Enercal

La Société néo-calédonienne d'énergie (Enercal) est une société d'économie mixte, détenue majoritairement par l'État français (directement ou par le biais de l'Agence française de développement) jusqu'en 2008 puis par la Nouvelle-Calédonie à compter de cette date. Il s'agit d'une entreprise de production (97 % de la production totale néo-calédonienne pour 2009-2010), de transport et de distribution d'énergie électrique, titulaire des concessions pour l'approvisionnement électrique et pour la maintenance et l'exploitation des installations de l'éclairage public dans 26 des 33 communes de l'archipel (l'ensemble de celles de la « Brousse », à l'exception de Bourail, Kaala-Gomen et Koumac, Païta mais aussi Dumbéa conjointement avec EEC dans le Grand Nouméa ainsi que Maré et Ouvéa aux Îles Loyauté).

Société néo-calédonienne d'énergie
Enercal
Création 1955
Dates clés 1959 : Inauguration du barrage de Yaté
1972 : Concessionnaire du transport d'électricité
1973 : 1re concession de distribution d'électricité
2008 : La Nouvelle-Calédonie devient actionnaire majoritaire
Fondateurs Pierre-Henri Teitgen
Personnages clés Pierre Jacquinot
Hervé de Maublanc
Jean-Pierre Aïfa
Forme juridique Société d'économie mixte
Slogan L'énergie de tout un pays
Siège social Nouméa
 Nouvelle-Calédonie
Direction Philippe Gomès (président)
Jean-Michel DEVÉZA (directeur général)
Directeurs Philippe Gomès
Actionnaires Nouvelle-Calédonie (54,42 %)
Eramet (16,30 %)
EDEV (15,98 %)
GDF Suez Énergies Services (10,79 %)
Provinces (2,50 %)
Communes (0,003 %)
Activité Électricité, services à l'énergie
Société mère Nouvelle-Calédonie
Filiales Prony Énergies
Effectif 386 (en 2010)
Site web enercal.nc

Chiffre d'affaires 19,225 milliards de francs pacifiques env.
(en 2010)

Historique

Enercal est créée le par un arrêté du ministre de la France d’Outre-Mer, Pierre-Henri Teitgen, pour s'occuper de la construction et ensuite de l'exploitation d'un barrage hydroélectrique à Yaté (puissance installée de 68 MW et une productibilité annuelle de 300 GWh d’énergies renouvelables) afin d'approvisionner l'usine métallurgique (traitement de nickel) de la Société Le Nickel (SLN) de Doniambo à Nouméa. Le chantier, l'un des premiers grands travaux qui vont ensuite s'intensifier dans les années 1960 et au début des années 1970 dans un contexte d'essor économique porté par les cours élevés du nickel (d'où l'appellation de « boom de nickel »), attire une importante main d'œuvre d'autres territoires du Pacifique, et notamment wallisienne et futunienne. Le barrage est mis en service en 1958 et inauguré le par le ministre délégué aux DOM-TOM, Jacques Soustelle. Une partie de la production est également revendue à l'Union électrique coloniale (UNELCO, ancêtre de la société Électricité et eau de Calédonie dite EEC), chargée depuis 1929 de la distribution d'électricité à Nouméa et dont les propres moyens d'alimentation étaient devenus insuffisants.

Par la suite, à partir de la fin des années 1960 et des années 1970, Enercal se développe autour de trois activités[1] :

