Curzay-sur-Vonne

Curzay-sur-Vonne est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Curzay et Vonne (homonymie).

Curzay-sur-Vonne

Le château de Curzay-sur-Vonne.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Poitiers
Maire
Mandat
Jean-Michel Choisy
2020-2026
Code postal 86600
Code commune 86091
Démographie
Gentilé Curzéens
Population
municipale
398 hab. (2018 )
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 29′ 30″ nord, 0° 02′ 47″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 159 m
Superficie 16,52 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lusignan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Curzay-sur-Vonne
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Curzay-sur-Vonne
Géolocalisation sur la carte : France
Curzay-sur-Vonne
Géolocalisation sur la carte : France
Curzay-sur-Vonne

    Géographie

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Curzay-sur-Vonne
    Boivre-la-Vallée
    Sanxay
    Rouillé Jazeneuil

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Vonne.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 797 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Menigoute_sapc », sur la commune de Ménigoute, mise en service en 1950[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 959,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 22 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Curzay-sur-Vonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,5 %), prairies (20,5 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), zones urbanisées (2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de Curzay-sur-Vonne est formé de deux toponymes gaulois :

    • cor-ceton pour Curzay, qui signifie « petit bois » (cor signifie « petit » et ceton signifie « bois ») ;
    • vidunna pour Vonne, qui signifie « rivière de la forêt » (vidunna est formé de la base vidu- qui signifie « bois »).

    Le nom de Curzay pourrait provenir, aussi, du nom du premier seigneur du site: Arnulfus de Cursiaco[20].

    Avant 1945, le nom de la commune était simplement Curzay. « sur Vonne » a été officiellement ajouté cette année-là afin d'éviter les méprises avec Curçay, située dans le même département, et qui s'est alors nommée elle-même « Curçay-sur-Dive ».

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[21]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1861 janvier 1883 Jean-Pierre Quinçais sans cultivateur
    1884 octobre 1889 Jean-Pierre Gatineau sans cultivateur
    1889 juillet 1917 Jean Baptiste Métayer sans régisseur du château
    1920 octobre 1939 Elie Duval de Curzay sans vicomte de Curzay
    1946 mars 1971 René Moisant sans régisseur du château
    mars 1971 mars 1977 Jacques Stanislas sans  
    mars 1977 mars 2001 Joseph Pasquier sans  
    mars 2001 mars 2008 Reine Bonnin sans  
    mars 2008 mars 2014 Joseph Pasquier sans  
    mars 2014   Jean-Michel Choisy sans  

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Démographie

    Ses habitants sont appelés les Curzéens[22]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

    En 2018, la commune comptait 398 habitants[Note 7], en diminution de 9,13 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8378331 040846942876921917849
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    846854810849876873870821786
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    776799802709695672701650653
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    605518477529460426458463426
    2018 - - - - - - - -
    398--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 28 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France

    Économie

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[27], il n'y a plus que douze exploitations agricoles en 2010 contre 22 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont chuté de 35 % et sont passées de 1 166 hectares en 2000 à 758 hectares en 2010. 43 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement), 31 % pour les oléagineux (colza) , 11 % pour le fourrage et 10 % reste en herbes[27].

    Trois exploitations en 2010 (contre neuf en 2000) abritent un élevage de bovins (165 têtes en 2010 contre 521 têtes en 2000). quatre exploitations en 2010 (contre cinq en 2000) abritent un important élevage de chèvres (3 250 têtes en 2010 contre 2 371 têtes en 2000)[27]. C’est un des troupeaux importants de caprins du département de la Vienne ( 74 500 têtes en 2011) qui est le deuxième département pour l’élevage des chèvres derrière le département des Deux-Sèvres[28]. L'élevage de moutons a connu une baisse importante : 710 têtes en 2000 répartis sur onze fermes contre 78 têtes en 2010 répartis sur trois fermes[27]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[28]. L'élevage de volailles est anecdotique : 291 têtes en 2000 sur dix fermes et 86 têtes en 2010 pour six exploitations[27].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le château est inscrit comme Monument Historique depuis 1927. Les façades et les toitures de l'aile sud des communs, la grange dimière, la chapelle et le bâtiment situé à l'ouest de la grange, le sont depuis 1983.

    • L'église de Saint-Martin de Curzay :
    L'église de Curzay-sur-Vonne en 2008.

    L'église de Saint-Martin de Curzay fut construite au tout début du XVIe siècle, très probablement par Artus Ratault, seigneur de Curzay. À l'origine, c'était la chapelle funéraire des seigneurs de Curzay. Elle s'appelait Notre-Dame-de-Recouvrance. C'était une simple chapelle sans transept.

