

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Alex Honnold (trad. de l'anglais), Solo intégral, Paris, Paulsen, , 341 p. (ISBN 978-2-35221-294-2)
  • Gilles Chappaz, En solo : Alpinistes et grimpeurs racontent, Grenoble, Glénat, , 336 p. (ISBN 978-2-344-01384-7)

Notes et références

  1. Jouty, Odier, Dictionnaire de la montagne
  2. La limite entre le solo intégral et le bloc est débattue dans le cas des blocs de grande hauteur (high ball).
  3. « Raven Tor, Derbyshire - Peak District, England climbing », sur www.planetmountain.com (consulté le )
  4. (en) « Heinz Zak solos Yosemite's Separate Reality », Planetmountain.com, (lire en ligne, consulté le )
  5. Bernard Vaucher , Les Fous du Verdon, Guérin, 2014
  6. (en) Jack Geldard, « Dave Macleod - 8c Solo - Interview », Ukclimbing.com, (lire en ligne, consulté le )
  7. « Solo, Part I: Alex Honnold - Alpinist.com », sur www.alpinist.com (consulté le )
  8. « Solo, Part IV: Alexander Huber - Alpinist.com », sur www.alpinist.com (consulté le )
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