Dabo

Dabo est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Dabo.

Dabo

Le rocher de Dabo, vu depuis Dabo.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Sarrebourg-Château-Salins
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Phalsbourg
Maire
Mandat
Éric Weber
2020-2026
Code postal 57850
Code commune 57163
Démographie
Gentilé Daboisiens
Population
municipale
2 476 hab. (2018 )
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 39′ 15″ nord, 7° 14′ 16″ est
Altitude Min. 236 m
Max. 945 m
Superficie 48,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Sarrebourg
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Phalsbourg
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Dabo
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Dabo
Géolocalisation sur la carte : France
Dabo
Géolocalisation sur la carte : France
Dabo

    Ancien chef-lieu du comté du même nom, Dabo est rattaché à la France en 1793. Située aux confins de la Lorraine et de l'Alsace, la commune fait partie du pays de Sarrebourg.

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Dabo est un village, situé en plein cœur du Massif des Vosges mosellan, entre Sarrebourg, Phalsbourg et Saverne. Le vaste territoire de la commune s’étend sur le versant ouest du massif vosgien, dans sa partie gréseuse. Ce grès du Buntsandstein, âgé d’environ 240 à 250 millions d’années, constitue un élément marquant du milieu : il se décline dans des reliefs ruiniformes, tout à fait classiques du modelé en structure gréseuse en de multiples endroits de la commune, comme au lieu-dit des Rochers des Corbeaux. Les espèces végétales sont bien adaptées au substrat gréseux qui confère un haut degré d’acidité aux sols : les épineux ou les fougères couvrent une importante partie du ban communal.

    Le rocher de Dabo et sa chapelle Saint-Léon.
    Les roches de grès autour de Dabo.

    L’emblème de la localité, le rocher de Dabo, culmine à 647 mètres, au droit d’un sommet de grès. Il doit son élévation à un grès davantage induré par la présence d’éléments détritiques du type galets : l’érosion différentielle n’a donc pas réussi à venir aussi facilement à bout de ce grès plus résistant (voir poudingue). Le relief contraint les vents humides d’ouest à abandonner un surplus de précipitations sur ces contreforts vosgiens par rapport au plateau lorrain : il pleut en moyenne plus de 1 000 millimètres de précipitations à Dabo alors que la lame d’eau précipitée dépasse légèrement 800 millimètres à Sarrebourg et 740 à Metz.

    Linguistiquement, au XIXe siècle, la commune est majoritairement francique rhénane avec des minorités alémaniques au nord et à l'est.

    Villages et hameaux

    Les habitants de la commune résident dans quatre villages : Dabo, Schaeferhof (dont Galgenthal), Hellert et La Hoube et dans une dizaine de hameaux : Neustadtmühle, Baerenloch, Kuhberg, Lochmuehl (ou Lochmühle), Ballerstein, Ententhal, Rothenbuhl, Falkenfelsen, Hengst, Hoelsberg, Hohweck/Hohwecktal, Horenzmatt, Hopstein, Jaegerhof (ou Jägerhof), Koeppenhof (ou Köppenhof), Laschbach, Raupengarten, Schlossberg, Schneematt, Spitzberg[1] et Zimmerfeld.

    Urbanisme

    Typologie

    Dabo est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarrebourg, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 87 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (90,9 %), zones urbanisées (6,1 %), prairies (2,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    • D'un nom de personne germanique Dago suivi du germanique -burg « lieu fortifié »[9].
    • Ancien noms[10],[9]: Dasborc/Tasborc (1178), Dasburch (1188), Tagesbuch (1158), Tagesburch (1175), Dasburg (1189), Dasbor (1206), Dagesburg (1227), Tagesburg (1239), Dagespurg (1313), Dachspurg (1576), Dagsburg (1754)[11], Dabo (1793), Dabo ou Dagsbourg (1845), Dagsburg (1871-1919 et 1940-1944)
    • En francique lorrain : Dockschbuerj [12] et Dàgschburri, en vosgien : Dabo, en allemand : Dagsburg[13].

    Sobriquets

    Surnoms sur les habitants : Die Fuchs (les renards)[14]

    Histoire

    Le rocher de Dabo gravé par Matthäus Merian dans Topographia Alsatiae.

