Classification des arts

En conséquence des divergences sur la définition de l’art et des difficultés à l’aborder dans sa globalité, les querelles sur la classification des arts ou sur la comparaison (le paragone italien) des arts[1] sont une « figure imposée » de l’histoire de l’art et de l’esthétique (comme la querelle des Anciens et des Modernes en littérature).

Les termes alors retenus renseignent au moins autant sur ceux qui les énoncent (quand, où, dans quelle perspective et dans quel contexte) que sur les œuvres qu’ils sont censés regrouper ou décrire.

En plus de proposer une nouvelle grille généalogique de l’art, ils se définissent couramment « contre » un autre mouvement, une école, ou par l’exclusion d’une pratique hors du champ de l’art.

Leurs significations sont extrêmement variables dans le temps et leur emploi est passé dans plus d’un cas de péjoratif à laudatif (gothique, baroque, impressionnisme...).

Historique

Dans l'Antiquité

Les Grecs de l’Antiquité n’avaient pour eux ni le concept ni le mot correspondant à « art ». Ceux-ci distinguaient certaines activités, appelées « τεχνή » (techné).

Ces dernières étaient parrainées par des Muses, dont le nombre total finit par se stabiliser à neuf :

Ces activités artistiques sont toutes liées aux Lettres, aux langages musicaux ou gestuels, et non aux arts plastiques (architecture, peinture...). Ces considérations remontent à l'époque archaïque, à Homère, dans l'Iliade, implorant la « Muse » de l'« inspirer ».

Au VIIIe siècle av. J.-C., Hésiode (dans Théogonie, 53-57 et 915-917) nous fait connaître leurs noms, mais c’est Platon (dans Ion) vers 401 av. J.-C., puis les néoplatoniciens, qui font des Muses les médiatrices entre le dieu et le poète ou tout créateur intellectuel.

Cette conception de l’art (le poète est possédé, transi par le dieu) sera contestée par le classicisme de Nicolas Boileau, le mouvement de l’Art pour l’Art ou l’éloge de l’effort de Paul Valéry.

Au Moyen Âge

Depuis le VIIIe siècle, la classification du savoir était différente (voir Alcuin), et on ne distinguait pas les arts des sciences.

Les arts libéraux étaient au nombre de sept, classés en deux groupes :

Les arts mécaniques (les activités manuelles) désignaient, outre les activités qui seront regroupées comme les Beaux-Arts (l’architecture, la sculpture, la peinture et l’orfèvrerie), toutes les activités qui transforment de la matière, celles qui relèvent des six corps des marchands (qui n'étaient pas de simples négociants mais des fabricants) comme la draperie, l'épicerie dont relèvent les apothicaires, l'orfèvrerie ou la mercerie, ainsi que beaucoup d'autres qui relevaient d'autres catégories comme la sidérurgie, la verrerie ou la coutellerie.

Les disciplines qui ont en commun la transformation d’une matière tangible (celles des artisans et des artistes – les « artefices » opposés aux artista pratiquant les arts libéraux) sont alors rangées parmi les « arts serviles ». Cependant, Plotin au IIIe siècle (dans ses Ennéades, I, 6 et V, 8) fait une apologie de l’activité de l’artiste (ce mot signifiant alors « artisan ») et suit, au Moyen Âge, une certaine tradition reconnaissant à l’artiste la capacité de dépasser les seules réalités sensibles. La règle bénédictine termine de réévaluer les arts mécaniques en leur affectant un quart de l'emploi du temps de tous les moines et en les portant à un très haut degré de perfectionnement dont témoignent l'architecture, les vins ou les fromages français.

Hugues de Saint-Victor, au XIIe siècle, énumère les sept sciences mécaniques : filage, architecture, navigation, agriculture, chasse, médecine, théâtre[2].

Les nobles arts (activités propres à l'apprentissage et au perfectionnement des nobles) désignaient le maniement des armes, les arts martiaux, l'équitation, la chasse, les jeux nobles comme la paume, la danse, le cérémonial, la quintaine, la stratégie, les échecs[3]...