  • la production, notamment pour accompagner l'activité métallurgique grandissante de la SLN en plein « Boom du Nickel ». Ainsi, Enercal signe deux protocoles d’accord, le puis le , avec la Société Le Nickel, celle-ci lui confiant la gestion de nouveaux moyens de production d'électricité développés à côté de son usine de Doniambo à Nouméa. Il s'agit alors de construire et de gérer deux centrales thermiques à flamme, l'une (Doniambo A) en partie destinée à la distribution publique (un de ses quatre groupes de 16 MW est d'ailleurs propriété, et non pas concession comme les autres, d'Enercal) et mise en service le , et l'autre (Doniambo B) entièrement consacrée à l'approvisionnement de l'usine (quatre groupes de 40 MW) et mise en service en . En plus de la concession des centrales de Doniambo, Enercal développe dans le quartier voisin de Ducos, une turbine à gaz de combustion (TAC), à base de kérosène, de modèle General Electric MS 5000 de 20 MW, lancée le pour écrêter les pointes de la consommation d’énergie de la distribution publique et pour servir de moyen de production de secours.
  • le transport de l'électricité sur l'ensemble du Territoire, confié en concession par la Nouvelle-Calédonie le , permet notamment de mener l'électrification de la « Brousse », avec d'abord un réseau en 33 kV, puis le développement du 150 kV à partir de 1983.
  • enfin, Enercal obtient dans ces années ses premières concessions pour assurer le service public de distribution en électricité et d'éclairage. Jusqu'ici, il n'y avait qu'une seule société concessionnaire, EEC, prestataire à Nouméa depuis sa création mais aussi, depuis les années 1970, pour les premières banlieues du chef-lieu (Mont-Dore et Dumbéa en 1970, et dans certaines des agglomérations principales ou centres administratifs secondaires de la Brousse ou des Îles, à savoir Koumac en 1975, Kaala-Gomen et Bourail en 1976 et Lifou en 1978)[2]. Le service de distribution était assuré dans les autres communes directement par les services municipaux, un marché sur lequel Enercal va s'étendre au fur et à mesure qu'elle étend son réseau de transport. Cela commence le avec la concession pour l'aéroport international de Tontouta, sur le territoire de Païta, aérodrome d'État géré par la chambre de commerce et d'industrie de Nouvelle-Calédonie sous le régime de l'arrêté d'Autorisation d'occupation temporaire (AOT) depuis 1968. Puis c'est le tout des municipalités d'affermer à la société la gestion de ce service : celles du syndicat intercommunal à vocations multiples du Sud (SIVM Sud, comprenant Païta, Boulouparis, La Foa, Farino, Sarraméa et Moindou sur la côte sud-ouest de la Grande Terre) le , suivi par celui de l'Est (SIVM Est, soit Houaïlou, Ponérihouen, Poindimié, Touho, Hienghène et Pouébo et donc la moitié nord de la côte Est) le . D'autres communes accordent individuellement la concession à Enercal qui, en 1996, se trouve être le prestataire de 27 communes sur 33.

Dans les années 1980, Enercal se concentre sur la diversification de ses moyens de production, notamment en énergies renouvelables. C'est surtout le parc hydroélectrique qui se développe, avec deux barrages construits sur le territoire de la commune de Houaïlou (ceux de la Néaoua, à partir de 1982 avec deux turbines Pelton, chacune accouplée à un alternateur de 3,6 MW, et de la , couplé au réseau en 1990 et disposant d'une turbine Pelton associée à un alternateur de 2,2 MW) et 9 micro-centrales hydroélectriques MCH (Wadiana en 1982 à Yaté, Kouaré en 1983 et Borendy en 1987 à Thio, Katrikoin en 1983 à Moindou, Village en 1983 et Ouégalé en 1991 à Pouébo, Ouaté en 1984 à Pouembout, Caavatch en 1984 à Hienghène et Gohapin en 1987 à Poya). C'est le début également du photovoltaïque et de l'éolien avec une petite ferme solaire à Fayaoué sur l'île d'Ouvéa en 1984 et le premier aérogénérateur à Mwiré sur l’île des Pins en 1986[3].