    Des vestiges attestent de la présence humaine dès l’âge de pierre, puis des Celtes, des Triboques, des Romains puis des Francs.

    Trois familles possédèrent Dabo : la famille de Dagsbourg, issue des ducs d’Alsace et des Carolingiens (IXe-Xe siècle) ; la famille d’Eguisheim jusqu’au début du XIIIe siècle ; la famille de Linange (von Leiningen), dont les descendants Linange-Heydesheim et Linange-Hartenbourg, résidèrent en Allemagne[14].

    Les familles comtales

    Le comté de Dabo appartint aux Étichonides[15] Hugues Ier, comte du Nordgau (Alsace), au début du Xe siècle, puis à son fils Eberhard IV vers 934. C’est à cette époque que fut construit le château de Dabo (Dachsbourg à l'époque, ou encore Dagsburg en allemand). Les murailles encerclaient tout le pourtour du rocher et comprenaient une tour d’habitation, de petites tours de guet et un bâtiment pour les réserves et les écuries, ainsi qu’un puits pour la réserve d’eau (encore visible aujourd’hui derrière la chapelle). Jouissant de l'immédiateté impériale, le comté de Dabo resta terre d’Empire jusqu’en 1793.

    La petite-fille d’Eberhard, Helwige, apporta le comté de Dagsbourg à son époux Hugues VII, comte d'Eguisheim (mort en 1048). Le plus illustre représentant de cette branche d'Eguisheim-Dabo fut leur fils Brunon ou Bruno de Dabo, évêque de Toul puis pape, canonisé en 1087 (saint Léon IX).

    Le comté passa en 1234 à la famille de Linange (ou Leiningen en allemand) lorsque l'héritière du comté, Gertrude de Dabo, fille et héritière d'Albert II de Dabo-Moha et de Gertrude de Bade, laissa veuf son troisième époux, Simon de Linange, qui reprit le titre en 1234. Ce sont les Linange-Dabo qui régnèrent sur le comté jusqu'à la Révolution.

    Les occupations françaises

    Le , l’Alsace fut cédée à la France par les traités de Westphalie. Les comtes de Linange-Dabo, qui refusèrent allégeance à Louis XIV engagé dans la politique des Réunions, prirent les armes contre lui en 1672. Mais après un long siège devant le château, qui constituait un obstacle à l’avancée des troupes, celui-ci dut capituler le . Le château de Dabo fut rasé en 1679 sur ordre de Louis XIV et de Louvois, son ministre d’État.

    Le traité de Ryswick en 1697 rendit pourtant le comté aux Linange-Dabo, principauté germanique maintenant enclavée entre le duché de Lorraine redevenu indépendant et l'Alsace devenue française.

    En 1793, les Linange-Dabo comptèrent parmi les princes possessionnés que la Convention nationale déposséda, afin de réunir leurs seigneuries à la France ; le comté de Dabo fut alors rattaché au département de la Meurthe. Le traité de Lunéville du , conclu entre Bonaparte et le Saint-Empire romain germanique, octroya aux Princes de Linange, en compensation de leurs pertes territoriales en France, des compensations en Allemagne, en particulier Amorbach en Bavière.

    Une vocation symbolique

    Le rocher resta nu pendant un siècle et demi, puis une chapelle consacrée à saint Léon y fut érigée en 1825. À la suite des intempéries, le bâtiment fut démoli en 1889 et reconstruit en style roman avec ajout d’une tour qui servira de belvédère (selon les vœux de Strieve, fondateur du Club vosgien). La nouvelle chapelle fut inaugurée le .