    • La chapelle : Devenue trop petite du fait de l'accroissement de la population au XIXe siècle, l'État, en 1836, construisit une chapelle latérale, côté nord, dédiée à la Vierge Marie. En 1838, la famille Duval de Curzay fait construire le pendant, côté sud, en y ajoutant le clocher que l'on voit de nos jours. Les deux chapelles forment ainsi le transept.

    Au XXe siècle, l'église était en très mauvais état. Le Vicomte de Curzay proposa alors de construire une nouvelle église en assurant lui-même le financement des travaux. Les discussions avec l'administration des Monuments Historiques durèrent une bonne vingtaine d'années. L'église est classée Monument Historique en 1925. La solution retenue fut, alors, un agrandissement de l'édifice classé. Le vicomte avança les fonds en 1930 pour la réalisation des travaux qui ne furent, en fin de compte, jamais terminés, notamment le chœur. C'est dans cette partie que s'installa en 1988 le musée du vitrail.

    Le mobilier fut complètement rénové au début des années 1950. Les chaises disparurent au profit de bancs modernes. L'autel, le confessionnal, la croix au-dessus du retable, le couvercle des fonts baptismaux ainsi que le porte-cierge pascal furent réalisés par un artisan de la commune suivant les plans dessinés par dom Bercher de l'abbaye de Ligugé.

    Au début des années 1980, les murs furent piquetés et enduits. Le confessionnal, autrefois dans la chapelle de la Vierge, remplaça le banc du château. Ceci permit de mettre en valeur les fonts baptismaux du XIIe siècle situés dans la chapelle du clocher. Ils étaient autrefois, dans l'ombre, au fond de l'église près du portail.

    Le retable avec les anges date du XVIIe siècle, le Christ en croix et le fauteuil du célébrant sont du XVIIIe siècle.

    Le plan de l'église à la forme d'une croix latine. La nef est formée de quatre travées de voûtes d'ogives de style flamboyant. Les nervures des voûtes retombent sur des culs-de-lampe figurés. Ils ont été décapités lors de la Révolution. Ceux qui étaient à la croisée du transept représentaient les quatre symboles des évangélistes, à savoir le lion pour Marc, le taureau pour Luc, le jeune homme pour Matthieu et l'aigle pour Jean.

    La façade occidentale est surmontée d'un pignon qui supporte une élégante croix en fer forgé.

    Le portail est formé de trois arcs à gorges et archivoltes. L'ensemble est orné de crochets, d'un fleuron et de pinacles sculptés.


    Le Musée du Vitrail est l’une des rares structures consacrées au vitrail en France. Il est installé dans une partie non-cultuelle de l’église Saint-Martin de Curzay-sur-Vonne, dans la Vienne depuis 1988. Il est rattaché à Grand Poitiers communauté urbaine depuis janvier 2017.

    Le Musée du Vitrail propose un éclairage sur l’histoire de cet art ancestral, les différentes techniques de fabrication et il met à l’honneur le vitrail contemporain. Il valorise les œuvres et les artistes verriers dont la vision moderne du vitrail contribue à sa richesse et sa diversité. Il propose de découvrir le vitrail dans ses dimensions historiques, artistiques et techniques à travers son parcours permanent, ses expositions temporaires et les actions mises en place dans son Atelier.

    Le parcours permanent présente, au rez-de-chaussée, une partie de la collection du Musée, des vitraux religieux mais également civils du 15e siècle à nos jours, où murs didactiques et tactiles, vidéos, tablettes participent à une scénographie pédagogique accessible pour chaque visiteur. Les expositions temporaires, installées à l’étage, proposent de découvrir suivant une thématique annuelle donnée des créations d’artistes verriers contemporains.

    Le Musée du Vitrail, ouvert d’avril à novembre, propose des visites guidées tous les jours ouvrables à 15h, des audioguides en trois versions (adulte et enfant en français, et adulte en anglais), et pour le jeune public un espace ludique.

    L’Atelier, situé en face du Musée, ouvre ses portes toute l’année et propose des ateliers adaptés suivant les publics accueillis (enfants dès 3 ans, adultes, personnes en situation de handicap, scolaires), des stages adultes d’initiation à la pratique du vitrail (technique traditionnelle au plomb) guidés par un vitrailliste professionnel, des temps d’échanges, de découverte et de démonstrations avec des artistes verriers, des résidences d’artiste estivales.


    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Illustration filmée : le musée du Vitrail dans l'émission La Carte au trésor diffusée sur France 3 le 6 juillet 2009.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Menigoute_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Curzay-sur-Vonne et Ménigoute », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Menigoute_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Curzay-sur-Vonne et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    21. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    22. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    28. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
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