Après la signature des accords de Matignon (1988) et de Nouméa (1998), et tout particulièrement la définition des enjeux du rééquilibrage économique et géographique associé à un retour dans les années 2000 d'une envolée liée au nickel, Enercal devient un outil stratégique face à de nouveaux projets métallurgiques (usine du Nord et usine du Sud) ou d'aménagements (notamment des zones du « Grand H » puis de la conurbation VKP devant devenir un nouveau pôle urbain dans le Nord). Ainsi, l'accord de Nouméa prévoit, pur que la Nouvelle-Calédonie soit à même de disposer d’une maîtrise suffisante des principaux outils de son développement, le transfert des actions détenues par l'État dans le capital d'Enercal à la collectivité néo-calédonienne. Cette cession est effective le [4].

L'accroissement démographique, l'étalement urbain et les grands chantiers provoquent un accroissement important de la consommation d'électricité, à quoi les producteurs, dont surtout Enercal, répondent par le biais de l'énergique thermique. En 1993 est ainsi installé tout d'abord la centrale thermique à flamme Jacques-Iekawé de Népoui avec fioul à Poya (d'abord 2 moteurs diesels Wärtsilä NSD 16 V 46, chacun accouplé à un alternateur Jeumont Schneider de 12 MW, à quoi s'ajoutent en 1999 deux nouveaux moteurs de même modèle mais chacun associé cette fois à un alternateur Alsthom de 14,5 MW). Puis, en 2003, Enercal augmente la capacité de production de sa centrale de Ducos avec une nouvelle turbine à combustion ALSTOM GT-10B de 25,6 MW. Et en 2004, les différents acteurs de l'électricité en Nouvelle-Calédonie s'unissent pour la construction d'une centrale au charbon au Mont-Dore pour faire face à la montée de la demande des particuliers et à l'enjeu de l'alimentation de la future usine de Goro (qui commence sa production en 2009) : Prony-Énergies est ainsi détenue à 75 % par Enercal, le reste des actions revenant à deux filiales de GDF Suez (15 % à Elyo, devenue en 2009 Cofely, et 10 % à EEC)[5]. La première tranche de 50 MW est mise en service pour essais le et la seconde tranche le , pour une réception provisoire prononcée en 2010. S'y ajoutent à la fin des années 1990 la mise en service de petites centrales thermiques autonomes à moteur diesel : celles de Ouenghé à Ouvéa (), de Tadine à Maré () et de Comagna à l'île des Pins (1998)[6].

Activités

Production

Enercal produit la quasi-totalité de l'électricité de Nouvelle-Calédonie (97 % de la production totale), qu'elle vend ensuite aux particuliers, aux entreprises métallurgiques ou à EEC, ou qu'elle utilise pour son propre réseau de distribution. Sa capacité de production totale en 2009-2010 est de 451 MW, dont 191 MW de moyens propres, 100 MW via la centrale à charbon de sa filiale Prony-Énergies et 160 MW par le biais de la concession des centrales de la SLN. Sa production annuelle est de plus de 2 000 GWh/an en 2010. Elle a vendu en moyenne 779,8 GWh (602,4 pour la distribution publique, 177,4 aux clients d'Enercal)[7].

Ses unités de production sont :

