Christophe Bavière

Christophe Bavière est diplômé de l'ESLSCA (École supérieure libre des sciences commerciales appliquées) et titulaire d'un MBA de l'Université d'Ottawa[2]^,[3].

Christophe Bavière commence sa carrière en 1990 sur le marché obligataire de BNP Paribas qu'il quitte pour rejoindre la Caisse des Dépôts en tant que trader. Il intègre par la suite le groupe AGF-Allianz en tant que CIO d'Allianz Private Partners, puis CEO d'Allianz Investors[4]. En 2001 il rejoint Idinvest Partners (ex AGF Private Equity) en tant que Président du directoire[5]^,[6]^,[7].

Au début des années 2000, il développe au sein d'Idinvest Partners le private equity en tant que classe d'actifs distincte dans les portefeuilles diversifiés[8]. Il mise ainsi sur les start-up Meetic, Deezer ou Sarenza, dans laquelle Idinvest Partners sera l'un des premiers fonds à investir[9]. Cette stratégie d'investissement sur les nouvelles technologies permet à Idinvest Partners d'avoir plusieurs entreprises de son portefeuille cotées au Nasdaq, telles que Talend, Criteo et Auris[10]^,[11]^,[12], et de séduire des grands groupes tels que EDF, Total, Air Liquide ou encore Lagardère[13]. Christophe Bavière participe, aux côtés de Benoist Grossmann, au développement à l'international d'Idinvest Partners, avec l'ouverture d'une succursale à Francfort [7]et Shanghai[14]. En 2018, ils négocient l’acquisition d’Idinvest par Eurazeo, avec pour objectif la création d’un acteur fort du private equity européen[15].

Christophe Bavière est président du comité technique capital-investissement de l'AFG et membre de la Commission Consultative gestion & investisseurs institutionnels de l'AMF.[6] Il est par ailleurs membre de l'Institut des Actuaires Français, ancien Vice-président de France Invest[16] et Colonel de réserve dans l'armée de l'air.[17].

En janvier 2018, Christophe Bavière déplore la fin d'un outil de défiscalisation, lors de la transformation de l'ISF, qui permettait de financer les PME[18].