Erre (Nord)

Erre est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Erre.

Erre

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Jean-Francois Daly
2020-2026
Code postal 59171
Code commune 59203
Démographie
Gentilé Errois, Erroises
Population
municipale
1 589 hab. (2018 )
Densité 270 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 21′ 47″ nord, 3° 18′ 56″ est
Altitude Min. 16 m
Max. 49 m
Superficie 5,88 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Somain
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Sin-le-Noble
Législatives Seizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Erre
Géolocalisation sur la carte : Nord
Erre
Géolocalisation sur la carte : France
Erre
Géolocalisation sur la carte : France
Erre

    Ses habitants sont appelés les Errois (ou parfois les gens d'Erre).

    Géographie

    Erre dans son canton et son arrondissement

    Commune située entre Douai et Valenciennes, situé dans le bassin minier de l'Ostrevant.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 694 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 29 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Erre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[17] et 335 242 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Somain, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,5 %), zones urbanisées (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %), forêts (0,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Histoire

    Elle fut fondée à la fin du XIIIe siècle.

    Héraldique

    Les armes d'Erre se blasonnent ainsi :"D'or à une escarboucle de sable chargée en cœur d'un rubis de gueules" .

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Avant 1981, le communiste Paul Bourgeois est à la tête de la commune.

    Alain Pakosz devient maire à l'issue des élections municipales de mars 2001.

    Lors du premier tour des élections municipales le , dix-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 1 116 inscrits, dont 368 votants (32,97 %), 18 votes blancs (4,89 %) et 322 suffrages exprimés (87,5 %). La liste Construire demain menée par le maire sortant Alain Pakosz recueille l'intégralité des suffrages exprimés, étant la seule à se présenter[24],[25]. Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[26]. Alain Pakosz est réélu, à l'unanimité, pour un quatrième mandat le 23 mai.

    Alain Pakosz en février 2020.

    Liste des maires

    Alain Pakosz démissionne en mai 2021, alors qu'il est maire depuis vingt ans, mais reste au conseil municipal en qualité d’adjoint et conserve son poste de vice-président à la communauté de communes Cœur d’Ostrevent. C'est son premier adjoint Jean-François Daly qui lui succède.

    Titulaires de la fonction de maire d'Erre
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Louis Pesin (d)années 1820
    Jacques-Antoine Josson (d)3 ans et 2 mois
    Par intérim :
    Pierre-Joseph Bourlet (d)
    (années 1800 - )
    3 mois
    Pierre-Joseph Bourlet (d)
    (années 1800 - )

    (mort en cours de mandat (en))
    14 ans
    Par intérim :
    Hubert Joseph Delin (d)
    1 mois
    Hubert Joseph Delin (d)22 ans et 5 mois
    Paul Bourgeois (d)années 1970années 1980 Parti communiste français
    Joseph Weiss (d)12 ans Parti communiste français
    Alain Pakosz (d)[27],[28],[29],[30],[31]
    (né le )
    20 ans et 2 mois apparenté PS (d)
    sans étiquette
    Jean-François Daly (d)[32]En cours4 mois

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2018, la commune comptait 1 589 habitants[Note 7], en augmentation de 7,44 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    7667378969229489579991 0971 172
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 1091 1891 2501 4281 4711 4971 4591 4371 490
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 6541 6601 5091 5901 5751 5671 5751 5901 620
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    1 6151 4651 4031 3881 3461 3551 4241 4881 589
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Erre en 2007 en pourcentage[37].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,4 
    5,1 
    75 à 89 ans
    8,6 
    11,7 
    60 à 74 ans
    13,6 
    19,3 
    45 à 59 ans
    19,5 
    23,4 
    30 à 44 ans
    21,7 
    16,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    24,4 
    0 à 14 ans
    17,7 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[38].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,6 
    75 à 89 ans
    8,2 
    10,4 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,8 
    45 à 59 ans
    19,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,9 
    22,5 
    15 à 29 ans
    20,9 
    21,5 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Économie

    Lieux et monuments

    • Le monument aux morts est situé rue Jean-Jaurès, refait dans les années 80, rend hommage à nos disparus des deux premières guerres mondiales.
    • L'église Saint-Martin.

    Personnalités liées à la commune

    Folklore

    Erre a pour géant Gaspard le Chat[39].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Erre et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Erre et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Somain », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. « Élections municipales, Erre », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 32.
    25. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Erre », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 8.
    26. « Cinquante-quatre maires du Douaisis installés entre le 23 et le 28 mai », sur https://www.lavoixdunord.fr/, La Voix du Nord, .
    27. « À Erre : Alain Pakosz reprend presque les mêmes et brigue un nouveau mandat », La Voix du Nord,  : « Alain Pakosz, maire sortant, brigue un troisième mandat. »
    28. Jean-Claude Lukaszewski, « Bilan des maires : la rénovation de l’église d’Erre, fierté d’Alain Pakosz », La Voix du Nord,  : « Alain Pakosz achève son troisième mandat de maire d’Erre. »
    29. J.-C. L., « Erre : Alain Pakosz pour un quatrième mandat », La Voix du Nord, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428, lire en ligne) :
      « Michel Koniusz, doyen d’âge, assura la première partie de la séance et remit le collier tricolore à Alain Pakosz, maire depuis 2001, élu à l’unanimité et qui entame son quatrième mandat. »
    30. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428) :
      « Erre : sans étiquette »
    31. Bruno Place, « Cœur d’Ostrevent : le président Frédéric Delannoy s’entoure de 14 vice-présidents », L'Observateur du Douaisis, (ISSN 0183-8415 et 1639-2221, lire en ligne) :
      « 2e vice-président, Alain Pakosz, maire d’Erre, délégué aux finances et aux ressources humaines »
    32. Bertrand Buissière et Jean-Claude Lukaszewski, « Erre : le maire Alain Pakosz cède sa place à son premier adjoint Jean-François Daly », La Voix du Nord, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428, lire en ligne) :
      « La population a un nouveau maire : Jean-François Daly. Alain Pakosz se met en retrait mais reste au conseil municipal en qualité d’adjoint et garde son poste de vice-président à la communauté de communes Cœur d’Ostrevent. »
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « Évolution et structure de la population à Erre en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    39. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15
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