Dévalkart

Le DévalKart est un petit karting sans moteur, au châssis mécano-soudé et à coque en polyester rigide pesant environ 40 kg. Le véhicule ne possède pas de suspension, il est donc équipé de pneus en caoutchouc à basse pression pour le confort de l’utilisateur[1]. Ce karting est destiné aux stations de ski et aux parcs de loisirs. Il peut être utilisé sur les pistes de ski lors des périodes de faible enneigement en bénéficiant des remontées mécaniques en place accrochée au volant, parfois des pistes de DévalKart sont spécialement conçues pour fonctionner en été. Des systèmes de remontée plus spécifiques ont été étudiés par le constructeur si le site d’exploitation est dépourvu de tout équipement.

Il existe également d'autres types de DévalKart, comme le DévalKart ice, le DévalKart cross, ou encore le DévalKart électrique.

Fonctionnement

Freins

  • Position haute : Si l'utilisateur désire descendre la pente en roue libre, il doit lever légèrement le volant de direction supprimant ainsi l’action du frein. C'est dans cette position que l’utilisateur peut diriger le DévalKart, et que le karting atteint sa vitesse maximale.
  • Position initiale : Si l'utilisateur ne touche pas au volant, ce dernier reprend sa position initiale sous l’effet du ressort et agit légèrement sur le frein à bande, cependant cette action n'est pas suffisante pour freiner le DévalKart si celui-ci a pris de la vitesse.
  • Position basse : Si l'utilisateur appuie sur volant (vers le bas), le couple de freinage va s'accentuer et faire freiner le DévalKart.

Pneus

Les pneus en caoutchouc synthétique sont plus grand à l'arrière (36 cm) qu'a l’avant (37 cm), généralement de couleur noir, jaune, ou plus rarement rouge.

Taille du conducteur

Selon la taille du conducteur, les cales pieds peuvent être rabattues pour laisser plus de places aux jambes.

Notes et références

  1. Pierre-Yves Vigneron et Béatrice Pasturel, « De la fiche technique « producteur » au cahier des charges « utilisateur » », Oléagineux, Corps gras, Lipides, vol. 12, nos 5-6, , p. 385–388 (ISSN 1258-8210 et 1950-697X, DOI 10.1051/ocl.2005.0385, lire en ligne, consulté le )
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