Endom

Endom est une commune et le troisième arrondissement du département du Nyong-et-Mfoumou de la région du Centre au Cameroun. Endom fut en un district en 1968, puis 1981 la ville est devenue arrondissement.

Endom
Administration
Pays Cameroun
Région Centre
Département Nyong-et-Mfoumou
Démographie
Population 14 789 hab.[1] (2005)
Géographie
Coordonnées 4° 05′ 04″ nord, 12° 33′ 00″ est
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Région du Centre (Cameroun)
Endom
Géolocalisation sur la carte : Cameroun
Endom
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Endom

    Population

    Lors du recensement de 2005, la commune comptait 14 789 habitants[1], dont 1 758 pour Endom proprement dit.

    Organisation

    Outre Endom et ses quartiers, la commune comprend les villages suivants[1] :

    • Akak
    • Akoaloui
    • Atong
    • Beta
    • Biba
    • Bikomam
    • Bikoum
    • Binyenyali
    • Bitetele
    • Bitsok Adjap
    • Biyeng
    • Eboman
    • Edjom
    • Efoulan
    • Ekomba
    • Ekoudou
    • Enonen
    • Esseng
    • Eyek
    • Koutekomo
    • Kpwamendjing
    • Kpwamendjing
    • Man
    • Mebassa I
    • Mebem
    • Mebomo
    • Medjeme
    • Mefindi
    • Meyemaya
    • Meyo
    • Mfouladja
    • Mkoumadjap 3 Meka
    • Monengombo
    • Ndombe
    • Ngoui
    • Nko'oveng
    • Nkoambang
    • Nkolmewout
    • Nkolse
    • Nkoltom
    • Nkomendong
    • Nyadogo
    • Tap
    • Tombo
    • Zomo
    • Zoulou

    Histoire

    À l’origine, Endom n’était qu’une concentration de cacaoyères et de cultures vivrières implantées sur le site de l’actuel périmètre urbain. En fait, pour départager les localités d’Edjom et d’Ekoudou, qui se battaient avec acharnement pour être le chef-lieu de la nouvelle unité administrative, les pouvoirs publics ont joué de sagesse pour trouver un village neutre, situé à égale distance entre les deux principales rivales. Ainsi le choix s’est porté sur Endom, qui réunissait plus ou moins tous ces critères. En 1965, l’unité administrative, qui voit le jour, sera érigée en arrondissement en 1981. Ainsi est née, Endom, qui était tout simplement le nom donne aux plantations de cette localite. Du temps où les populations locales disaient « maké Endom », qui se traduit par « je vais au champ ».

    Notes et références

    1. Troisième recensement général de la population et de l'habitat (3e RGPH, 2005), Bureau central des recensements et des études de population du Cameroun (BUCREP), 2010.

    Annexes

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    • Endom en bref Auteur Atangana Eteme Eméran
    • Endom, sur le site Communes et villes unies du Cameroun (CVUC)
    • Portail du Cameroun
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