Crouy

Crouy est une commune du département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Crouy (homonymie).

Crouy

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Soissons
Intercommunalité GrandSoissons Agglomération
Maire
Mandat
Claude Platrier
2020-2026
Code postal 02880
Code commune 02243
Démographie
Gentilé Crouyssien(ne)s
Population
municipale
2 912 hab. (2018 )
Densité 281 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 09″ nord, 3° 21′ 36″ est
Altitude Min. 40 m
Max. 165 m
Superficie 10,38 km2
Unité urbaine Soissons
(banlieue)
Aire d'attraction Soissons
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Soissons-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Crouy
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Crouy
Géolocalisation sur la carte : France
Crouy
Géolocalisation sur la carte : France
Crouy
Liens
Site web crouy.fr

    Ses habitants sont les Crouyssiens (un Crouyssien, une Crouyssienne, surnommés les Vendéens).

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Localisation

    Relief et géologie

    Crouy se situe au pied de plateaux[Lesquels ?] dominant la vallée de l'Aisne.

    Hydrographie

    La ville est traversée par la rivière Jocienne (ou Jossienne) qui se jette dans l'Aisne sur le territoire de la commune.

    Voies de communication et transports

    La ville est desservie par la route nationale 2, la ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière) (gare de Crouy) et les transports urbains de l'agglomération de Soissons, les TUS, qui effectuent des rotations du lundi au samedi via les Clémencins.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 736 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soissons », sur la commune de Soissons, mise en service en 1963[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 730,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 46 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Crouy est une commune urbaine[Note 5],[14]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Soissons, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[17] et 43 098 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Soissons, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 93 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,3 %), forêts (24,2 %), zones urbanisées (22 %), prairies (3 %), eaux continentales[Note 7] (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Croviacun et Crociacum des écrits mérovingiens[24].

    Histoire

    Une nécropole de la Tène ancienne a été découverte en 1767, puis un gisement gallo-romain en 1899 au lieu-dit Justice.

    Moyen Âge

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (mai 2015). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

    Crouy était une villa qui devint royale, Clothilde y avait un oratoire, le village fut donné l'abbaye Saint-Médard de Soissons vers 511[24]. En 720, Charles Martel confirma cette donation[24].

    En 1148, Crouy se créait en communale et rejoignait des communes voisines comme Bucy-le-Long à l'est de la commune. Cette forme communale ne subsistait que quelques années et la ville ne devint libre qu'en 1247 par un acte de Jean comte de Soissons. La ferme Perrière avait des restes du XIIIe siècle, murailles, tour et arc brisés supportés par des colonnes en faisceaux. La Pierre frite est un promontoire de 12 m sur 6 qui s'avance sur la vallée et passe pour être un monument celtique.

    Époque contemporaine

    Le village, au sortir de la Première Guerre mondiale.

    Crouy, située dans la vallée de l'Aisne, a souffert des combats opposant les armées françaises et allemandes lors de la Première Guerre mondiale, notamment en janvier 1915[25]. L'église fut détruite, de même qu'une grande partie de la commune.