À la Renaissance

Pendant la Renaissance italienne, le mot Arte (pluriel Arti) désigne encore l’ensemble des gestes précis concernant une pratique maîtrisée (un métier) entre la science théorique et la pratique spontanée. Mais, avec la naissance de la notion d’artiste signant ses œuvres et reconnu comme tel, il prend le sens plus moderne de Beaux-Arts.

L’arte del disegno[4] regroupe à cette époque les arts du volume (sculpture, architecture) et ceux de la surface (dessin, peinture, gravure), opposition que l’on retrouvera étymologiquement dans les expressions « arts plastiques » et « arts graphiques ». Le point commun de ces pratiques manuelles était alors l’action sur la matière.

Kant et ses trois arts

Emmanuel Kant[5], en 1790, propose de distinguer trois catégories d'art (d'après la synthèse de Dominique Chateau[6]) :

  • les bildenden Künste (dérivé du substantif Bild, signifiant « image », et du verbe bilden, qui signifie « former »), soit « les arts de l'expression des Idées dans l'intuition des sens[7] », comprenant la sculpture et l'architecture (die Plastik) ainsi que la peinture (Malerei) ;
  • les redenden Künste, soit les arts de la parole, comprenant l'éloquence et la poésie ;
  • le Kunst des schönen Spiels der Empfindungen, soit l'art du beau jeu des sensations, comprenant la musique et l'art des couleurs (Farbenkunst).

Au XIXe siècle

Dès le XVIIIe siècle, on ne se contente plus de donner une liste des arts, mais on cherche à élaborer leur système. En poursuivant ce but, la plupart des auteurs vont contre le sens commun, et selon leurs besoins amalgament, ignorent ou différencient.

Hegel et ses cinq arts

Au début du XIXe siècle, adoptant cette manière philosophique dans ses cours d’esthétique donnés entre 1818 et 1829, Hegel distingue cinq arts. Il les classe en fonction de deux critères : l’expressivité et la matérialité. Ainsi il organise une double échelle allant de l'art le moins expressif mais plus matériel à l'art le plus expressif mais le moins matériel. Cela donne[8] :

  1. l’architecture ;
  2. la sculpture ;
  3. la peinture ;
  4. la musique ;
  5. la poésie.

« Ces cinq arts forment le système déterminé et organisé des arts réels.

En dehors d’eux, il existe, sans doute, encore d’autres arts, l’art des jardins, etc. Mais nous ne pourrons en parler que d’une manière occasionnelle[9]. »

Au XXe siècle

Aux cinq arts communément cités au XIXe siècle, le XXe va en rajouter cinq autres pour arriver à un total de dix arts sans pouvoir se mettre d’accord sur un 11e art.

Les dix arts

Prenant parti pour la tradition et le sens commun, des auteurs ajoutent à la liste du XIXe siècle la danse, qu’ils conçoivent de façon élargie, y incluant l’art du mime et tout art scénique, dont le théâtre[15],[16],[17].

7e art : le cinéma

Ils permettent ainsi de transformer le système conceptuel de Hegel en une simple liste, qui ouvre ainsi la porte à toutes les possibilités. Celui qui va numéroter la liste est Ricciotto Canudo, qui défend dès 1908 le cinématographe lorsqu’il écrit (en italien) Triomphe du Cinématographe, repris en 1911 en français dans « La Naissance d’un sixième art. Essai sur le Cinématographe »[18]. À ce moment-là, il voulait faire du cinématographe le 6e art, celui qui ferait la synthèse des « arts du temps » (la musique et la poésie) et les « arts de l’espace » (l’architecture, la sculpture et la peinture). Apprenant que la danse, le mime, le théâtre et le cirque pouvaient être regroupés en « arts corporels », il imagine le cinématographe comme le 7e art. En 1922, il fonde La Gazette des sept arts, une des premières revues de critique cinématographique, il y publie, en 1923, un « Manifeste du 7e art » qui, à la suite des efforts déjà déployés par Guillaume Apollinaire, Abel Gance, Maïakovski, Meyerhold, Colette et les futurs surréalistes ou le critique Louis Delluc, contribue à élever le cinéma au statut d’un art.