  • 12 centrales thermiques (dont 4 principales raccordées au réseau de transport interconnecté) pour une puissance installée d'environ 370 MW (plus de 80 % de la capacité de production d'Enercal) et une production moyenne d'environ 1 800 GWh/an en 2010 (plus de 80 % de la production totale)[8], répartis en moyens propres (env. 100 MW de puissance installée, env. 200 GWh/an), via sa filiale (110 MW, env. 600 GWh/an) ou concédés (160 MW, env. 1 000 GWh) :
  • 12 centrales hydroélectriques (dont 3 principales et 6 rattachées au réseau de transport interconnecté), toutes propriétés d'Enercal, pour une puissance installée de 78 MW (17 % de la capacité totale de production d'Enercal) et une production moyenne de 250 GWh en 2010 (450 GWh en 2008, 400 GWh en 2009, entre 10 % et 20 % du total de la production d'Enercal)[13] :
    • barrage de Yaté : puissance installée de 68 MW, production moyenne de 307 GWh/an en 2009 (mais mons de 250 GWh en 2010)[14].
    • barrages de Néaoua et de la (Houaïlou) : puissance installée de 9,4 MW (respectivement 7,2 MW et 2,2 MW chacun), production moyenne de 41,6 GWh en 2009 (mais à peine 10 GWh en 2010)[15],[16].
    • 9 micro-centrales hydrauliques (MCH), dont 3 rattachées au réseau de transport interconnecté, pour satisfaire, en association avec les centrales thermiques autonomes, les besoins de villages, tribus ou communes non raccordées, pour une puissance installée totale de 457 kVA : Ouégalé (Pouébo, 147 kVA), Gohapin (Poya, 62 kVA, raccordée depuis 1998), Borendy et Kouaré (Thio, respectivement 60 kVA et 27 kVA), Caavatch (Hienghène, 56 kVA), Pouébo (56 kVA), Wadiana (Yaté, 49 kVA, raccordée depuis 2001), Katrikoin (Moindou, 30 kVA) et Ouaté (Pouembout, 26 kVA, raccordé depuis 2004).
  • 475 installations photovoltaïques intégrées au bâti (plus de 100 en Province Sud, 350 en Province Nord et environ 25 aux Îles Loyauté), à quoi s'ajoute l'exploitation de la ferme solaire de Tadine (Maré, puissance installée de 200 kW) et les centrales hybrides sur les îlots de Yenghébane et Yandé (Poum, puissance installée cumulée de 40 kW, soit 2x20 kW). La production électrique de ce parc reste néanmoins très faible[17].
  • 1 ferme éolienne à Mwiré (Île des Pins) avec 3 Vergnet qui a produit plus d’un million de kWh depuis 1999[17].
  • 1 centrale au biocarburant (huile de coprah) existe depuis 2004 à Ouenghé sur l'île d'Ouvéa : sa production était de 209 MWh (0,01 %) en 2005, 101 MWh (0,005 %) en 2006, 1 MWh (0,00005 %) en 2007, et de très faible teneur par la suite[17],[18].

Transport

Le transport d'électricité en Nouvelle-Calédonie, concédé à Enercal, se fait à partir d'un réseau interconnecté comprenant deux sous-ensembles : un réseau 150 kV (transport de l'énergie produite par les principales unités : les barrages de Yaté et Néaoua et les centrales thermiques de Doniambo, Prony, Népoui et Ducos) et des réseaux 33 kV (collationnent la production des plus petites unités et alimentent les concessionnaires de la distribution et des clients privés).

Ces deux réseaux sont organisés et reliés par dix postes d'interconnexion 150 kV / 33 kV situés, du sud au nord, à : Yaté, Prony (Mont-Dore), Ducos (Nouméa), Païta, Boulouparis, Néaoua (Houaïlou), Népoui (Poya), Témala (Voh), Ouaieme (Hienghène) et Koumac. S'y ajoutent six postes secondaires 33 kV : « Brigitte » (Dumbéa), Tontouta (Païta), Nakalé (Thio), Néra (Bourail), Poro (Kouaoua) et Taom (Voh)[19].

Il y a deux réseaux 33 kV : un sur la côte Est (de Canala à Hienghène, avec projet de l'étendre vers le nord à Pouébo, Ouégoa, Koumac et Poum), un autre sur la côte Ouest (du Mont-Dore à Voh)[19]. Le réseau 150 kV pour sa part s'étend de Yaté et Prony au sud jusqu'à Nouméa, de là sur la côte ouest jusqu'à Boulouparis, puis jusqu'à Néaoua (Houaïlou) sur la côte est pour revenir sur la côte Ouest de Népoui à Koumac. Une ligne entre les postes de Témala sur la côte Ouest et Ouaieme sur la côte Est existe également[20].

Distribution

Enercal assure la concession de service public électrique (distribution, raccordement, entretien et exploitation du réseau et de l'éclairage public) dans 27 des 33 communes de Nouvelle-Calédonie[21] :

Enercal est, de plus, toujours le concessionnaire pour l'aéroport international de Tontouta.

