Citoyens souverains

Les Freemen on the land ou citoyens souverains[1],[2],[3] sont une mouvance d'individus qui ne se considèrent liés par les lois étatiques que s'ils y ont consenti. Ils croient donc qu'ils peuvent se déclarer indépendants du gouvernement et de l'État de droit en estimant que la seule « vraie » loi est leur propre interprétation de la « common law »[4]. Cette croyance, décrite comme une théorie du complot[5], est présente dans certains pays de langue anglaise : le Royaume-Uni, l'Irlande, le Canada[6], les États-Unis, l'Australie[7], et la Nouvelle-Zélande.

Notes et références

  1. Vincent Larin, « «Citoyens souverains»: une mouvance qui cause des maux de tête », sur Le Journal de Montréal (consulté le )
  2. Claire Duclos, « Citoyens souverains et Freemen: le danger de refuser ses obligations », sur Medium, (consulté le )
  3. « Le « terrorisme de papier » des Freemen on the land », sur Radio Canada
  4. CBC, « Freemen movement captures Canadian police attention », CBC News, (lire en ligne)
  5. Adam Wagner, « Freemen of the dangerous nonsense », sur UK Human Rights Blog (consulté le )
  6. La Presse Des adeptes d'une philosophie anti-impôts accusés de fraude
  7. Shelly Stocked, The seriously weird beliefs of Freemen on the land, News.com.au, 9 juillet 2016. Consulté le 6 septembre 2017

Annexes

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