8e art : les arts médiatiques (radio, télévision et photographie)

Hans Hartje décrit la radio, en la qualifiant d’art et d’essais, comme un 8e art dans un livre très laudatif[19]. Déjà en 1938, Victor Keppler publiait A Life of Color Photography: The Eighth Art et en 1941, Roger Clausse publiait La Radio, huitième art.

La télévision est aussi considérée comme le 8e art. En 1961, le prince Rainier de Monaco crée une manifestation consacrée, selon ses dires, uniquement au 8e art, le Festival de télévision de Monte-Carlo[20]. Un éditeur spécialisé dans ce média porte le nom Huitième Art, il publie nombre de livres sur des émissions ou feuilletons culte de la télévision[21].

En 1982, le ministère de la Culture crée le Centre national de la photographie pour aider et mettre en valeur le 8e art.

Certains auteurs, principalement canadiens, font une synthèse de ces trois arts sous le nom d’« arts médiatiques » (arts dont le fonctionnement fait appel à un composant technologique). Il existe à Montréal le CIAM (Centre Interuniversitaire des Arts Médiatiques).

9e art : la bande dessinée

Quarante ans après le cinéma, le même processus se répète. En effet, en 1964, Morris et Pierre Vankeer décident de publier chaque semaine dans le journal Spirou une série d’articles sur l’histoire de la bande dessinée. Ils envisagent dans un premier temps de titrer cette rubrique le Huitième Art, mais des techniciens du journal signalent aux auteurs qu’il existe déjà un 8e art : la télévision, alors en plein développement. Dans le premier article paru sous le titre Neuvième Art, musée de la bande dessinée, il reste une trace de cette hésitation : « Les bandes dessinées sont nées avant le cinématographe de MM. Lumière. Mais on ne les a guère prises au sérieux pendant les premières décennies de leur existence, et c’est pourquoi la série d’articles qui débute aujourd’hui s’appellera 9e Art[22]. » Cette phrase qui a perdu tout son sens, le retrouve si l’on remplace dans la phrase 9e par 8e art. Souvent la création du 9e art est attribuée à Francis Lacassin, auteur du livre Pour un neuvième art, la bande dessinée[23], mais ce livre ne date que de 1971, 7 ans après les articles de Spirou. Précisons toutefois que Morris n'a jamais considéré la bande dessinée comme étant un art (majeur ou mineur). C'est en apprenant que le cinéma était devenu le « 7e art » qu'il a déclaré, mi-moqueur, mi-agacé, mais avec l'esprit caustique et sarcastique qui le caractérisait: si le cinéma est le 7e art, alors la bande dessinée est le 8e ! (devenu 9e... art une fois Morris informé que la télévision était considérée comme le 8e art). Lorsque les journalistes lui parlaient de 9e art concernant la bande dessinée Morris se mettait facilement en colère et rappelait volontiers le ridicule (à ses yeux) de cette appellation.

10e art : les jeux vidéo

En novembre 2012 le MoMA (le Museum of Modern Art à New York), décide d'intégrer 14 jeux vidéo à sa collection d’œuvres d'art[24]. De même, depuis 2011, la cour suprême des États-Unis reconnait officiellement les jeux vidéo comme un art[25]. En France, c'est depuis 2006 que le ministère de la Culture reconnait les jeux vidéo comme une forme d'expression artistique et demande qu'elle soit considérée en tant que telle[14]. Aujourd'hui, la question de la considération du jeu vidéo en tant qu'art se pose toujours et nombreux s'y opposent, pourtant, le jeu vidéo est maintenant juridiquement et officiellement considéré comme un art[26].

La désignation « 10e art » a aussi été revendiquée pour les arts numériques en général : infographie, web design et jeux vidéo[27].

11e art ?