Cela représente au total 29 256 clients pour 2009-2010[7], soit environ la moitié des 60 000 desservis par EEC qui dispose de moins de concessions (7 communes), mais plus importantes démographiquement (surtout celles du Grand Nouméa)[22].

Organisation

Conseil d'administration

Le conseil d'administration comprend 13 membres, dont le président élu parmi six administrateurs représentants la Nouvelle-Calédonie, un pour les communes, un pour chacune des trois provinces et un également pour chacun des trois actionnaires privés (EDEV, Eramet et GDF Suez Énergies Services) à savoir[23] :

Direction générale

La direction générale[23] :

  • Directeur général : Jean-Michel DEVEZA
  • Directeur technique : Jean-Michel de Garrigues
  • Secrétaire générale : Laurence Baudier

Historique des dirigeants

Depuis 1955, ceux qui ont dirigé la société sont[24] :

  • présidents du conseil d'administration :
  1. -  : Pierre Jacquinot
  2. -  : René Tirant
  3. -  : Pierre Mollie
  4. -  : Robert Bonnal
  5. -  : Jean-Pierre Aïfa (1re fois)
  6. -  : Vacant
  7. -  : Jean-Pierre Aïfa (2e fois)
  8. -  : Hervé de Maublanc
  9. -  : Jean Velitchkovitch
  10. -  : Claude Abraham
  11. -  : Jean-Claude Hirel
  12. -  : Vacant
  13. depuis le  : Jean-Pierre Aïfa (3e fois)
  • directeurs généraux :
  1. -  : Hervé de Maublanc
  2. -  : Fernand Lesguillons
  3. -  : Michel Delatouche
  4. -  : Clément Cros
  5. -  : Jean Wilkowski
  6. -  : Jean-Pierre de Mazancourt
  7. -  : Daniel Datcharry
  8. depuis le  : Jean Bégaud

Effectifs

Enercal emploie 386 collaborateurs en 2010[7].

Références

  1. « L'Histoire d'Enercal : De 1955 à 1973 », site officiel d'Enercal
  2. Présentation des concessions d'EEC sur son site officiel
  3. « L'Histoire d'Enercal : De 1974 à 1992 », site officiel d'Enercal
  4. « L'Histoire d'Enercal : De 2008 à nos jours », site officiel d'Enercal
  5. [PDF] Musée d'EEC sur son site officiel
  6. « L'Histoire d'Enercal : De 1993 à 2007 », site officiel d'Enercal
  7. Présentation de la société, site officiel d'Enercal
  8. Production d'électricité d'origine thermique, tableau, Moyens de production, site d'Enercal
  9. Moyens de production : Centrale thermique de Népoui, site d'Enercal
  10. Moyens de production : Centrale thermique de Ducos, site d'Enercal
  11. Moyens de production : Centrale thermique de Prony Énergies, site d'Enercal
  12. Moyens de production : Centrale thermique SLN de Doniambo, site d'Enercal
  13. Productions d'électricité d'origine hydraulique, tableau, Moyens de production, site d'Enercal
  14. Moyens de production : Aménagement hydroélectrique de Yaté, site d'Enercal
  15. Moyens de production : Aménagement hydroélectrique de Néaoua, site d'Enercal
  16. Moyens de production : Aménagement hydroélectrique de la Tû, site d'Enercal
  17. Autres moyens de production d'énergie renouvelable, site d'Enercal
  18. [PDF] Électricité - Production, ISEE
  19. [PDF] Plan des réseaux de transport 33 kV d'Enercal, site officiel d'Enercal
  20. Le Réseau Interconnecté, site officiel d'Enercal
  21. « La distribution : Nos concédants », site officiel d'Enercal
  22. Présentation de l'entreprise EEC sur son site officiel
  23. Actionnariat et gouvernance, site d'Enercal
  24. Histoire d'Enercal : les gouvernants, site officiel d'Enercal

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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