    Un sommet informel franco-allemand s’est tenu le à Dabo entre le président François Mitterrand et le chancelier Helmut Kohl.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca. 1966   Paul Anstett    
    mars 1989 mars 2001 Joseph Husser    
    mars 2001 mars 2008 Claude Anstett DVD  
    mars 2008 mai 2020[16] Joseph Weber UMP-LR Retraité
    mai 2020 En cours Éric Weber[17] LR[18] Responsable de division commerciale
    1er vice-président de la CC du Pays de Phalsbourg (2020 → )

    Économie

    Le siège social de l'entreprise de travaux publics Lingenheld se trouve à Dabo[19].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

    En 2018, la commune comptait 2 476 habitants[Note 3], en diminution de 4,95 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2001 4391 4461 8312 0802 1832 2582 3412 382
    1856 1861 1871 1875 1880 1885 1890 1895 1900
    2 3872 5162 5632 6352 7572 7452 8872 8123 037
    1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    3 0903 0722 9533 0042 9753 0212 9872 8862 993
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    3 0082 9822 9132 7892 7802 6702 6252 5382 476
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils et curiosités naturelles

    Maisons troglodytiques.
    • Le rocher de Dabo, culminant à 650 mètres, surmonté de la chapelle Saint-Léon (664 mètres).
    • Le promontoire-belvédère du Backofenfels, avec son vaste panorama sur le rocher de Dabo et le plateau lorrain (740 mètres).
    • Le promontoire d’escalade du Falkenfelsen, entre Hellert et Haselbourg (426 mètres) : superbe vue sur Dabo et sa vallée, maisons troglodytiques au pied de la falaise, voies d’escalade variées, etc.
      • Ces maisons troglodytiques du Falkenfelsen datent de bien avant la construction des premières maisons de Hellert en 1789. Un recensement de 1872 dénombre 38 personnes vivant sous les rochers en marge de la société. En 1894, l’administration allemande fait sauter ces habitations pour obliger les habitants à résider dans les villages (indications figurant sur le panneau à l’entrée du site). Seules subsistent trois habitations situées sur des domaines privés, soigneusement restaurées et qui peuvent être visitées.
    • Le circuit VTT de l’Eichelkopf (accessible depuis le col forestier de la Schleif, ou aussi, depuis le hameau de la Hoube).
    • Le rocher du Nutzkopf (515 m), avec son beau et confortable sommet (banc de repos et vue).
    • Le Steinerne Mænnel, ou « hommelet de pierre », est un monolithe aux formes anthropomorphes situé dans la vallée de la Mossig, près du sommet du Grand Rosskopf.
    • De nombreux circuits pédestres balisés permettent des randonnées sans difficultés et d’admirer la région depuis les nombreux belvédères (Site web des Randonnées pédestres).
    Cimetière romain de Beimbach.
    Détail d’une ouverture à la base de la pierre tombale.
    • Site de l'Altdorf : Regroupement de ruines de maisons, longtemps interprété comme un hameau gallo-romain, correspondrait en fait au village disparu d'Oberzorn[24].
    • Au lieu-dit les Trois Saints sur les hauteurs du village de Walscheid est situé un petit cimetière. Ce cimetière est tout ce qui reste d'un village d'époque gallo-romaine.

    Les historiens du XIXe siècle pensaient qu'un camp retranché romain existait sur le plateau séparant la vallée de la Briévre et la vallée de la Beimbach. Des recherches plus récentes ont déterminé qu'à la place d'un camp retranché, nous avons affaire à des habitations établies à flanc de coteau près de sources. Ces habitations étaient regroupées en village ou étaient des fermes isolées. Au temps de la Pax Romana, vivait dans les Vosges, une nombreuse population gallo-romaine. L'Empire romain construisait beaucoup et les Vosges fournissaient le bois et les pierres nécessaires. Les familles établies ici exploitaient les carrières et la forêt, tandis que d'autres cultivaient la terre et élevaient des bêtes pour les nourrir.

    Le cimetière regroupe dans un enclos trente et une pierres tombales. Le cimetière a été largement pillé par les archéologues du XIXe siècle. En 1862, la Société Impériale des Antiquaires de France fit une razzia sur les plus belles pierres. Celles-ci ont rempli les musées de Saverne, de Colmar, de Strasbourg, de Metz et de Saint-Germain-en-Laye. Les tombes gallo-romaines visibles ici sont constituées d'une dalle rectangulaire posée à plat sur le sol, surmontée d'une pierre taillée en forme de maison. La dalle possède en son centre une cavité destinée à recevoir l'urne funéraire. À l'époque, les corps étaient incinérés. La pierre en forme de maison possède parfois une ouverture communiquant avec la cavité permettant la dépose d'offrandes. La pierre tombale avait la forme d'une maison pour que le mort se sente chez lui durant le grand voyage. Souvent la stèle maison est décorée de symboles tels que des roues solaires. Ces stèles maison sont une production typique de la culture des sommets vosgiens qui s'est développée lors de la conquête romaine dans le Nord des Vosges.