Il n’y a pas de consensus sur la désignation d’un 11e art actuellement, cependant, diverses activités artistiques ou ludiques sont revendiquées avec ce titre, dont notamment la performance artistique[28], le jeu de rôle[29], le modélisme (et par extension, ce qui tourne autour du maquettisme)[30], l’art culinaire et la gastronomie[réf. nécessaire], l'art de la table, le graphisme ou arts graphiques[réf. nécessaire], la calligraphie[réf. nécessaire], la parfumerie[31], l'aménagement des parcs et jardins, l'humour, l'origami, le tatouage, la mode, l'illusionnisme, l'art de la marionnette[32], etc.

Cependant, certains peuvent être regroupés dans des arts déjà existants :

  • la calligraphie et le tatouage dans les arts visuels ;
  • le jeu de rôle, l'humour, la prestidigitation, la marionnette, dans les arts de la scène ;
  • l'origami, le modélisme dans la sculpture ;
  • le graphisme dans les arts visuels ou les arts numériques.

Il resterait donc 3 grands arts :

  • les arts culinaires et arts de la table ;
  • la mode et la parfumerie ;
  • l'art floral et l'aménagement des parcs et jardins ;

La performance artistique étant le mélange de différents arts.

Souriau et ses sept arts

Étienne Souriau a classé, en 1947, les sept arts[33] en distinguant entre leurs caractéristiques sensorielles.

Chaque classe peut produire un art sur deux niveaux, représentatif / abstrait :

  1. sculpture / architecture ;
  2. dessin / arabesque ;
  3. peinture représentative / peinture pure ;
  4. musique dramatique ou descriptive / musique ;
  5. pantomime / danse ;
  6. littérature et poésie / prosodie pure ;
  7. cinéma et lavis photo / éclairage projections lumineuses.

Arts olfactifs

Ces classifications sont toutes limitées aux formes classiques, picturales, plastiques ou musicales, liées à la vision, au toucher, à l'audition, au sens de l'équilibre. Elles méconnaissent au moins deux sens humains qui portent une expression esthétique ancestrale, les sens chimiques, olfaction et gustation.

Elles ignorent par exemple la création parfumée, l'esthétique odorante, l'abstraction olfactive, les formes olfactives, la manipulation de l'humeur par des odeurs. Pourtant, du parfum, on peut en raconter l'histoire[34], ou en apprendre les fondements développés par un grand artiste du XXe siècle, Edmond Roudnitska, compositeur de parfums[35].