    Le 8 novembre 2008, peu avant les cérémonies du 90e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale, le chemin des Chenaux à Crouy est devenu la rue Lazare-Ponticelli (1898-2008) dernier poilu de la guerre 1914-1918 ». L'écrivain Henri Barbusse avait dédié son livre Le Feu à ses camarades tombés à Crouy et dont certains ont peut-être été ramassés par Lazare à qui cette tâche a incombé au sein du 1er régiment de marche de la Légion étrangère.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Crouy est membre de l'intercommunalité GrandSoissons Agglomération, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Cuffies. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[26].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Soissons, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[27]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Soissons-1 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[27], et de la quatrième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Maire en 1983 mars 1989 Victor Poreaux    
    mars 1989 2003 Robert Leviel[29],[30] PS Professeur d'histoire
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2006 mars 2008 Bernard Pitois   Retraité de l'enseignement
    mars 2008[31] juillet 2020 Daniel Moitié PS Retraité de l'enseignement
    Réélu pour le mandat 2014-2020[32]
    juillet 2020[33] En cours
    (au 12 juillet 2020)
    Claude Platrier   Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2018, la commune comptait 2 912 habitants[Note 8], en augmentation de 2,93 % par rapport à 2013 (Aisne : −1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9259559039661 1241 1351 1471 1451 127
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0481 0851 1691 1521 2081 2391 3481 3621 405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3861 4181 4821 0101 7411 8651 9542 0072 185
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 7813 0313 0582 9602 8192 6192 6212 7082 900
    2018 - - - - - - - -
    2 912--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • École maternelle du centre.
    • École élémentaire des Clémencins.
    • École primaire Tivoli (CP ; CE1 ; CE2).
    • École-mairie primaire (CM1 ; CM2).

    Vie associative

    Crouy possède également un club de foot populaire, le Crouy FC qui existe depuis plus de 30 ans. Ce club sportif jouit d'excellentes infrastructures pour un club de ce niveau[évasif]. Vingt-huit autres associations sont répertoriées. Crouy possède aussi une association de recherches et de reconstitutions historiques sur la période de la Grande Guerre de 14/18, l'association Eperon 132. Cette association existe depuis 2003. Cette association détient un site internet regroupant les histoires des combattants qui ont participé à la bataille de Crouy de janvier 1915, la liste des monuments militaires est aussi disponible sur ce site[38].

    Économie

    Crouy bénéficie d'une activité commerciale avec la présence de boutiques artisanales (boulangeries, boucheries) et de supermarchés. Un hôtel est également implanté. Des activités industrielles de constructions mécaniques et de fonderie sont aussi présentes. La ville bénéficie d'activités agricoles avec la présence de fermes sur son territoire mais aussi d'une champignonnière qui vend ses productions sur place et exporte dans toute la France.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Maurice, au bord de la Jocienne, fut reconstruite en style néo-roman après la Première Guerre mondiale de 1914-1918.
    • Les vestiges de la Ferme de la Perrière, ancienne ferme fortifiée, classée monument historique depuis 1928.

    Personnalités liées à la commune

    À la fin du XIXe siècle, le curé de Crouy, Louis-Victor Pêcheur, né en 1814, fut un érudit local auteur d'ouvrages historiques sur la région (41 notices sur le site de la Bibliothèque nationale de France Opale .

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au 1er de gueules à une mitre, une crosse, une bannière chargée d'une étoile et une fleur de lis, le tout d'argent rangé en fasce, au 2e de sinople au fer de moulin d'argent et à la hache de sable brochant en barre, au 3e de gueules à la grappe de raisin feuillée d'argent, au 4e de sinople à l'épi de blé tigé et feuillé d'argent, posé en barre[39].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Soissons - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Crouy et Soissons », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Soissons - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Crouy et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    17. « Unité urbaine 2020 de Soissons », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le )
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Almanach Matot-Braine, 1910, p. 204.
    25. Soissons et la bataille de Crouy. Janvier 1915. Franck Beauclerc. Ysec, 2015.
    26. « GrandSoissons Agglomération - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    27. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Crouy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    28. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    29. « L’ancien maire de Crouy n’est plus », L'Union, (lire en ligne)
    30. [PDF] Crouy Infos Automne 2016, p.2
    31. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
    32. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
    33. « Claude Platrier veut refaire de Crouy, un lieu où il fait bon vivre », L'Union, (lire en ligne, consulté le ) « Vainqueur avec sa liste au 2e tour des élections, Claude Platrier (490 voix contre 244 de la liste « Pour Crouy, j’agis »), devient maire de la commune à 78 ans. Une démission dans l’opposition ».
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « Eperon 132 » (consulté le )
    39. « 02243 Crouy », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail de l’Aisne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.