    Le nom des Trois Saints serait lié à une légende racontée par les habitants de Walscheid. Ces habitants auraient vu, sur ce sommet, une procession fantomatique de trois hommes portant des bannières. Ceci s'est passé il y a bien longtemps.

    • La cristallerie de Dabo et les tailleurs de cristal montrent tout l’art du travail du verre et de la décoration par taillage (tailleur sur cristal).

    Édifices religieux

    • Chapelle Saint-Léon, construite en 1825, démolie en 1889 et reconstruite en style néo-roman sur le rocher de Dabo : armes et statue de saint Léon IX.
    • Église Saint-Blaise XVIIIe siècle, agrandie début XXe siècle : autels XVIIIe siècle, grande toile de l’Assomption XVIIe siècle.
    • Église Saint-Pierre de (la Hoube) XVIIIe siècle
    • Église Saint-Hilaire à (Hellert) XXe siècle
    • Église Saint-Joseph à (Schaeferhof) XIXe siècle
    • Chapelle Sainte-Odile à (Schaeferhof).

    Personnalités liées à la commune

    • Le pape Léon IX (1002-1054) serait né à Dabo, ce que conteste la ville alsacienne d’Eguisheim, se réclamant également la patrie du saint homme, ainsi que le village lorrain de Walscheid.
    • Ignace Schott (1818-1883), graveur, peintre, décorateur, maître de dessin, né à Dabo et mort à Détroit aux États-unis, est le père du peintre américain Leon Dabo (1874-1960) né Pierre Paul Léon Schott à Saverne, et de son frère Theodore Scott-Dabo (en) (1865-1928), également peintre renommé. Ils ont américanisé leur patronyme en enlevant le h, et en y adjoignant le nom de leur village originel.

    Héraldique

    Blason
    D'argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules, à la bordure du même, au rais d'escarboucle fleurdelisé d'or, brochant sur le tout.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Fêtes et coutumes

    • Une ancienne coutume qui remonte au XVIe siècle, à la suite du repeuplement de la région par des colons venus de France, de Bavière, de Suisse et du Tyrol, les seigneurs leur accordèrent de nombreux droits forestiers, dont le plus ancien date de 1569. Encore de nos jours les descendants de ces colons bénéficient de l’octroi de 8 arbres résineux par an (droit dit du Bois Bourgeois de Dabo). Cette coutume donne lieu à une importante foire annuelle qui se déroule après le 11 novembre.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Kaspius, La chouette histoire du rocher de Dabo, Tarquimpol, Kaspius, , 100 p. (ISBN 978-0-244-05689-6)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Fondation du Patrimoine : Maison forestière du Spitzberg.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sarrebourg », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes.
    10. Dictionnaire géographique de la Meurthe, avec une carte du Département - Henri Lepage (1860)
    11. Registres paroissiaux consultables en ligne sur le site de la commune de Dabo.
    12. Geoplatt
    13. Cours d'histoire des états Européens (Tome quatrième) - Friedrich Schoell - 1830
    14. Passé-Présent : La Moselle dévoilée N°9 (Juin-juillet-août 2013)
    15. Etichon-Adalric d’Alsace, neveu de Sainte Odile, fut duc d’Alsace.
    16. « Joseph Weber s’en va avec le sentiment du devoir accompli », L'Est Républicain, (lire en ligne).
    17. « Premier mandat pour Éric Weber », Les Dernières Nouvelles d'Alsace, (lire en ligne).
    18. Extrait de la fiche de M. Eric WEBER, sur lesbiographies.com
    19. Contacts sur le site de Lingenheld.
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    24. http://www.adlfi.fr/SiteAdfi/document?base=base_notices&id=N2001-LO-0121
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