Notes et références

  1. Voir aussi le ut pictura poesis erit d’Horace.
  2. Hugues de Saint-Victor Libri septem eruditiones didascaliae ch.26 (PL 176, col.760) : lanificium, armaturum, navigationem, agriculturem, venationem, medicinam, theatricam
  3. René Du Pont, Matthieu Le Heurt, La philosophie des esprits (3e édition), Antoine Mesnier, (lire en ligne), p. 666-670
  4. voir J.-R. Gaborit, Arts plastiques, in Encyclopaedia universalis (ISBN 2-8522-9887-2). Alain Rey, Marianne Tomi, Tristan Hordé, et. al., Dictionnaire historique de la langue française, Paris, Dictionnaires le Robert, 2006 (ISBN 2-8490-2236-5).
  5. Critique de la faculté de juger, § 51, 1790.
  6. Dominique Château, « Plastique, arts plastiques, bildenden Künste », dans Vocabulaire européen des philosophies : dictionnaire des intraduisibles, dir. Barbara Cassin, Seuil, Dictionnaires le Robert, 2004 (ISBN 2-02-030730-8).
  7. Trad. de Alexis Philonenko.
  8. Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1997) Esthétique, Le livre de Poche, collection Les classiques de la philosophie, Paris, tome 1 776 pages, tome 2 780 pages, t. 2 p. 19-22.
  9. Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1997) Esthétique, Le livre de Poche, collection Les classiques de la philosophie, Paris, t. 1, 776 p., t. 2, 780 p. (t. 2 p. 23).
  10. Hegel: une philosophie de la raison vivante, André Stanguennec, p. 209 (ISBN 2711612996)
  11. Robert Sinnerbrink, Early Film-Philosophy: A Dialectical Fable, Screening the Past #38 (December 2013).
  12. Le théâtre est aussi parfois appelé « quatrième art ». Habib Meddah, « Tensions entre didascalies et dialogues dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais », dans Frédéric Calas ; Romadhane Elouri ; Saïd Hamzaoui ; et Tijani Salaaoui ; Le Texte didascalique : à l’épreuve de la lecture et de la représentation, Presses universitaires de Bordeaux, 2007: Dans cette version, c’est le potentiel dionysiaque du quatrième art qui se trouve mobilisé. Le théâtre-dialogue gage sur l’écoute attentive […].
  13. Histoire de l'Art par les citations: Les Beaux-Arts dans la culture générale, p. 15.
  14. Thomas Crampton, « For France, Video Games Are as Artful as Cinema », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  15. (de) M. Schasler, Ästhetik als Philosophie des Schönen, Berlin, 1872
  16. (de) A. Zeising, Ästhetische Forschungen, Frankfurt am Main, 1855
  17. (de) L. Adler, Über das Systeme der Kunste, Z. fur Ästhetik and allgemeine Kuntswissenschaft, vol. 17, 1923
  18. Le Cinéma : naissance d’un art textes choisis et présentés par Daniel Banda et José Moure. (2008) Flammarion Champs art.
  19. Hans Hartje (2008) Pour un 8e art, Presses universitaires de la Méditerranée, Montpellier.
  20. Site du Festival de télévision de Monte-Carlo.
  21. Huitième Art éditeur.
  22. Morris et Pierre Vanker, « Neuvième Art, musée de la bande dessinée » dans Spirou no 1392 du 17 décembre 1964.
  23. Francis Lacassin, « Pour un neuvième art, la bande dessinée »,  éd. 10×18, Paris, 1971, rééd. Slatkin, Paris, 1982.
  24. (en) « MoMA | Video Games: 14 in the Collection, for Starters », sur www.moma.org (consulté le )
  25. (en) John D. Sutter, CNN, « Supreme Court sees video games as art », Edition CNN, , p. 1 (lire en ligne)
  26. Video games as an art form
  27. « Communiqué de presse : Connaissez-vous le 10e art ? L'art numérique » (version du 6 janvier 2009 sur l'Internet Archive), sur big-presse.com
  28. Alain Amiel, Jean Mas, Manifeste de la Performance, Mars 2012.
  29. Frederic Veil, "Manifeste pour le Dixième Art", Casus Belli no 102, Descartes Éditeur, Paris, février 1997
  30. Tribune de Jacques Le Plat dans Loco Revue no 613, avril 1998 et un manifeste.
  31. Cinq parfumeurs adoubés Chevaliers des Arts et des Lettres par Frédéric Mitterrand (27 janvier 2012)
  32. « L’art de la marionnette, art mineur ou art majeur ? - THEMAA », sur THEMAA, (consulté le ).
  33. Étienne Souriau, La Correspondance des arts, Éléments d’esthétique comparée, Paris, Flammarion, 1947.
  34. Annick Le Guérer, Le Parfum, des origines à nos jours., Paris,, Odile Jacob,
  35. Edmond Roudnitska, L'Esthétique en question : Introduction à une esthétique de l'odorat., Paris, France, Presses Universitaires de France, , 264 p.

Voir aussi

Bibliographie

  • Alain, Système des Beaux-Arts.
  • Francis Bacon, Grande restauration des sciences.
  • Nathalie Heinich, Du Peintre à l'artiste, Paris, Minuit (1993).
  • Paul Oskar Kristeller, Le système moderne des arts, Paris, Jacqueline Chambon (trad: 1999)
  • Mélissa Thériault, Le 'vrai' et le reste, Montréal, Varia-Nota Bene (2015).

Articles connexes

Liens externes

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